5 récits de transports par les sixièmes

LE JOUR OU J’AI RATE L’AVION

        Tout commence en classe. La maîtresse nous annonce que nous partons en voyage à Apinac, un petit village à la campagne en Océanie. Toute contente, je rentre à la maison et montre fièrement le mot que nous à donné la maîtresse.

        D’ abord mes parents se disent que je suis jeune, mais après avoir lu le mot, ils me disent que je peux y aller. Je saute de joie !!! Ce sera mon premier voyage en classe avec mes amies. Et en plus je vais prendre l’avion.

Une semaine après …

     Je me lève toute contente et je me dis « c’est le jour J !».

     Je m’habille, ensuite je prends mon petit déjeuner et je pars. Peu après je suis à l’aéroport, je dois attendre pendant deux heures, que c’est long ! Dix minutes avant le départ, mes parents acceptent enfin de m’acheter un paquet de bonbons. Le temps de trouver le stand une voix annonce dans le micro « Dernier appel ; les passagers du vol 10 sont priés de rejoindre l’avion ». Je me dépêche de revenir près de mes parents et trop tard l’avion décolle. Une voix annonce « L’avion en direction d’Hawaï est parti. »  OUF !!! Nous nous étions trompés de salle.

     Mais que se passe-t-il, mon avion décolle!

       Oh non plus jamais, je ne partirai avec ma classe en voyage ! Promis !

FIN

                   Caroline C

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JE VAIS  VOUS RACONTER LE JOUR OU J’AI RATE LE BATEAU

     Cela s’est passé il y a trois ans, quand j’avais huit ans.

Un jour, papa et maman m’ont dit que nous allions partir faire un voyage en Corse au cours de l’été.

Donc moi, tout excitée, je préparais ma valise en me faisant bien sûr aider par maman…

Peu après, nous partions avec la voiture de papa. Le voyage me parut long, mais papa m’a dit que ça ne durait que deux heures.

     Arrivée à Marseille, sur la place du port, j’ai sorti ma super balle rebondissante de ma poche, mais elle m’a échappé. J’ai couru après et je l’ai enfin récupérée après une longue course poursuite. Ensuite je suis revenu au port et je vis le bateau qui était parti sans moi !

D’abord j’ai pris ma valise et je suis allée voir une dame qui faisait du baby-sitting.

Elle m’a gardée pendant le séjour.

Après, mes parents sont arrivés et nous sommes repartis pour Paris.

FIN

                  Catherine D. R.

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LE JOUR OU J’AI RATE L’AVION

     Le jour où j’ai raté l’avion, j’ai rencontré ma meilleure amie: Maria. Je devais partir de Paris à Milan pour y voir mes cousins qui y habitent. Mon avion était à 13H54 et le sien aussi. Je suis arrivée a l’heure ; dit au revoir à mes parents et me suis assise dans la salle d’attente billet à la main. Elle s’est assise à côté de moi et nous avons commencé à bavarder bien que nous ne nous connaissions pas. Que le temps fut passé vite ! Trop vite même : peu après, je vis notre avion partir… sans nous malheureusement !

     D’abord, nous étions inquiètes et ne savions que faire. Ensuite, nous éclatâmes de rire. Et nous sommes restées là, à attendre, dans la salle d’attente de l’aéroport à papoter de choses diverses : la musique, l’école, les films…

      J’ai tout de suite remarqué que nous avions beaucoup de points communs.

En plus, elle était si gentille et si belle ! Elle avait de longs cheveux bruns et bouclés, des yeux  bleus qui brillaient tellement fort qu’ils ressemblaient à des diamants… Finalement, nous avons appelé nos parents pour venir nous chercher et échangé nos numéros de téléphone. A présent, quand je prends l’avion je pense à ma rencontre avec Maria. 

ALEXIA B 6e 3  pendant un devoir le 9/10/2009 au collège STE ELISABETH à PARIS

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LE JOUR OU J’AI RATE L’AVION.               

          C’était un matin comme les autres, le ciel était nuageux. Ce matin là nous partions en vacances dans le Sud de la France. Mes parents n’avaient pas entendu le réveil, nous nous étions réveillés plus tard. Les valises étaient presque terminées. L’avion partit dans 1 heure ! Nous étions en retard. C’était l’heure de partir, papa me cria « Allez, on part ».Je montai dans la voiture, d’abord j’attachai ma ceinture, ensuite j’entendis le moteur démarrer. Peu après nous étions sur la route. Je n’arrêtais pas de me poser la même question ! Allions-nous arriver à temps ?

           La voiture était bloquée dans les bouchons. 20 minutes de bouchons, indiquait le panneau électrique. Notre avion était dans 30 minutes. Papa décida de sortir de l’autoroute, il prit une petite route de campagne. Nous tournâmes gauche, à droite, etc …Nous étions définitivement perdus ! Maman avait beau chercher sur la carte routière, nous ne savions pas où nous étions. Nous aperçûmes  un paysan ; peut-être était-il fermier. J’espérais qu’il allait pouvoir nous guider ! Nous l’interrogeâmes

_ « Bonjour, savez-vous où est l’aéroport, nous nous sommes perdus !

_Oui, prenez à gauche et puis à droite !C’est un raccourci ! »

C’est bon, nous y sommes, ouf ! Nous nous précipitâmes vers l’enregistrement. Nous nous enregistrâmes, on nous indiqua la porte 29n. « Le vol en direction de Marseille, veuillez vous présenter à la porte 29n » indiqua une voie. Le temps de traverser l’aéroport, l’avion avait décollé.

Papa cria

_ « NON !! Tout ça pour rien, dit papa.

_Ce n’est pas grave, vous savez quoi, nous n’avons qu’à partir à l’Île Maurice, vous êtes d’accord ? dit maman.

_Oui, répondis-je.

_Bon c’est d’accord, dit papa.

Et nous partîmes dans un notre avion. Nous passâmes de très bonnes vacances.

                      Pierre C. 6^e2

                                                « LE JOUR OU J’AI RATE L’AVION ».

     C’était il y a maintenant 3 ans, ça allait être les vacances d’été dans un peu moins de deux semaines et mes parents avaient mis un mot dans mon cahier pour dire que je partais dans deux jours à Rodez.

     Peu après, quand je le dis à ma meilleure amie, elle sembla triste mais je la réconfortai en lui disant que nous nous reverrions l’année prochaine et qu’elle serait toujours mon amie.

Quand le jour « J » arriva, je partis avec mon père dans le bus, mais dès que nous sommes rentrés, le cauchemar commença...

     Le conducteur était très jeune et venait peut-être d’avoir son poste. D’abord il mit un temps fou pour démarrer et ensuite il avançait très, très lentement. Mon père commença à être inquiet mais quand, enfin, nous arrivâmes il y avait une immense queue et ça n’avançait pas très vite. Peu après, une hôtesse de l’air courut vers moi pour m’amener à l’avion, car j’étais très en retard, j’eus le temps d’embrasser mon père et nous courûmes jusqu’à l’avion.

J’étais soulagée de pouvoir arrêter de courir partout et de me reposer. D’abord le bus n’avançait pas, ensuite l’immense file d’attente, j’étais très fatiguée par tout cela. Mais bon, tout est bien qui finit bien

                 Camille H. 6 e 2  à Sainte- Elisabeth à Paris