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Le blog de Monsieur Dyrek
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  • Des poèmes d'élèves individuels ou collectifs, des rédactions, de la correspondance avec des auteurs, les concours Printemps des Poètes. les concours Les 10 mots, productions d'élèves de Sainte-Elisabeth
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21 octobre 2009

12 rédactions de transports par les 6e

     12 rédactions de 6e après l'évocation du formidable roman pour la jeunesse de Jean-Luc Luciani : Le jour où j'ai raté le bus.

À Paris, le 9 octobre 2009

LE JOUR OÙ J’AI RATÉ LE TRAIN

     Je m'appelle Zoé et j'ai onze ans. Je vais vous raconter  l'histoire du jour ou j'ai raté le train.

     Ce soir, c'est les vacances, et j'avais hâte de partir, mais mes parents travaillent encore une semaine avant leurs vacances ; mais ce soir ils m'ont dit :

- « Prépare ta valise Zoé, tu pars en vacances demain, tu prendras le train ; nous avons déjà pris un billet. D'abord tu t'arrêteras à l'arrêt de Nantes, ensuite tu  prendras le train pour Nice. Là bas, ta tante t'attendra. »

     Cela me paraissait très compliqué. Mais j'étais tellement contente de partir  en vacances que je n'ai rien dit. Le lendemain mes parents m'ont emmenée à la gare, ils m'ont répété dix fois les  consignes et peu après j'étais dans le train.

     Mes parents me dirent au revoir une dernière fois, puis ils s'en allèrent et le train démarra.

     Les cinq premières minutes, je me suis occupée à dessiner, puis j'ai fini par m'ennuyer. Alors,  j'ai compté les personnes qui passaient dans le wagon. Peu après, j'ai remarqué que l'on ralentissait et j'ai vu une pancarte  "GARE DE NANTES". J'ai rapidement pris ma valise, puis je suis descendue. Il y avait du monde partout, j'avais  l'impression d'être perdue, alors, j'ai vu un panneau "TRAIN POUR NICE". Je me suis précipitée mais les portes se fermaient et le  train commençait à rouler…j'étais perdue ! J’avais raté mon train ! Désespérée, je me suis précipitée vers un gardien, on a  appelé mes parents, ils ont dit qu'ils arrivaient immédiatement.

     J'étais sauvée….

Prisca J. en 6e2.

***

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ LE BUS

     Il  est 9h00 du matin. Un petit garçon de l’âge 11 ans, Bernard, doit prendre le bus pour aller à l’aéroport pour l’Espagne. Il est couché, sur son lit. Malheureusement  le réveil  n’a pas sonné. Heureusement qu’il a un petit frère. Son petit  frère lui saute dessus, et Bernard s’est  réveillé avec  sursaut. Quand il regarde  son réveil, il est 9h10. Il crie en courant  dans les couloirs : « Oh ! non ! Il ne faut pas que je rate le bus ! » Sa mère le croise : « Bonjour  mon choupinou ! Tu veux prendre ton petit-déjeuner ? » « Pas le temps ! » répond  Bernard. Une fois  prêt, il sort de la maison et court sur le trottoir mais l’arrêt est beaucoup trop loin et le bus est déjà arrivé. Bernard court de toutes ses forces mais le bus est déjà parti. Il se  dit : « Pourtant il m’attend tous les jours le conducteur ! » Il s’inquiéta. Un  vieux monsieur lui dit : « Qu’est ce qu’il y a ? » « J’ai raté le bus  pour  aller à l’aéroport ! » répond Bernard.

     « Mais il y a un bus derrière toi ! Et tiens, je te donne un ticket. » lui dit le monsieur. Bernard monte dans le bus. Le vieux monsieur rit, car il sait que ce n’est pas le bon bus. Pendant ce temps, Bernard aperçoit  à la fenêtre l’aéroport. Ensuite il  monte  dans l’avion. Peu après, l’avion vola.

 

Emilie D. 6e3, le 9 octobre 2009.

***

Vincent V.                                                                   Paris , le 9.10.2009.                                                               

6e2          

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ LE METRO

                  Un dimanche matin en prenant mon petit déjeuner, j’ai demandé a ma mère si je pouvais prendre le métro tout seul pour me rendre au club de tennis. Elle m’a répondu que le métro était dangereux et m’a proposé de m’accompagner, ce que j’ai accepté. Après avoir pris mes affaires et m’être mis en tenue de tennis, ma maman et moi sommes partis. Peu après, sur le chemin du métro, nous rencontrâmes une boulangerie. J’ai supplié ma maman de m’acheter un pain au chocolat. Il y avait beaucoup de monde. Ensuite, nous nous dirigeâmes vers la bouche de métro et j’entendis le métro arriver. J’ai regardé ma montre et m’aperçus qu’il était dix heures moins cinq.

                  J’ai crié à ma mère : « Maman, dépêche-toi, le métro est ici et il ne nous reste que cinq minutes ! ». Ma maman qui n’avait pas entendu et qui flânait devant une boutique de vêtements, me répondit : « Oui mon chéri, qu’y a-t-il ? ». « Le métro est là, allons-y ! », lui dis-je. Ensuite, je montai les escaliers en courant, mais le métro venait de fermer ses portes. C’était trop tard… Je savais que l’attente serait longue et que ce n’était plus la peine d’y aller. D’abord,  je fus en colère contre ma maman et triste, puis me calmai car je compris que ma gourmandise m’avait trahi.

Voilà, ce fut le jour où je ratai le métro.

LE JOUR OÙ J’AI RATÉ L’AVION

     C’est un lundi matin où tout a commencé.

     Mais, tout d’abord,  je vais me    présenter : bonjour, je m’appelle Louis,  j’ai dix ans, je mesure

1 mètre

46 et je pèse 32 kilos mais je ne suis pas un petit garçon comme les autres : j’ai des problèmes pour parler. Bien sûr, là vous comprenez tout parce que vous avez le décodeur mais ceux qui ne l’ont pas, comprennent ça « msnkuenenumsaleuritota ».

     Voilà donc je disais, c’est un lundi matin où tout a commencé, mon réveil n’a pas sonné : j’étais donc en retard. Mon avion de ramassage qui devait m’emmener en Amérique, là où il y avait mon école parce que là-bas, il y a des enfants comme moi dans cette école. Et comme tous les jours, Papa Eric devait m’emmener à la gare, mais comme il était en retard, il appela un taxi. Tous partirent travailler et moi je restai assis sur le trottoir. J’attendis et je comptais  les secondes passer, j’en étais déjà à 58 secondes. Puis à un moment, un garçon passant en vélo me regarda d’abord, puis il partit.

                  Peu après il revient, mais pas tout seul. Avec deux garçons et une fille. Il cria « Regardez là-bas, c’est le mec que j’ai vu », il me montra du doigt et je criai « c’est malpoli de montrer du doigt monsieur » mais bien comme ils n’avaient pas le décodeur, ils comprirent : « musploau onompltlue ». Alors je courus à toute vitesse. Peu après j’appelais Papa Eric et Maman Véronique. Ensuite ils arrivèrent à toute vitesse. Et je leur racontais toute mon histoire.

FIN

Fanny S. en 6e2, le 9 octobre 2009 à Paris.

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ L’AVION

   Un jour de septembre avec ma famille, nous allions partir à Istanbul, nous étions en retard. Une fois à l’aéroport, notre avion était en train de faire embarquer les gens, mais ensuite je dis à ma mère que j’allais aux toilettes et que je les rejoindrais dans l’avion. Mais en revenant, il n’y avait plus personne: j’étais seule dans un immense aéroport…

   Je décidai de prendre l’avion suivant pour rejoindre mes parents. J’attendis environ 1 heure pour prendre l’avion suivant. Une fois dans l’avion, j’eus d’abord peur, très peur de l’avion et encore plus sans mes parents. Ensuite pour me calmer, je bus un bon verre d’eau fraîche offert gentiment par l’une des hôtesses, ce qui me réconforta un peu…Mais heureusement arriva le moment où j’atterris et surprise pour ma grande joie mes parents étaient là affolés tel que je ne les ai jamais vus. Puis, peu après  en me voyant, ils fondirent sur moi me serrant beaucoup trop fort, en plus de milliers de bisous. Je n’étais plus seule, j’étais avec mes parents et le voyage allait continuer, mais au fond de moi une petite voix me dit que ce voyage périlleux n’était pas fini…

FIN

     Par Lucie D. en 6e2 le 9 octobre 2009.

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ MON AVION

      C’était un jeudi soir, j’avais mon avion à 19 heures et mon travail m’a retardé à cause d’une réunion de 15 minutes. Mes enfants et mon mari m’attendaient avec colère. Je n’avais pas fait attention à l’heure car je croyais qu’il était 5h15 au lieu de 6h15, puis je partais tranquillement du travail.

     J’étais dans ma voiture et je commençai à m’inquiéter, car il était 5h30 (au lieu de 6h30) et il y avait des embouteillages. Mon mari m’appelait et je lui répondis : » oui, je suis dans la voiture, j’arrive à l’aéroport. » Je raccrochais sans même que j’ai entendu sa voix. J’arrivais à l’aéroport, mais trop tard, mon avion était parti avec ma famille.

     Laura T. en 6e3 le 9 octobre 2009.

***

Clément  de  S.P.  en 6e3                                                          Paris, le 9. 10. 2009.      

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ LE TRAMWAY

     C’était un jour d’hiver, plus précisément le 23 Décembre. Les rues de Paris étaient illuminées par toutes ces décorations. Je me baladais près des Champs-Elysées. Mais il se faisait tard, alors j’ai voulu prendre le tramway…

        Peu après, j’étais arrivé, j’avais marché longtemps, mais j’y étais. Je pris tout d’abord mon ticket et puis tout à coup le tramway partit, il ne s’était pas arrêté. Je le vis aller à toute vitesse, il démolissait tout sur son passage ! Je suis ensuite allé prévenir quelques policiers qui passaient mais qui n’avaient rien vu. Une heure après, j’étais arrivé chez moi ! Je dis alors à ma mère : « Tu ne devineras jamais ce qui m’est arrivé… »

***

Rédaction du 9 oct. 2009                                                             6.3

75015 PARIS

Guillaume H.                

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ

LA NAVETTE

SPATIALE

       Mon rendez-vous était à 2 heures. J’y rêvais depuis toujours! Je croyais que j’étais à l’heure, quand je l’ai vue : la navette spatiale partait sans moi! Peu après avoir suivi ce spectacle, j’ai regardé ma montre : il était 2 heures et 10 secondes … D’abord je rate le bus, et ensuite la navette... J’en avais assez !

       Un employé m’a demandé : <<Que fais-tu ici, bonhomme ?

-Je devais prendre la navette, pourquoi est-elle partie sans moi ?

-Nous ne te trouvions pas, la prochaine fois, viens à l’heure !

-Mais pour 30 secondes d’écart !

-Tu as oublié le décalage horaire: on a mis des heures à te chercher !

-Mais j’avais pourtant bien réglé ma montre !>>

C’est à cet instant que je me suis souvenu qu’elle ne marchait plus…

FIN

***

Rédaction du vendredi 9 octobre 09

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ LE BATEAU

     Mardi à 6h30 du matin, je me suis réveillée. C’était le jour où je devais aller en bateau voir ma grand-mère. Je regardai l’heure sur mon réveil. « 6h30 »dis-je en m’exclamant. Je devais être au port à 6h45. J’ai pris d’abord mon petit-déjeuner et ensuite je me suis brossée les dents et pour finir, je m’habillai en vitesse.

     Après avoir couru pour aller au port, je m’aperçus que j’avais oublié mon billet. Je fis demi-tour pour aller le chercher. Je suis arrivée à la maison. J’ouvris en vitesse la porte et je pris mon billet. Je suis revenue au port, le bateau était parti. Une dame que je connaissais me dit « Tu as raté le bateau. Si tu veux, je t’emmène à l’autre port où le bateau va s’arrêter. » Je suis partie dans la voiture. Le téléphone sonna. Elle a pris une heure pour s’arrêter et pour répondre. Finalement, nous sommes arrivés au port. Je sortis de la voiture. Le bateau était encore parti. Je pris de la force et j’ai nagé dans l’eau de la mer pour rejoindre le bateau. J’ai réussi. Je montrai mon ticket. Je suis arrivée chez ma grand-mère peu après et tout est rentré dans l’ordre.

     Justine C. – 6e 2 le 9 octobre 2009.

***

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ MON TRAIN

     Le jour où j'ai raté mon train, j'ai dû prendre le bateau pour aller en
Angleterre. Lorsque je suis arrivée sur le bateau, j'ai vu de mes yeux vu,
un homme qui était en train de voler le sac d'une jeune fille.
     D'abord, j'ai cru avoir rêvé, mais ensuite, il est descendu en courant,
puis, je l'ai suivi des yeux ? mais il s'est confondu avec les passagers, je l'ai
perdu  de vue.

     Peu après, je suis allée voir la jeune fille, je lui ai expliqué mais sur un
ton très sérieux, elle m'a dit : « Je le sais, ce n'est pas un voleur, c'est
mon père. Il m'a pris mon sac pour m'en débarrasser ».

     Puis elle est partie, moi je ne savais pas pourquoi ? mais cette explication
ne me disait rien. Après tout, ce ne sont pas mes affaires, alors je suis
allée voir le steward, il m'a donné ma cabine,  je m'y suis reposée et j'ai
rêvé qu'un beau prince charmant me prenait dans ses bras et me faisait
valser dans un bal.

Axelle S en 6e3 le 9 octobre 2009 à Paris 15e.

***

     LE JOUR OÙ J’AI RATÉ L’AVION

Aujourd’hui, c’est la panique. D’abord  parce que je dois être à l’aéroport dans vingt minutes pour me rendre en Espagne aller voir ma grand-mère, ensuite parce que je n’ai même pas pris mon petit déjeuner. Ma mère me crie de me dépêcher. J’avale mon petit déjeuner en quatrième vitesse et je fonce vers la porte. J’entends ma mère me dire : « Ne claque pas la porte, j’ai mal à la tê… » BLAM ! ! ! ! Trop tard. Je cours à m’en faire exploser la poitrine. Ça y est !  J’aperçois l’aéroport, un avion décolle…MAIS C’EST LE MIEN ! ! ! Tout est fichu…

Je me dirige mélancoliquement vers une jeune femme, un peu perdue… Je demande dans un dernier espoir : « Excusez-moi, savez –vous s’il y a un autre avion qui se rend en Espagne ? »

-« Je crois bien que celui -ci s’y  rend mais je ne suis pas sû… » Inutile d’entendre la suite, je m’élance vers cet avion. Une hôtesse me demande mon billet. Je le lui tends, puis je fonce m’asseoir à ma place. La voix du haut-parleur annonce : « Mesdames et Messieurs, le vol pour

la Guadeloupe

va commencer. » QUOI ? ? ?

LA GUADELOUPE

? ? ? ?  Oh, non ! ! ! La dame à qui j’avais demandé où se  trouvait l’avion pour l’Espagne s’est trompée et je suis bel et bien coincée.

Peu après, j’ai beau me cogner la tête contre le siège avant, je suis toujours dans cet avion de malheur… Mais je réalise…

LA GUADELOUPE

! ! ! Le sable, la plage, les palmiers, la mer…Et les poissons ! Ah!, les poissons multicolores…. Peut –être que ces vacances improvisées ne seront pas si terribles ?

Valentine B. de 6e2 le vendredi 9 octobre 2009.

***

    LE JOUR OÙ J’AI RATÉ LE MÉTRO

          Tout d’abord je me suis réveillée c’était un vendredi matin, comme tous les jours, je mangeais. Peu après 7h50, je suis partie de chez moi, l’ascenseur est venu, je suis montée dedans, puis tout à coup un homme surgit et il commence à me parler.                                                                                                                                                                                   Ensuite comme j’étais déjà en retard, je lui ai dit de lâcher la porte de l’ascenseur mais comme il ne voulait pas, je suis descendue par les escaliers. Le soir je l’ai  revu, j’ai inventé que je me suis fait punir à cause de lui. Il m’a dit qu’il était vraiment désolé.

Anastasia R. en 6e3 le vendredi 9 octobre à Paris.

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