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Le blog de Monsieur Dyrek
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15 mai 2009

4 récits sur Ulysse

               Le deuxième voyage d’Ulysse

      Quand arriva l’aurore aux doigts de rose, Ulysse l’endurant, se réveilla en sursaut.

Il se souvenait d’avoir fait la promesse à ses compagnons qu’il y aurait une suite de l’incroyable voyage d’Ulysse et ses compagnons. Il avait hâte de se rendre sur l’ile « Atrapmos »  . . .

      Peu de temps après  le départ, Zeus le puissant ordonna à Hermès (son fidèle messager) d’informer Ulysse que l’île était trop dangereuse et qu’il fallait faire demi-tour. Seulement, Ulysse prétendait qu’il s’était réconcilié avec Poséidon  et qu’il lui avait promis de  l’aider dans chacune de ses aventures.

      Arrivés sur l’île,   Ulysse et ses compagnons rencontrèrent  de petits êtres jaunes et violets. Qui se nommaient  les  « On cat bras »  et ils  possédaient également quatre bras !  Ils   faisaient  un petit peu peur,  mais ils étaient gentils en fin de compte ces petits êtres.

« Heureux, qui,  comme  Ulysse a fait  beau  voyage »  se répétait  Zeus. »   Autrefois, il en faisait de  beaux voyages, mais là … c’était  vraiment  trop dangereux !

C’est qu’il connaissait bien les On cat bras,  Zeus. 

        Du côté   d’ Ulysse  ,  il  quitta  le village  des  On cat  bras  pour aller  explorer  l’î le .  Elle était  magnifique !  Elle  sentait bon, le doux  parfum  fruité  que de grosses fleurs  appelées «  Aphrodite » lâchaient. Ulysse se ressaisit  il  ne voulait pas ,  une fois de plus , être  tenté  par  quelque chose  ni quelqu’ un .  De retour,  il vit  de grandes flammes  provenir  du  villages  des  petits  êtres  jaunes  et  violets. Que cela pouvait-il  bien être ? Il s’approcha  et fut  horrifié de ce qu’il  put  voir : ses   compagnons  en feu(…)

      Quand arriva l’aurore aux doigts de rose, Ulysse le rusé se retrouva attaché par des cordes ! Les On cat bras le jetèrent dans les flammes : à ce moment précis, POLYPHEME envoyé par Poséidon, arriva et écrasa les Oncatbras .

Ulysse libéré, pria Athéna la déesse de l’intelligence et de la sagesse pour ces pauvres Oncatbras qui étaient morts et il s’en voulut un peu lorsqu’il réalisa que ses compagnons l’étaient aussi.

Il allait devoir repartir de cette magnifique et paisible île, tout seul.

Après un long et fatigant voyage, il arriva à Ithaque, la ville dans laquelle il habitait.

En arrivant en plein cœur de la ville, il lut une pancarte très étrange qui semblait vouloir lui transmettre un message.

« Et la rame frappa  le flot qui blanchit sous les coups. »

Après avoir bien marché, il arriva en fin chez lui et se jeta dans les bras de sa tendre épouse Pénélope, qui lui fit remarquer qu’il était parti il y a 4 mois, donc qu’il avait mis moins de temps qu’à son dernier voyage.

Jeanne de M.  6°3

Lucille B                                                                                A Paris, le 30 avril

6.3

Ulysse et les Oncatbras

Chapitre 1 : L’île d’Atrapmos

     Quand arriva l’aurore aux doigts de rose, moi et mes compagnons aperçûmes au loin un petit archipel, nous décidâmes d’accoster sur la plus grosse île. Lorsque l’on accosta, un berger passa devant nous ; Je l’appelai, « Héo ! Toi peux-tu nous dire sur quelle île sommes-nous ? » dit le courageux Ulysse.

Le berger répondit d’une voix fluette : « Bonjour étranger, tu te trouves en ce moment sur l’île d’Atrapmos. Veux-tu que je te présente à notre roi ? » « Volontiers ! » répondit le brave Ulysse.

Chapitre 2 : Oumpamos le roi

     Leur roi était un être assez étrange, il se nommait Oumpamos et était très petit, mais il était d’une gentillesse incomparable, jamais je n’avais vu un homme aussi généreux que lui.

-         Bonjour noble étranger, je vais te raconter l’histoire de notre peuple, si en échange tu me donnes ton nom.

-         Je suis Ulysse, connu sous le nom d’Ulysse aux mille ruses.

Le roi, alors m’expliqua l’histoire de son peuple. Ce peuple étrange envoyait leurs garçons à l’âge de 10 ans sur une île plus loin sans rien à manger, car ils devaient se débrouiller par leurs propres moyens. Ils revenaient ensuite à l’âge de 20 ans.

Chapitre 3 : La découverte de l’île

     Le lendemain, quand arriva l’aurore aux doigts de rose, comme le roi m’avait invité pour la nuit, avec mes compagnons nous décidâmes d’explorer l’île d’Atrapmos.

Cette île était bizarre : au fur et à mesure que l’on avançait, les paysages devenaient différents : ils passaient du désert aux montagnes, des montagnes aux plaines… etc.

Dans ce monde si étrange les gens étaient pacifiques, jamais personne dans ce pays ne connaissait la pauvreté et tout le monde s’entraidait.

J’aurais aimé rester plus longtemps, mais ma fidèle Pénélope me manquait.

Chapitre 4 : L’attaque des Raqualoums

     Un soir j’entendis une voix qui criait : « Aux armes, aux armes, les Raqualoums nous attaquent !!! ». Je me demandais qui était les Raqualoums mais pour l’instant ce n’était pas le moment, car je savais que la bataille allait bientôt commencer !

     J’enfilai en vitesse mes armes et courus dehors sur les murailles du palais pour combattre. Les Raqualoums étaient très nombreux face aux Oncatbras mais nous avions le courage et l’honneur. Pendant la bataille, je repérai quelque uns de mes compagnons qui, avec une rage étonnante, fonçaient dans la bataille pour sauver quelques Oncatbras.

Chapitre 5 : L’échec des Oncatbras

     Un à un les hommes tombaient sous les coups, il fallait nous replier dans les montagnes. Je courus dans la salle du trône pour prévenir le roi, lorsque je vis la chose ma plus horrible de ma vie. Le roi gisait mort une épée dans le cœur. Je criais, je m’arrachais les cheveux, la tristesse et la colère m’envahissaient en même temps, je répétais toujours la même phrase : «  Ce n’est pas possible, ce n’est pas possible ! » Mais il était trop tard, il fallait fuir, je pris un clairon et sonnai la retraite. Mes compagnons ayant entendu me rejoignirent, je leur dis :

« Mes amis, il faut partir, nous avons échoué, vite !! » Ils ne se firent pas prier, nous rejoignîmes notre bateau et la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups.

L’île Atrapmos

L’arrivée

Il était une fois Ulysse, un grand héros grec et un magnifique guerrier. Toutefois, il faisait aussi un très bon marin. Il commença son interminable voyage à Troie qui grâce à sa ruse finit par tomber. Ulysse et ses compagnons étaient partis pour rentrer tranquillement chez eux, à Ithaque, quand une série de tempêtes les fit aller d’un bout à l’autre de la Méditerranée et un funeste jour de Décembre, ils s’engagèrent dans le détroit de Gibraltar et le lendemain, leur navire laissait une traînée blanche sur les flots de l’Océan.

     Dix jours plus tard, Ulysse et ses compagnons arrivaient en vue d’une terre inconnue. La côte était bordée d’une grève qui ne semblait jamais s’interrompre. En arrière plan, on pouvait voir des monts assez peu élevés. Ils jetèrent l’ancre à marée basse.

     Ulysse envoya trois de ses matelots en exploration sur le littoral. Ils revinrent quand arriva l’aurore aux doigts de rose. Ils racontèrent qu’ils avaient fait le tour de ce qui semblait être une île. Ils décrivirent en détail le paysage : « La côte est toujours la même sur toute sa longueur, c’est à dire la plage de sable fin bordée de falaises percées de quelques ouvertures pour accéder à l’intérieur de l’île ». Ulysse dit « Nous explorerons l’intérieur de l’île demain. »

La rencontre

Quand arriva l’aurore aux doigts de rose, ils s’engagèrent dans une ouverture de la falaise. Ils s’aperçurent bien vite que l’île était peuplée. Les champs et les habitations augmentaient au fil de l’exploration. Ils observèrent toutefois que les habitants manquaient. Ils arrivèrent enfin à une petite ville. Au centre de celle – ci, il y avait une place sur laquelle une foule écoutait le discours d’un roi, sans doute, assis sur un trône. En les voyant arriver, il interrompit son discours pour leur demander : « D’où venez-vous, étrangers ? ». Ulysse répondit : « Nous sommes des Grecs qui poussés par les tempêtes ont accosté à votre île : nous sommes des naufragés. » Ulysse observa que ses gens étaient humains tout comme eux. Sur ce, le roi les entraîna dans son palais situé à deux pas de là.

     Il leur apprit que son peuple s’appelait les Oncatbras à cause de leurs dieux qui avaient quatre bras. Il leur apprit aussi que les Oncatbras étaient partagés en douze nations ayant chacune une ville-capitale comme celle-ci.

Menaces et troubles

Le roi envoya des messagers alerter les onze autres nations. Deux jours plus tard, quand tous les messagers furent revenus, le roi fit part de ses inquiétudes à Ulysse. « Cinq nations t’acceptent comme invité, mais les six autres craignent pour leur sécurité et demandent que toi et tes compagnons partiez ». « Par Zeus tonnant, je ne partirai pas ! » s’écria Ulysse. Le roi, quand à lui, ne l’obligea pas à partir. Mais deux semaines plus tard, les demandes se transformèrent en menaces de guerre. Les compagnons d’Ulysse n’étaient pas inquiets et ils disaient « N’est-il pas Ulysse aux milles ruses, n’est-il pas Ulysse aux mille tours : il nous trouvera une solution. ». Le roi demanda à Ulysse s’il avait un plan. Il répondit « Oui, j’en ai un. ». Pour se protéger, les six nations protégeant Ulysse, construisirent un fort sous le commandement de celui-ci. Le fort fut entouré de hauts murs en demi-cercle jusqu’à la falaise.

La guerre

Deux jours plus tard, la guerre commença. L’armée d’Ulysse et ses compagnons comptait trois cents soldats, l’armée ennemie en comptait cinq cents.

     L’armée des six nations ennemies était en surnombre et la guerre tourna rapidement à leur avantage.

     Mais Ulysse avait un plan, comme toujours, et on employa les deux heures suivantes à le mettre en pratique.

     Le plan marcha si bien que la guerre tourna à l’avantage d’Ulysse en moins d’une heure et que le lendemain, ils avaient remporté la victoire.

     Il leur restait deux cents soldats.

Un départ précipité

Les deux jours suivants, on festoya discontinuellement.

Mais le troisième jour, on aperçut des bateaux de Maures qui fonçaient sur eux.

On leur apprit que les Maures étaient les plus dangereux soldats de la région. Ulysse et ses compagnons décidèrent de partir et la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups.

Dorian C.  6e2  le 24/04/2009   

                                                           ULYSSE ET LA BETE

                Ulysse et ses compagnons arrivèrent sur une île. Cette île eut pour habitants les Oncatbras. Ces gens avaient  quatre bras sur leurs hanches. Quand Ulysse et ses compagnons posèrent pied  à  terre,  ils étaient loin de se douter que les habitants étaient très tristes, car sous leurs airs gentils se cachait la peur. Oui, car cette île avait entre ses forêts une bête monstrueuse…

                Quand arriva l’aurore aux doigts de roses, moi Ulysse, roi d’Ithaque, me réveillai.  Moi et mes compagnons avions dormi sur la terre de l’île.  Intellos, mon messager, était assis sur une pierre avec une plume et un parchemin. Je m’approchai et lui dis :

-  « Que fais- tu ? » dis- je.

- « J’écris un message d’appel à l’aide »

- « Mais… pourquoi ? Ça mettra des mois pour arriver sur une île » m’interrogeai-je.

- « Justement, « des mois » ce n’est pas pareil que « des ans » répondait-il.

Je soupirai et allai réveiller mes compagnons. Nous partîmes explorer l’île. Soudain, que vois-je ? De la fumée !!!! Nous courûmes vers ce voile noir. C’est bien ce que je pensais ! Un village. Nous étions sauvés. Nous descendions vers le village.

- « Regardez ! » criai- je

Mes compagnons me rentrèrent dedans.

                Maintenant, cela ne ressemblait plus à un groupe mais à un gros tas.

- « Mince mon roi, vous avez oublié de nous dire « halte » répondit Intellos.

Je retiens la vague envie de leur hurler dessus.

- « Bon, d’accord mais regardez » dis-je

Mes compagnons regardèrent … et leur bouche descendit jusqu’au sol. Les villageois avaient quatre bras.

- « C’est quoi ces ziggotos ? »  dit l’un de mes compagnons.

- « Ce sont les Oncatbras : ils ne vivent pas d’agriculture, leur terre leur fournit de tout ; fruits, trèfle » dit Intellos

- « Je trouve ça bizarre » dis-je.

Un hurlement déchira l’air. Je me retournai et vis un monstre : très grand, moitié-coq, moitié-serpent, il était monstrueux. Heureusement, il ne s’intéressait  pas à nous. Il sauta sur la place du village et rien qu’à son regard, il tua quatre personnes. Je ne pouvais pas laisser ça comme ça.

                Je courus chercher un miroir ; j’avais compris la solution. Ce monstre tue grâce à son regard.

Il faut donc pour ça renvoyer le poison. Je suis content qu’on m’appelle « Ulysse aux mille tours » car c’est vrai ! J’atterris sur la place du village, attirai le monstre et fermai les yeux en tendant le miroir.

  Le monstre s’agita et tomba raide mort.

                Les Oncatbras me regardèrent. Ha, c’est déjà le matin! Quand arriva l’aurore aux doigts de roses, un spectacle horrible se déroula. Les villageois grandirent, se transformèrent et devinrent le monstre que j’ai tué. Les monstres hurlèrent et coururent vers nous. Nous courûmes pour enfin arriver au bateau. Tout s’éclaircit dans ma tête : les Oncatbras  se transformaient en monstres lorsque l’aurore arriva et le jour aussi. « En même temps le temps passe rudement vite » . Ce que je croyais être le jour était en fait la nuit. Nous nous installâmes et la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups. Moi

« Ulysse aux mille ruses » et « Ulysse l’intrépide » regardai  les monstres hurler

                                                    

                                                            FIN

VICTORIA P    6.3       SAINTE ELISABETH            A PARIS LE 28/04/2009

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