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Le blog de Monsieur Dyrek
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  • Des poèmes d'élèves individuels ou collectifs, des rédactions, de la correspondance avec des auteurs, les concours Printemps des Poètes. les concours Les 10 mots, productions d'élèves de Sainte-Elisabeth
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1 août 2011

Rédactions Révolte des verbes / Gabriel ouvre vite

 

Les questions

 

    Il était une fois deux mondes, le monde où il y a toute l'écriture française et le monde des malus où il y a toutes les fautes d'orthographes. Dans le monde de l'écriture française, la conjugaison domine les verbes . Mais les verbes en ont assez de suivre les ordres compliqués ! Les verbes ont appelé les mots et les classes grammaticales. Les mots et les classes grammaticales vont voir dans le monde des malus et ils ont trouvé que les fautes d'orthographes de la conjugaison dominent.

 

    Ils étaient surpris d'entendre ça. Ils sont revenus et ils ont dit ce qu'ils ont vu .La loi dit que quand il y a trop de fautes en ce qui domine entre les mondes, les esclaves ont un privilège. Ils ont tous réfléchi, ils ont trouvé : ils ont inventé la question. Le verbe se conjugue comme il veut et le pronom personnel qui convient doit s'installer, donc c'est l'inverse. Et une fois sur deux, la conjugaison domine !

 

 

 

 

*

 

L'argent volé

 

    À la télé les reporters disent que la bijouterie près de chez nous a été dérobée. Nous sommes sortis dans le parc et nous avons trouvé un papier, sur le sol, il y a marqué  : ``108 rue des merles´´. Éric dit : il faut y aller tout de suite ! Le chien Billy veut rentrer.

 

    On n'emmène que le nécessaire donc de l'eau, des lampes torche et à manger. On va à l'adresse écrite sur le papier : 108 rue des merles, en vélo et on est rentré avec les lampes torche et on a trouvé les bijoux et on a appelé la police. La récompense : 2 MOIS GRATUITS DANS LE PARC D'ATTRACTION!!

 

Alexander H. en 6e2.

 

***

Le pays des mots

 

    Il était une fois, dans le pays des mots, un peuple divisé, énervé. Les verbes en avaient assez de la domination de la conjugaison qui sans cesse les transformait au pluriel ou au singulier. Ils en avaient assez d’être télé-transportés au passé, au futur ou au présent. Les verbes allaient effacer la conjugaison et nos phrases n’auraient plus aucun sens. Mais les classes grammaticales voulaient, quant à elles, que les verbes et la conjugaison soient amis.

 

     Le lendemain une foule de verbes manifesta. C’était un carnage, plus personne ne s’entendait. Les classes grammaticales en eurent assez, elles décidèrent de parler au verbe commander qui commandait la manifestation. Après une brève explication, le verbe commander, compréhensif, demanda aux autres verbes d’arrêter. La paix et le calme étaient enfin retombés sur le pays des mots.

 

*

 

Un bel avenir

 

    Il était une fois un garçon nommé Gabriel et son frère Tim. Ils avaient perdu leurs parents à l’âge de 6 ans et avaient été placés dans un orphelinat à New York. Quand ils étaient petits, leurs parents leur avaient dit que s’ils voulaient un bon avenir, il faudrait qu’ils aillent au jardin public de la 52e avenue et qu’ils trouvent un papier. Ce serait le début de leur avenir.

 

    4 ans plus tard, après s’être évadés de leur orphelinat, ils cherchèrent vainement le papier au jardin. Un jour, en cherchant, Gabriel trébucha et tomba devant un pigeonnier. C’est alors qu’il vit dépasser un bout de papier. Tim le rejoignit et s’exclama : « Tu l’as trouvé, alors ouvre vite ». Gabriel déplia le papier et lut. Ceci contenait un passeport pour lui et son frère, deux billets d’avion pour Paris et l’argent nécessaire pour suivre des études d’architecture. Bon avenir. Les garçons se précipitèrent à l’aéroport et s’envolèrent pour Paris, là ou une belle vie les attendait.

                                  

Alexis K en 6e2. en 2010.

 

***

 

Texte 1 : Les verbes

 

    Les verbes, fort agacés de la conjugaison et de sa domination, réfléchirent un long moment ensemble. Puis le verbe « avoir » poussa un cri :

« Je crois que j’ai une idée »

Les autres verbes  le regardèrent, puis ils se tournèrent vers le chef, le verbe « commander ». Ce dernier dit lentement : « De quoi s’agit-il ? »

Le verbe « avoir » leur expliqua son plan.

 

     Le lendemain, les élèves entrèrent dans leur classe. Le plan des verbes était prêt. Le professeur dit : « Sortez vos cahiers et votre livre de conjugaison ».

Quelques instants plus tard une écolière leva le bras en disant : «  Monsieur, la règle des verbes du 3e groupe a-t-elle changé ? »

« Que racontes-tu ? » lui répondit le professeur.

« C’est écrit dans mon livre : » :

Je prendre

Tu prendre

Il prendre

Nous prendre

Vous prendre

Ils prurent

« Qu’est ce que c’est que ça ? » s’écria le professeur

    Le soir les verbes furent chassés de la conjugaison, mais ils étaient heureux car ils ne la supportaient plus…

(à suivre)

 

*

 

Texte 2 : « Gabriel, ouvre vite »

 

     Je rentrais de l’école, je devais traverser le jardin public et d’habitude quand je marchais, cela faisait « scratch, scratch », mais aujourd’hui cela faisait « Crick, Crick ». J’ai soulevé un pied, il y avait un petit papier dessous, tombé du pigeonnier. Je l’ai ramassé et lu « Gabriel, ouvre vite ».

    Après mes devoirs, j’ai examiné le mot et tout à coup derrière moi un ange apparut ! J’étais bouche bée. Il me dit : « Est ce toi qui as recueilli mon courrier perdu ? »

« Ce papier ? »

« Oui »

« Mais… »  Je compris. Cet ange n’était autre que l’ange Gabriel. Je lui rendis le papier

« Pour te remercier voici un petit cadeau. »

Il me tendit une fiole qui contenait un liquide rose.

« C’est un philtre d’amour d’Aphrodite »  et il disparut.

 

     Plus tard, je me rendis compte que j’avais oublié l’anniversaire de la fille dont je suis amoureux et là, je venais de trouver à quoi aller servir mon cadeau.

 

Victor F. 6°3 en 2010.

 

***

 

La révolte des verbes

 

    Il était une fois la création de Françailand : le pays des mots. Françailand avait été créé par le dernier homme de « L’Histoire des hommes ».  Mille ans après, dans le pays des mots, c’était le roi « Attentionau s », qui gouvernait Françailand, lui il faisait partie de la conjugaison. Il était le roi de tout le pays, il y avait aussi sa femme « Manger ». Elle  faisait partie des verbes. Pour l’instant c’était la conjugaison qui dominait Françailand. Mais attention aux verbes… Attentionau s était sûr qu’il y allait avoir une attaque des verbes puisque tous les verbes était partis du château, c’est pour ça que Attentionau s avait fait une plus grosse armée. Et tout à coup !

- Chargez !!!!!!!!

- C’est les verbes ! dit Attentionau s, mais où est ma femme ?! Mais où est ma femme ?! dit-il. Personne ne répondait tous occupés à fuir (l’armée n’était pas assez grande face aux verbes). Les verbes défoncèrent le château et toute son armée. Quatre gardes viennent vers le roi et l’emprisonnent dans une prison. Le roi (dans la prison) n’arrêtait pas de crier :

- Je veux voir votre roi !!! Je veux voir votre roi !!!

Et un jour, une femme vêtue d’une capuche vient vers le roi et lui plante une épée dans le cœur et enlève sa capuche et dit :

-Je suis ta femme.

 

*

                     Une découverte imbécile

 

    Un jour, j’ai trouvé un papier marqué « Gabriel, ouvre-vite ».  Je l’ai ouvert et il y avait marqué :

-Ne le dis a personne Arthur, j’ai eu un zéro en math et mes parents ont dit que si j’avais un seul zéro, je quitterais l’école pour de bon. C‘est drôle dis-je je m’appelle aussi Arthur et j’ai aussi un copain qui s’appelle Gabriel. Je vais justement aller le montrer à Gabriel.

-Imbécile !!! C’est toi qui as écrit ça !!! dit-il.

-Ah oui !!! C’est vrai .J’ai sûrement eu un trou de mémoire et je l’ai sûrement fait tomber au parc.

 

Maxence L. en 6e3 en 2010.

 

***

 

Le pays des mots et des verbes

      

     Il était une fois un pays de mots et de verbes. Mais depuis un moment les verbes ne pouvaient plus subir la domination de la conjugaison, alors une partie de tous les verbes du pays s'était réunie pour manifester devant le grand gouvernement de la conjugaison

 

     Tout se passait bien, les classes grammaticales des mots surveillaient bien l'entrée du gouvernement de la conjugaison. Au même moment, une autre manifestation  était en cours devant l'entrée du Sénat pour voter une loi d'égalité entre les deux camps. Puis, deux jours après, la loi a été votée.

 

Axel G. en 6e2

Histoire d'objet perdu

 

 

    Il était une fois dans un jardin public un enfant qui avait trouvé une feuille où étaient écrits des mots. L'enfant ouvrit le papier et y trouva plein de mots à la suite. Sur le coup, le jeune garçon alla le montrer à ses parent qui appelèrent tout de suite la police des objet trouvés.

 

    Le lendemain, les parents la rapportèrent aux objets trouvés. Le papier suivit plusieurs tests chimiques. Quatorze jours après, la personne qui avait perdu sa feuille au jardin public la retrouva.

 

Axel G. en 6e2 en 2010

 

***

 

Le mot

 

                           Gabriel, un petit garçon de 11 ans, trouva à côté d'un pigeonnier un petit mot disant qu'il devait l'ouvrir tout de suite! Il se baisse pour le ramasser et voit à l'intérieur, sa vie expliquée dans les moindres détails. C'était sa vie dans le futur. Il n'en croyait pas ses yeux et se dit qu'il devrait aller voir son ami Jean-Baptiste. Arrivé chez lui, il lui demande ce que ça peut bien vouloir dire. Son copain lui répond que c'était sûrement une coïncidence.

 

                          Le lendemain, il aperçoit à la maison à le même heure sous ce fameux pigeonnier un petit garçon qui ne voit plus le mot, alors il dit à sa maman :

- ho! le mot n'est plus là, celui que j'ai perdu hier, quand je jouais avec Frédéric et qu'on faisait une blague à Gabriel.

-Bon bah c'est pas trop grave! allez viens on rentre. Ton petit frère nous attend à la maison, dit sa mère.

Tout d'un coup je compris tout le sens du mot et pourquoi je l'avais trouvé, en effet mon copain avait raison, ce n'était qu'une coïncidence.

 

*

 

Dans le pays des mots la révolte des verbes

                      

                             - J'en ai assez, dit le plus jeune des verbes.

-Oui, je sais on en a tous ras-le-bol, affirma un autre verbe, mais nous ne pouvons pas faire autrement que de subir toute cette domination de la conjugaison. nous devons nous instruire le plus possible pour pouvoir surmonter cette impasse. Il faut faire comme si de rien n'était pour que la conjugaison devienne plus facile et qu'on puisse revivre comme avant, alors à vos bouquins, lisez, instruisez-vous, faites ce que vous voulez, mais ne vous inquiétez pas, ça va s'arranger, dit le verbe en essayant de les motiver le plus possible.

                            

- Chef, chef ! dit un des gardes de la patrouille "romain-verbe".

-Oui mon gentilhomme, qu'y a-t-il?

-Les classes grammaticales s'en mêlent, elles trouvent que l'idée de la conjugaison est très bien. les hommes ne vont pas pouvoir supporter cela, et les verbes vont régresser. C'est affreux, faites quelque chose chef, s'il-vous plaît!

-Allez-y. je m'en occupe.

Et c'est comme ça que la patrouille romain verbe surmonta cette guerre : grâce au grand verbe, le plus grand verbe de tous les temps: Messieurs ENSEIGNER.

 

Alix V. en 6e 3 en octobre 2010.

 

***

 

Dans le pays des mots, la révolte des verbes :

 

Chapitre 1 La planète école

   Vous ne pensez pas que la planète école existe ? Car elle existe et croyez-moi , je vais vous le prouver !Tout d’abord , son histoire et ses noms :

Ecole :nom de la planète                   directeur/directrice :surnommé professeur :créateur de la planète

Les dieux  : fils et filles du directeur et de la directrice   rois :il y en a 3 par matière (pays) , ils sont comme des ministres          

élèves : habitants de la planète

 Chapitre 2 Le voyage

   Le dieu du pays français composé de trois régions : la région des verbes , de la conjugaison et de la grammaire , décida un beau jour de rendre visite à sa sœur au pays des Maths. Les élèves inquiets de la situation interposèrent la décision du Dieu . Mais le Dieu dit qu’il leur faisait  confiance. Alors le Dieu partit pendant une semaine voir sa sœur .

 

Chapitre 3 Le premier jour sans le Dieu

   Comme le pensèrent les élèves le rois de la conjugaison décida de compliquer encore plus la conjugaison d’un verbe .Les élèves de la région des verbes ainsi que leur roi protestèrent. Mais le rois de la conjugaison ne lâchent pas prise, alors les verbes déclarèrent la guerre. Le roi grammaire frustré par ce problème décida d’intervenir. Et mit fin la guerre  en disant  que les règles resteront comme elles sont ! Et le dieu rentra en voyant son royaume briller.

 

*

 

Chapitre 1 Il pleut pas !

   Comme aujourd’hui il fait beau je vais au parc.  Arrivé à l’entrée, je constatais qu’il y avait un nouveau pigeonnier, j’allais donc le voir . Arrivé devant, je vis par terre un papier. De première vue, c’était une carte. Il y avait écrit « Camille ouvre vite ». J’ouvris <…>. C’était une carte d’anniversaire . Je me souvins alors que Marie avait offert la même carte à Camille. Et voilà qu’arriva Camille affolée .

Chapitre 2 Tiens la voilà

   Elle me demanda si je n’avais pas vu une carte rose violette avec écrit « Camille ouvre vite ». Je lui répondis que oui je l’ai. Je la lui rendis. Elle me remercia du fond du cœur et m’expliqua qu’elle y tenait beaucoup, car c’est sa meilleure amie qui lui a offert. Je lui dis que c’était rien. Puis nous parlâmes jusqu’à l’heure de rentrer pour dîner vers 17h00. Avant de partir elle me remercia encore

 

Catarina C. en 2010 en 6e2.

 

 

 

 

 

La Révolte des verbes - La guerre des mots

 

    Il était une fois, des verbes qui vivaient dans le royaume du roi Français. Il y avait aussi de la conjugaison, des classes grammaticales... Dans le royaume, vivaient la paix et la tranquillité. Il faisait, tous les jours beau, la ville s'appelait MOT. Il y avait une ville en face, les MATHS et le royaume s'appelait MATHEMATIQUES. Un jour, le roi Français mourut, le royaume se dégrada tout le monde se disputait, les verbes avec la conjugaison, les classes grammaticales avec les mots... Un jour de pluie, la fée des Matières, toqua à la porte du royaume Français, et dit : "Je décide que la conjugaison change de royaume et les mots aussi !". Le bruit se tut, la conjugaison partit avec les mots.

 

    Trois années plus tard, le royaume de la conjugaison et des mots, dirigé par le roi Présent et la reine Futur, décident de faire la guerre contre les verbes et les classes grammaticales. Les verbes et les classes grammaticales acceptent. Deux semaines plus tard, tout le monde était là, l'arbitre cria : "Go !". Tout le monde cria et le roi Présent s'arrêta et dit : "Les amis, arrêtons cette guerre, je vous rappelle, il y a déjà une langue Morte qui s'appelle Latin, je préfère qu'on arrête et qu'on fasse la paix". Une semaine après, la paix et la tranquillité étaient revenues.

 

*

 

"Gabriel, ouvre vite" - Mercredi, folle journée

 

   Un jour, sous un pigeonnier, un papier ! Que faire ? C'est vrai, mettez-vous à ma place. Désolé, j'ai oublié de me présenter, Jack Soliday, j'ai 13 ans. Je suis au collège de Beverley Hills. J'ai écrit le journal du collège l'année dernière, mais j'ai arrêté ! Maintenant, je fais des enquêtes ! Je vais vous raconter mon histoire. Un jour, j'étais dans un jardin public et sous un pigeonnier, il y avait un papier pour Madame Landivert, elle habitait dans mon quartier, donc je suis allé la voir et elle m'a dit que c'était à elle, mais elle ne savait pas qui devait lui donner.

 

     Le lendemain, Madame Landivert est allée voir le commissariat et on lui a dit que c'était bien à elle mais que c'était son mari qui devait lui donner et on lui a dit qu'il était en prison. Enfin, ce sont des histoires d'adultes ! Mon anniversaire c'est le 04/04/2010 donc aujourd'hui. Bon, je vais vous laisser, je vous dis à bientôt et aussi j'oubliais : N'OUBLIEZ JAMAIS UN PAPIER QUELQUE PART !

 

Lucas D. en 6e2 en 2010.

 

***

 

La révolte des verbes

    

      A Conjugaisonville, c’est la révolte des verbes.

Les classes grammaticales surnommées "les policières", interviennent car sans conjugaison, les phrases n’auraient plus aucun sens.

Mais c’est vrai que les verbes portent dans leurs brouettes  beaucoup de "ent", de "S", d’accords dans les participes passés…

Le roi et la reine Conjugaison sont très mécontents.

Ils décident de faire mettre en "prisonpourverbes" tous ceux qui se révolteraient.

Malheureusement, les verbes entraînent tous les autres mots à prendre des pancartes, écrire des phrases sans conjugaison et les accrocher dans toute la ville.

 

     Les classes grammaticales interviennent :

Elles disent au roi et à la reine qu’on pourrait faire une nouvelle "Conjugaison" en mettant dans les brouettes des verbes seulement des  "S" comme cela ce serait moins lourd et l’ on pourrait toujours se comprendre.

-       « Mais c’est une super idée ! »  disent le roi et la reine.

 

       Désormais les verbes sont heureux et le roi et la reine se comprennent.

Tout est bien qui finit  bien.

 

*

 

Une matinée avec Gabriel à L’hôpital

 

    Un après-midi, je découvris une lettre près d’un pigeonnier, dédiée à "Gabriel".

D’instinct, je la lus.

Lorsque j’eus fini, j’avais les larmes aux yeux.

Gabriel était en fait un petit garçon handicapé. Il a sept ans et il vit pour le moment  à l'hôpital. Heureusement, il  se situe juste à côté de chez moi

Je décide alors de lui rendre visite le lendemain matin pur lui remettre cette lettre.

C'est un ami qui lui  écrit.

Cet ami habite très loin.

 

     Le lendemain, je pars à la clinique ; il est dans  la chambre 312.

 Lorsque je pénètre dans celle-ci, un petit garçon en pyjama est en train de faire un dessin sur son lit.

Je fais un pas, et je vois un fauteuil roulant. Je me sens soudain triste.

J'avance vers lui, je dépose sur son lit l'enveloppe :

    -  « Le facteur a dû la faire tomber ! »  lui dis-je.

 

Il me regarde d'un air attendri.

 Je lui propose de faire un jeu et je deviens subitement son ami.

 Tous les jours après les cours, je viens le voir pour jouer avec lui.

Je me rends compte peu à peu qu'on peut être heureux avec presque rien !

 

Auréa G.D.

 

***

 

Dans le pays des mots, la révolte des verbes.

 

 

     Les verbes font la grève, ils ne veulent plus subir la domination de la conjugaison.

Les classes grammaticales arrivent à leur secours. Les adverbes dissertent, les noms, les pronoms ainsi que les interjections ne savent point que penser de toutes ces exclamations !!!

« Nous ne voulons plus subir la domination de la conjugaison !! » disent-ils d’un drôle de ton. Le chef des conjugaisons, heureusement arrivé à temps, se pose des questions sur toute cette agitation.

Allons, allons, leur dit-il, cessez tout ce vacarme. Nous ne pouvons plus nous entendre, il ne faut pas vous disperser, mais plutôt vous rallier. Pour toute cette armée de mots raffinés. A présent remettez-vous au travail, au travail de toute cette grammaire, qui nous sert à nous et à la terre.

 

*

 

« Gabriel, ouvre vite »

 

Gabriel se penche près d’un pigeonnier dans le jardin public de Toulouse, là il y voit un papier, un papier tout vert où il y a : « Gabriel, ouvre vite » !

Gabriel n’hésita pas une seconde. Il se dit que c’est peut-être une mission secrète, une lettre d’admiratrice et plein d’autres idées farfelues…

Mais cette lettre n’était qu’un tout petit poème, Gabriel allait le jeter, quand tout à coup il entendit une voix. Un voix qui lui soufflait « Lis cette lettre, ce poème connu ou inconnu… »

Gabriel lut :

 

  « Ouvre la cage

aux oiseaux,

laisse-les s’envoler si haut. »

Une lettre toute

simple

souvent révèle

autre chose.

 

Il se rendit enfin compte de ses pauvres pigeons, à moitié morts enfermés en ce lieu. Il ouvrit la cage. Cela étant comme une révélation.

 

Léonie B.  6è 3 en 2010.

***

 

La guerre des mots

     Il était une fois où les verbes n’étaient plus aimés et où ils se faisaient détester et maltraiter. Mais les verbes n’étaient pas méchants, alors cela les énervait. Donc ils choisissent de se révolter et partent de la ville mais les autres groupes de mots avaient besoin des verbes pour former des phrases. Alors ils choisirent de les récupérer en envoyant d’autres groupes de mots (noms, déterminants…) pour les réconforter .Ceux-ci les réconfortent très bien et rentrèrent en ville .Cependant les verbes avaient dans la tête qu’ils étaient les chefs .Les autres ne se manifestent pas par peur qu’ils repartent.

     Deux mois plus tard, les classes grammaticales invariables se révoltèrent en disant que les verbes avaient trop de pouvoir. Ils disaient ça car ils les traitent mal. Mais les classes grammaticales étaient d’accord que les verbes les traitent bien ; c’est alors que la guerre commença. Mais vous verrez que plus tard ça s’arrangera.

*

Le fameux papier

     Un jour un enfant nommé Gabriel jouait tranquillement dans un parc. Il s’arrêta car il venait de courir très longtemps et il était très fatigué. Mais tout d’un coup il  vit un papier par terre, il en voyait beaucoup mais celui-là était spécial. Il était là comme si ce papier était pour lui. Il le ramassa, mais ne l’ouvrit pas et lui et sa mère repartirent chez eux. La mère lui dit : ça va ? Tu as bien joué ? Et lui répondit : oui  très bien, merci de m’avoir emmené. Quand ils arrivèrent chez eux, il courut dans sa chambre. Mais qu’y a-t-il sur ce papier ?

     Arrivé dans sa chambre, il posa le papier, s’assit sur son lit en le regardant, mais ne l’ouvrit pas. Il attendit cinq minutes avant de le prendre, mais sa mère l’appela à table, il avait très faim. Il courut pour arriver à table. Lorsqu’il eut terminé de manger, il alla se laver les mains et quand il revint dans sa chambre, le papier n’était plus sur sa petite table. Il le chercha partout et le retrouva derrière son oreiller. Pourquoi avait-il changé de place ?, se demanda-t-il.  Mais il se dit que le principal était de l’avoir retrouvé. Il l’ouvrit vite et vit une liste de courses avec un signe bizarre en bas à droite. Avait-il fait tout cela pour rien ?

               Edouard R. en 6e2 en octobre 2010.

***

 

Dans le pays des mots,la révolte des verbes

     Il était une fois un pays où les mots, les verbes... habitaient        tranquillement ensemble. Un jour les verbes en avaient assez, donc ils décidèrent de se  révolter contre le roi des mots et des verbes qui appliquait plusieurs lois en même temps dont les régles de conjugaison. Les mots aussi en avaient peut- être assez de respecter l'orthographe, mais par rapport aux autres, ils ne le montraient pas.  

  

 Une semaine après la révolte, le roi qui était agacé dit à ses gardes, les classes grammaticales des mots : ”Je veux qu'ils partent loin de mon château, car ils ne suivent pas les consignes !” les classes grammaticales  essayèrent,  mais ils n'y arrivèrent pas. Le soir les verbes  furent fatigués, donc ils arrêtèrent de se révolter et rentrèrent chez eux.

 

*

 

Gabriel ouvre vite

     Un jour j'étais assis dans un parc à coté d'un pigeonnier et tout d'un coup un papier tomba devant moi. Je regardais un peu partout autour de moi, mais il n'y avait personne à part moi, Gabriel; alors je pris le papier et mes lunettes pour voir ce qu'il y avait écrit et je mis un peu de temps à comprendre le mot. Il y avait marqué :”Gabriel ouvre vite.... “.                                                                                    

  

       Il se faisait tard donc je mis le papier dans ma poche ;  il valait mieux rentrer à la maison. Arrivé devant ma porte, je vis une plume et aussi le même mot avec des choses rajoutées ; cela faisait : “Gabriel ouvre vite, je t'attends au  *** rue de la Convention 1 étage. Le lendemain je me rendis au *** rue de la Convention et là surprise c'était mon amie, Pauline qui m'avait fait peur pour mon anniversaire. OUF! 

 

Jeanne C. 6e3 en 2010     

 

***

 

La révolte des verbes

 

     Ça suffit ! a répondu je, le pronom personnel, cela ne peut plus durer. Je ne supporte plus la présence continue du verbe être. Au pays des mots, c’est une catastrophe chez les verbes. Adverbes, pronoms, se révoltent contre cette nouvelle convention. Cette convention se nomme la conjugaison, elle consiste alors à rassembler pronoms et verbes pour en former un couple. Mais ce n’est pas l’avis de tout le monde. Je ne supporte pas la présence d’être ainsi que tu, nous et vous.  Elle et ils ne s’en préoccupent pas le moins du monde. Ils sont bien trop occupés à préparer leur voyage de noces.

 

     Les classes grammaticales se réunissent afin d’établir un plan permettant aux verbes et aux pronoms de s’unir et d’accepter la conjugaison. La classe grammaticale des pronoms en a assez avec cette nouvelle loi, elle serait d’avis de brûler certaines parties l’incommodant. La classe des verbes était du même avis ainsi que les autres. Et c’est alors que naquit la première guerre de conjugaison. Les mots s’entortillaient, se battaient. Tant et si bien que la conjugaison céda sur quelques points. Elle alla trouver plusieurs façons d’écrire les verbes afin de se consoler. Ne vous étonnez pas, cher lecteur, s’il vous arrive un jour d’écrire je et que celui-ci disparaisse ! La partie que l’on étudie aujourd’hui est celle qui n’a pas été brûlée.

 

*

 

Ce matin …

 

     Ce matin comme tous les matins avant d’aller à l’école, je me dirige vers le parc des quatre saisons près du pigeonnier. Quand j’entends crier une jeune fille « Gabriel, tu m’a trahie ». Le jeune garçon s’enfuit en courant et la jeune fille se retrouve donc seule. Je la vois s’asseoir sur un banc, sortir de sa poche et écrire. Elle se leva, mit le papier dans sa poche et partit. A l’angle du parc je vois tomber le papier.

 

     Très intrigué, je m’approche et je vois inscrit sur  le papier : «  Gabriel, ouvre vite ». Par politesse, j’hésite à l’ouvrir, puis tenté, je l’ouvre et je vois écrit : « Je t’attends ce soir à dix heures pour une soirée …signé : Magdelone. » Je tourne à nouveau le papier et je vois inscrit au dos : « Allée des cerisiers Marseille ».

     Je regarde ma montre. Cette rue se trouve à six pas d’ici. Je me dirige donc vers cette maison. Arrivé je sonne … Aucune réponse, puis une femme souriante vint m’ouvrir. Je lui tendis le papier et lui dis : « Madame, je vous ai vue avec votre fiancé vous disputer. Elle rougit et me pria d’entrer. Elle m’offrit un thé et m’expliqua tout. C’est alors que je compris une chose très importante. Dans la vie par-dessus l’amour il y a la haine. Elle me sourit et nous rîmes aux éclats …

 

Maÿlis B. 6e 2 en 2010.

 

***

 

     Dans le beau pays des mots, la citadelle Bescherelle est attaquée par des verbes révoltés, car la conjugaison est compliquée. Il faut les comprendre, car ça ne fait pas plaisir de se voir tout déformé. Prenez, par exemple, le verbe manger. Souvent (et avec sadisme pensent les verbes) il est déformé à tel point que ça donne "je mangait" au lieu de "je mangeais"... Revenons donc à nos moutons. La citadelle Bescherelle est attaquée par des mots déchaînés. Le chef des révoltés, le verbe révolter était vraiment outragé avant d'être abattu par une flèche dans le coeur C'est la ferme idée de le venger qu'ils reprirent le combat. La citadelle ne résiste pas longtemps : le verbe "forger" leur avait fabriqué des belles armes que le verbe "s'équiper" aida à enfiler. La citadelle est donc sur le point de tomber, quand une classe grammaticale apparaît. C'est "Adverbes". Avec son éblouissante force; ils obligent les verbes à plier quand, par erreur, il a été dégommé par un boulot de canon mal placé. Trop tard, les verbes avaient déjà fui. 

     De retour au QG, un capitaine orgueilleux prit la place de feu "Révolter" à la tête de l'armée". Un soldat, qui se nommait "Ecraser", donna comme rapport  à l'orgueilleux "C'est le bon moment pour attaquer" ! Le chef lui répondit "Ah bon tu es sûr ? Je vais te faire confiance en te confiant (rapide calcul du chef) 100 verbes. Quelques jours plus tard... la citadelle Bescherelle était vaincue ! Finie la domination ! Nous sommes libres ! Vive les fautes d'orthographe ! Ce récit étant écrit après les faits, il est possible que des brutes se soient glissées dans ce texte, car je suis avec les verbes.


                   

 

Gaspard D. 6°3 en 2010.

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