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Le blog de Monsieur Dyrek
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  • Des poèmes d'élèves individuels ou collectifs, des rédactions, de la correspondance avec des auteurs, les concours Printemps des Poètes. les concours Les 10 mots, productions d'élèves de Sainte-Elisabeth
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16 avril 2010

Votez pour vos poèmes préférés de 5e1

CLASSE DE 5E1 : LES 12 FINALISTES

 

Pour te retrouver

 

Le printemps de passage

M’emmène sur un autre rivage

Car la magie de la floraison

Me fait traverser l’horizon

 

Quand le jour devient nuit

Que le soleil devient pluie

C’est grâce à ton visage éclairci

Que je m’émerveille devant la vie

 

Les hivers redoutables

L’attente interminable

Pour savoir qui tu es

Et où tu étais

 

Je m’émerveille devant la chance

Qui me fait sortir de ma transe

Où je m’étais enfoncée

Dans l’espoir de te retrouver.

 

Margaux B. 5e1.

 

 

Je l’entends dans ma tête

Chaque fois que le jour se lève.

Son écho et ses différents bruits

Métamorphosent ma vie !

 

Tous les jours, je m’émerveille

Grâce à ce joli poème

A l’instant où on l’entend

La magie de ce poème nous envahit.

 

Et si l’on ferme bien les yeux

Nous pouvons voir des fragments d’images

C’est le futur, le passé, le présent

Et plein de fruits, de vie, c’est le printemps.

 

Tous les jours, je m’émerveille

Grâce à ce joli poème

A l’instant où on l’entend

La magie de ce poème nous envahit.

 

Mais qui es-tu ? Mais où es-tu ?

Ton souffle m’envahit

C’est le secret, la magie

De ce joli poème.

 

Bertrand B. 5e1.

 

 

 

Emerveillement du monde

 

Je m’émerveille devant l’enfance

Qui prend sa distance

Pendant le printemps

Il en ressort des fragments

 

Je m’assieds près d’un arbre

Je sens une douce saveur

Qui a l’odeur de la fleur

Celle que je sens toutes les nuits

 

Je m’émerveille devant l’enfance

Qui prend sa distance

Pendant le printemps

Il en ressort des fragments

 

Quand je vois le soleil

Je regarde les gens qui s’étincèlent

Et le sourire sur leur visage

Qui se métamorphose

En faisant une pause

 

Elisabeth C. 5e1

 

 

 

Je m’émerveille de croire en la vie

Rangée dans un « petit étui »

Qui s’ouvre et qui se ferme

Quand j’en ai envie

 

Qui es-tu où es-tu ?

Toi qui souffles à mon oreille

Qui m’attends tous les jours

Qui m’envoies des lettres d’amour

 

Je t’attends devant chez toi

Mais tu ne réponds pas

Je t’attends devant chez toi

Mais tu ne sors pas

 

C’est fini je t’ai perdu

 

Je m’émerveille de croire en la vie

Rangée dans un « petit étui »

Qui s’ouvre et qui se ferme

Quand j’en ai envie

 

Kelly D. 5e1.

 

 

 

Le Printemps des Poètes

 

Je m’émerveille du jour qui illustre mon futur

Des rencontres inattendues.

Que nous soyons cueilleur et fleur à la fois

Les saveurs indéfinies et je reconnais ce goût…

 

Le printemps étant merveille et l’hiver presque mortel

Je m’émerveille de cette puissance éternelle.

 

Je m’émerveille à chaque bruit

De l’oiseau qui improvise son cri.

Que nous soyons écrivain et lecteur à la fois

Horizon magnifique et ensoleillé de regards.

 

Les soldats étant en guerre et la survie cruelle

Je m’émerveille de vivre en mon poème.

 

Je m’émerveille des mots qui envahissent ma tête

De la magie qui est secrète.

Que nous soyons pauvre et riche à la fois,

Printemps dansant, je te retrouve, je sais où tu es ! tu es dans mon poème…

 

Manon F-C. 5e1.

 

 

 

Je m’émerveille d’un monde nouveau

Mais où es-tu je viens à ta rencontre

Le jour, la nuit des fruits

Les bruits de la vie

Le passage de l’hiver

L’arrivée du printemps

 

Que vois-je une fleur à l’horizon

Puis deux, puis trois… une infinité

Et soudainement la métamorphose du paysage

Le souffle du printemps

Laissa un marquage sur mon visage

Une saveur que je ne saurai décrire

 

Je m’émerveille d’un monde nouveau

Mais où es-tu je viens à ta rencontre

Sur mon poème je vois encore de ta magie

Des images du paysage qui me marquèrent de vie

 

Je m’émerveille de t’avoir rencontré

Et avec moi ton secret est bien gardé

 

Le plus beau printemps.

 

Arnaud N. 5e1.

 

 

 

Le Printemps

 

Oh, je m’émerveille de ce jour

Où le printemps réchauffe mon cœur

Là où ces fleurs fleurissent

Commence la lumière de ma vie.

 

Je la vois qui court dans les champs,

Son léger parfum qui accompagne le vent.

Les douces notes qui dansent autour de moi

Je m’émerveille devant toutes ces beautés.

 

L’obscurité de la nuit sort comme une ombre

Errant autour de nous, on nous emprisonne

Le monde devient espace, lumière devient la lune

C’est ainsi je m’émerveille par cette magie sombre.

 

Oh, je m’émerveille par le secret de l’enfant

Ton visage qui reflète comme l’étoile de la nuit

Le fruit qui tombe de l’arbre

Mon avenir tombe entre tes mains comme l’eau qui coule.

 

Lissa I. 5e1.

 

 

 

L’hiver se transforme en printemps

Les arbres, les fleurs, les mots

Tout ça réapparaît en même temps

La glace devient eau

 

Je m’émerveille de cette magie

Magie de l’enfance

Qui règne en mon cœur

L’image des colliers de fleurs

Restera dans ma mémoire

 

L’éventail du décor devient vert

Il arrête d’être blanc

Mais nous que le vent

Le vent froid de l’hiver

Reviendra après l’automne

Nos nuits seront plus longues

Finis le printemps et ses journées chaudes

 

Je m’émerveille de l’horizon

Qui change au rythme des saisons

En l’espace d’un instant

Le paysage triste se détruit en fragments

Et le printemps recommence

 

Victoria P. 5e1

 

 

 

Ton image

 

Je m’émerveille du soleil qui perce le ciel sombre

De ses rayons qui caressent ton doux visage

De cette puissance qu’il dégage.

 

Je m’émerveille de cette eau claire

Qui fait vivre fleurs, arbres et nature,

Cette eau pure qui te fait vivre.

 

Ces belles choses me font penser à toi,

Toi mon amie,

Je t’offre ce poème, prends en soin,

Comme cette nature qui nous éblouit.

 

Je m’émerveille de ce printemps qui te réjouit

De cet été qui te réchauffe,

De cet automne qui te rassure,

De cet hiver qui te repose.

 

Ces belles choses me font penser à toi,

Toi mon amie,

Je t’offre ce poème, prends-en soin

Comme cette nature qui nous éblouit

Prends-en soin et ne m’oublie pas, je t’en prie

 

Blandine P. 5e1

 

 

Je m’émerveille de voir ces gens

Porter l’amour, un petit instant

Quand je crois enfin que c’est à moi

Je me réveille et tout s’en va.

 

Quand je vois tous ces gens

Crier, pleurer plus que rigoler

A chaque fois que je vois ça

Je n’y arrive pas à l’oublier.

 

Je m’émerveille de voir ces gens

Porter l’amour, un petit instant

Quand je crois enfin que c’est à moi

Je me réveille et tout s’en va.

 

Quand je vois tous ces gens

Tout manger mais disant maigrir

Je me demande souvent

A quoi ça sert de mentir.

 

Je m’émerveille de voir ces gens

Porter l’amour, un petit instant

Quand je crois enfin que c’est à moi

Je me réveille et tout s’en va…

 

Nicolas S. 5e1.

 

 

 

Je m’émerveille des jours que l’ombre métamorphose en nuit

De nos rêves remplis de magie

Des mots que le temps transforme en écho

Du temps qui s’écoule comme de l’eau.

 

La question étant « où es-tu ? »

On cherche sans jamais avoir connu

La vie ne dure qu’un instant

Et pourtant on s’en plaint à tout moment.

 

Je m’émerveille des jours que l’ombre métamorphose en nuit

De nos rêves remplis de magie

Des mots que le temps transforme en écho

Du temps qui s’écoule comme de l’eau.

 

Le cycle des saisons

Avance comme un souffle profond

Son secret est renfermé

Et nous ne le connaîtrons jamais.

 

Elena S. 5e1.

 

 

Je m’émerveille

 

Alors que le vent caresse ton visage

Alors que les mots deviennent des images

Alors que la pluie tombe avec l’orage

Je n’ai qu’une chose à dire :

Je m’émerveille.

 

Je m’émerveille de la fin qui n’est que le début

Je m’émerveille de ces matins où le bonheur nous fait renaître

Je m’émerveille de l’instant qui dure une éternité

Je m’émerveille de la vie, si belle et si triste.

 

Alors que le vent caresse ton visage

Alors que les mots deviennent des images

Alors que la pluie tombe avec l’orage

Je n’ai qu’une chose à dire :

Je m’émerveille.

 

Je m’émerveille de ton visage si fragile

Je m’émerveille de l’enfance si magique

Je m’émerveille de la fleur au printemps

Je m’émerveille de ton ombre si gracieuse et si sage

 

Alors que le vent caresse ton visage

Alors que les mots deviennent des images

Alors que la pluie tombe avec l’orage

Je n’ai qu’une chose à dire :

Je m’émerveille.

 

Margot S. 5e1.

 

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Commentaires
N
Bonsoir,<br /> Et bien, le choix entre ces poèmes est assez difficile à faire, les douze retenus regorgeant d'inventivité et de trouvailles astucieuses. Mais puisqu'il faut faire un choix, trois m'ont particulièrement frappé:<br /> - le poème de Margaux B. (le premier de la liste dans "Emerveillement du monde") m'a intéressé par son habile jeu sur les saisons et par l'entremêlement d'une histoire personnelle et d'un propos plus général, universel.<br /> - le poème de Lissa I. (dans "Le Printemps") m'a beaucoup plu, grâce à ses sonorités très évocatrices et son écriture très raffinée, légère et fluide.<br /> - enfin le dernier poème de 5e1, celui de Margot S. (dans "Je m'émerveille"), m'a surpris par son jeu sur les anaphores et son intelligente construction. La beauté des évocations est aussi un critère de mon choix.<br /> <br /> Voilà, j'en ai donc retenu trois (malheureusement, car tous sont surprenants et plaisants) et je vais m'atteler aux autres classes. Cela me rappelle ma scolarité au collège Ste Elisabeth et les superbes cours de Français de 6e et 5e qui m'ont donné la passion pour les mots que je conserve aujourd'hui.<br /> <br /> Bonne continuation!<br /> <br /> Nicolas Thibault, ancien élève de Monsieur Dyrek (6e et 5e) et maintenant en Terminale L.
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P
Je m'émerveille... et émerveillé je demeure devant tant de merveilles. Des perles, des pépites, si proches de nous et que seul le talent de leur professeur a su révéler. A l'égal du souffle d'air tiède qui réveille et dévoile les richesses enfouies aux fins fonds de l'hiver : c'est le Printemps. Merci!! Et félicitations à tous les finalistes. XP
Répondre
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