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Le blog de Monsieur Dyrek
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  • Des poèmes d'élèves individuels ou collectifs, des rédactions, de la correspondance avec des auteurs, les concours Printemps des Poètes. les concours Les 10 mots, productions d'élèves de Sainte-Elisabeth
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22 octobre 2017

FablesLettresF5e et LégendesRécits6e RemiseDesPrix Samedi18Novembre2017 14hMoulinDeLaBievre L'Haÿ-les-Roses

 

          FABLES À LA  LETTRE F

 

     Remise des prix du concours de poésie des collégiens.
     Les 5e ont rédigé des FABLES A LA LETTRE F, les sixièmes des LEGENDES-RECITS.

     Les élèves à quatorze/quinze sur vingt et plus sont finalistes

et recevront chacun un diplôme.

    Livres et coupes sont aussi en jeu.

    Mais lecture et écriture sont en elles-mêmes des cadeaux !

    Moulin de la Bièvre Salon du Livre et des Arts de L'Haÿ-les-Roses

73 Avenue Larroumès à 14h le samedi 18 novembre 2017.

Thème du Salon tout le week-end : La Bretagne, livres, photos...

     La Fraise et la Framboise, La Girafe et la Fourmi, La Forme et le Fond, Le Fabuliste et les Enfants, Le Fini et l’Infini, Le Fromage et le Friand, L’Imparfait et le Futur, Le Trèfle et le Siffleur,  Le Fabuliste et la Fée, Le Frêle et le Fort... La Foule et la Folie ; Le Château-Faible et le Château-Fort ; Le Fugitif et le Fennec ; La Fortune, l’Infortune et le Trèfle à quatre Feuilles ; Le Fantastique, le Formidable et le Frimeur ; Le Fabuliste et l’Enfant ; La Farce, la Fable et le conte Fantastique...

 

I) Fables à domicile

 

   Le Furet et le Faucon


Le Furet bien caché,

Au Faucon voulait échapper

Le Faucon lui,

Voulait juste se faire un ami.

     "Il n'est pas si méchant 

      Pour un rapace si grand" 

Ils devinrent amis

Et inventèrent une mélodie.

Le Faucon,

Jouait de l'accordéon

Le Furet amusé,

Chantait, chantait.

Cette belle amitié

Dura une éternité.

 

     Timothée F. en CM2 en mai 2017.

 

**

     Le Frêne, l'Elfe et le Faisan

 

Deux amis unis grâce à la pluie

Se retrouvèrent chaque midi

A côté du frêne et de son buis

Le vieil arbre centenaire

Aimait beaucoup leur anecdote dont ils rirent

Trois amis causent entomologie,

Mais l'elfe écarté en était ennuyé

L'elfe et le frêne discutèrent foyer

Le faisan passant par là entendit cela

Je suis horrifié par ce plumage plein d'éclats

Le frêne l'elfe et le faisan

Discutèrent sentiments

Le frêne coupable

En tomba malade

L'elfe et le faisan protégèrent leur ami

De l'incendie

Partez restent deux

A jamais heureux dit le vieux

Plus tard, l'elfe et le faisan vinrent voir leur ami

Mais de lui il ne restait que suie

La tristesse nous suit depuis que tu es parti

Les deux amis dépités

Pleurèrent ainsi chaque année

 

     Elodie M. 12 ans dans le Val-de-Marne.

 

*

 

     Le Fantôme de la Girafe

 

Au loin on aperçoit ce nuage gris

Rempli de douleur et de cris.

Les guerriers du mal affrontant l’innocence

L’innocence qui essaye seulement d’échapper aux souffrances.

Des familles affamées, qui ont peur de ce nuage gris,

Et quand d’autres s’enfuient, la mort les rattrape,

Et leurs vies ne sont plus que cendres.

 

Mais chaque nuit si on a espoir

On peut voir une girafe se baladant au pourtour des maisons

Laissant quelque part quelque chose à manger et à boire

C’est elle, le fantôme de cette girafe qui laisse les feuilles de salades,

Les goyaves, les mangues et toutes sortes…

Auprès des portes.

 

« Oh merci girafe de bon cœur, tu es notre fantôme sauveur

Grâce à toi femmes et enfants pourront manger cette si bonne nourriture

A laquelle tu as mis espoir et générosité

Tu es notre soleil, notre bon augure

Nous te remercions au plus profond de nos cœurs

Car c’est à toi qu’appartient le cœur pur »

 

A ces mots la girafe galopa dans le ciel en se disant tout bêtement

Qu’il ne suffit pas de grand-chose pour rendre certaines personnes joyeuses

 

Elle galopa et galopa jusqu’à atteindre les étoiles,

Pour enfin émettre sa lumière pure et joyeuse à travers les nuages

Cette lumière qui protège et éclaire l’innocence

Mais détruit le mal

 

Cette lumière qui aujourd’hui reste tout près de nous

Cette lumière jaune et étincelante qui nous réchauffe

Afin de mettre dans nos cœurs, innocence et couleur

 

Comme quoi, il ne faut jamais abandonner

Quoi que l’on fasse

Il y aura toujours une chance qui nous attendra quelque part.

 

         Laura B. –  5e3 à Paris en septembre 2017.

 

*

 

     Le Fauve, le Fennec, et le Figuier

 

Un jour, le Fennec et le Fauve se promenaient proche d’une ville du désert,

Quand soudain, près d’une petite maison de pierre,

Sur un petit figuier leur regard se retint.

Alléché par l’odeur qui s’en dégageait, nos deux compères à jeun,

S’approchèrent de cet arbre. Le Fauve se précipita, le Fennec l’arrêta :

     « Stop mon cher ami, trois figues il y a !

     Une pour vous, une pour moi et une que nous partagerons. »

Le Fauve accepta et le Fennec reprit du même ton :

     « Laissons-en deux ici, mais prenons la dernière. »

Disant cela, il en prit une et s’éloigna vers sa tanière.

Le Fennec l’emmenait, le Fauve le suivait, et tomba dans son piège.

Une fois le Fauve dedans, le Fennec révéla son stratège :

     « Mon cher ami, sachez que la ruse sur la force est un atout.

     Vous êtes fort, je suis frêle mais rusé ; voyez, la force ne fait pas tout. »

Alors le Fauve le supplia de le libérer.

Le Fennec lui dit : « Tourne toi, mon ami, je vais te sauver. »

Le Fauve se retourna et le Fennec lui donna trois coups aux fesses,

Puis ouvrit le piège et détala en vitesse.

Le Fauve voulut le suivre mais il chut :

Son arrière-train endolori et son ventre vide, courir il ne put.

 

     Baptiste C-B, 5e1.

 

*

 

     Le Cerf et l'Enfant

 

Le grand cerf se déplaçait

Seul dans la forêt,

Lorsqu'il entendit un bruit :

Il sut qu'il allait perdre la vie !

 

La chasse avait commencé,

Le jeune prince était invité

À cette chasse pour traquer

Ce noble cerf si prisé.

 

Le grand cerf essayait de survivre,

En tentant de se cacher

Derrière les arbres surplombant la forêt,

Et de ne pas se laisser suivre.

 

Alors que le grand cerf allait se faire tuer,

Le prince regarda cette magnifique bête

Et, réfléchissant dans sa tête,

Il décida de ne pas le condamner.

 

     Louise M. 5e1.

 

**

 

II) Fables composées en classe :

 

                                          

     L’Enfant et le Cerf

 

Un petit garçon, sans amis

Sans amour ni même compagnie,

Fils de chasseur,

Alla à la chasse au cerf, en l’honneur

De son père, prit un fusil et alla au petit bois.

Arrivé là-bas, il vit un cerf avec de longs bois,

Assez rond, qui mangeait des glands.

Alors le petit garçon sortit son arme et fit : PAN! PAN!

Le cerf détala,

Branches, tronc d’arbres, feuillages, il esquiva.

Puis, le petit garçon le perdit de vue,

Alors, il rentra chez lui fort déçu.

Mais sur la route où il alla,

Un sanglier l’attaqua.

Quelle ne fut pas sa surprise,

Quand il vit le cerf dont il avait tenté de faire prise

Le défendre, en donnant

De grands coups violents

A la bête féroce

Qui dut partir de force.

Depuis ce jour symbolique,

Enfant et cerf sont les meilleurs amis.

Le petit garçon ne chasse plus

Et a d’amis de plus en plus.

 

D’un geste gentil,

on peut faire le bonheur

de quelqu’un, mais à l’inverse, le malheur

nous est promis.

 

Apolline A. 5e 3.

 

*

 

         L’Enfant et le Fantôme Farceur

 

Un enfant entra dans une maison,

Dans laquelle il venait d’emménager

 

Ses parents étaient partis travailler, lui jouait

Quant il entendit un bruit,

 

On aurait dit un verre qui était tombé par terre !

Il s’en alla voir … Rien … Il n’y avait rien … Aucun verre…

 

Il sentit tout à coup une brise de vent traverser son dos,

- Ça doit être une fenêtre ouverte !

 

Il regarda et toutes les fenêtres étaient bien fermées,

Un frisson lui traversa le corps…

 

Quelques instants plus tard, il entendit un rire diabolique,

-Allez vous-en ! dit-il en pleurant toutes les larmes de son corps

 

Il aperçut au loin une lueur blanche qui se rapprochait de lui,

Et vit deux yeux et une bouche sur un drap blanc.

 

-AAAAAAAAAAAAHHHHHHH !!!!! cria l’enfant apeuré

-Tu veux jouer avec moi ? dit le fantôme

 

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH !!!!!!!!

Attends … je …. parle ….. à un fantôme ?!

-Oui. Tu veux jouer avec moi ?

 

 Euh … d’accord ! Je n’ai jamais eu d’ami fantôme,

-Et moi je n’ai jamais eu d’ami humain !

 

Les différences nous rapprochent, appréciez-les

Même si cela vient de votre esprit…

 

     Gaëtane A. 5e3

 

*

 

         La Fugue de l'enfant Figuier

 

On s'est toujours dit qu'une figue provenait d'un figuier,

Mais voici la vraie histoire :

 

L'Enfant né d'une famille agréable

Mais avec un frère plus que désagréable

Adorait les fleurs violettes qui poussaient sur cet arbre

Dès potron-minet elle voulait sentir la fleur aux pétales sucrés.

 

Son frère plus que désagréable détestait ce qui était bon et doux

Alors s'en alla couper l'arbre de sa sœur aux cheveux roux

 

Le lendemain, enfant isolé, fille abandonnée, pleura son arbre adoré.

Elle versa une larme sur la dernière fleur sucrée

 

Mais au moment même de la dernière minute,

Lorsqu'elle s'en alla vers sa maison elle découvrit

Que la fleur qu'elle pleura se transforma en fruit

Elle mangea un petit morceau, pour ensuite en manger un autre

Et un autre tout ça pour... pour en arriver au noyau.

 

Ce noyau n'était pas comme les autres,

Ce noyau était brun bien sûr, mais il y avait autre chose,

Comme une inscription orange paillette qui respirait et qui disait :

 

« Le jour où la personne me mangera

Et me cassera annulera mon sort et sera enfin là. »

 

L'enfant frotta du doigt cette inscription…

Sans faire attention cassa le noyau,

Et délivra la poussière sur ses pieds,

Cette poussière le fit grandir énormément

Tout ça pour en arriver à être le plus grand des figuiers

Auquel on peut se fier.

 

    Comme quoi il ne faut jamais douter de soi et quand on a l'occasion de goûter à quelque chose, mieux vaut ne pas attendre si on ne veut pas se faire couper de son rêve !

 

         Laura B. – Classe de 5e3 à Paris en septembre 2017.

 

*

 

     Le Funambule et l’Enfant très fier

 

Dans une très belle et agréable demeure,

Vivait un monsieur : un majestueux funambule.

Un monsieur très adroit,

Sur un fil marchait droit.

Faisant cela toute la journée,

Il en devenu très fier.

Un jour, un garçon aussi fier,

Alla se promener vers les clairières.

Il rencontra ce fameux funambule.

Le garçon aussi voulait devenir funambule !

Très étonné, le garçon alla l’interroger :

« Bonjour monsieur ! Je veux devenir comme vous ! »

Le monsieur très étonné lui répondit :

« Ha non ! Je veux être le seul au monde à savoir faire ça ! »

Le petit garçon retourna chez lui.

Il s’entraina, s’entraina, mais n’y arrivait pas.

Quand un jour il s’écria :

     « J’ai enfin réussi !! »

Maintenant, il faisait ses trajets sur un fil !

Pour lui, cela était très facile !

 

     Estelle B. 5e3 à Paris en septembre 2017.

 

     Photo du palmarès 2016 au Moulin de la Bièvre avec la poète-jurée Céline Escouteloup et Laurent Dyrek, organisateur des concours de poésie :

CelineLaurentsourirDiplossvisages++++

*

 

     L’Enfant, le Fennec et le Fauve

 

Le Fauve qui régnait sur sa terre

Etait très méchant envers les autres

Il leur volait tout !

Un Enfant qui aimait énormément

Les animaux, sauf ce Fauve,

Se jura de sauver tout le reste,

Mammifère, insectes, volatiles.

Le soir même, à table il le dit à sa famille.

«Tu es fou, tu ne peux rien face à ce Fauve,

Il règne depuis très longtemps

Et saura se défendre, réplica son frère.

N’importe quoi ! Plus tard, j’apprivoiserai un animal

Et on fera une révolte très puissante ! dit l’Enfant.

Et bien c’est ce que nous verrons,

Je te fais le pari

Que tu n’y arriveras pas ! » dit le frère confiant.

L’Enfant alla se coucher et fit un drôle de rêve,

Un rêve où, il voyait son futur,

Il avait apprivoisé un Fennec,

Et dans son dos, il y avait toute une armada

D’animaux de toutes sortes.

     Le Fauve en avait tellement peur qu’il s’enfuit !

     Comme quoi l’union fait la force !

 

     Gaspard B. 5e3.

 

*

 

     L'Enfant, le Fermier et le Figuier

 

Il était un fermier qui avait un figuier 

Un jour un enfant le vit et il en voulut

L'enfant prit des figues sans que le fermier  

Le prit, l'enfant recommença de nouveau

Mais un beau jour le fermier vit l'enfant

Qui prenait les figues et lui dit :

-Je t'ai eu, malotru.

 

L'enfant s'en alla mais le fermier le rattrapa,

Mécontent de ce qu'avait l'enfant

Il lui dit: Pourquoi me voles-tu mes figues ?

Elle ne t'ont rien fait et moi non plus

L'enfant lui répondit: J'avais vu ce beau figuier

Et j'en voulais un peu

Je pensais que vous ne m'en donneriez pas

-Mais bien sûr que je t'en aurais donné

Le fermier en donna à l'enfant

Et jamais plus l'enfant ne vola

 

Le fermier donna ses figues à l'enfant

Pour ne plus qu'il ne vole

Il ne faut pas voler, il faut plutôt demander

 

    Joshua B. 5e3.

 

*

 

      L’Enfant et le Farfadet 

 

Dans une forêt magique se trouve un Farfadet,

Qui n’aime pas du tout être dérangé,

Mais vient se promener un habitué.

L’Enfant regarde la maison du farfadet,

Il ne peut que l’admirer.

Elle est petite propre et bien taillée.

Le plafond est marron et les murs orangés.

L’enfant veut entrer mais le Farfadet avait fermé à clé.

Le Farfadet lance plein de billets,

Cela ne le fait pas reculer.

Alors le petit homme se met à crier :

- « Que me veux-tu ? » dit le farfadet

- « Rien, juste te regarder » répondit l’Enfant

- « Pourquoi, ai-je fait quelque chose de mal ? »

- « Non, j’ai juste toujours voulu voir un être magique… »

Alors le Farfadet ouvre la porte et lui dit d’entrer,

L’enfant accepta de boire un thé.

L’enfant est le seul à aimer les choses à leur juste valeur.

L’adulte ne sait plus admirer, c’est comme s’il avait oublié…

 

     Arthur D. 5e3, septembre 2017.

 

*

 

     L’Enfant, le Fantôme et le Fabuliste

 

Un soir, un fabuliste raconte à un gamin

Une histoire de sorcière encore vivante

Qui hante les greniers, qui s’appelle Malkin

On la reconnaît à son pas lent et à son rire malsain

Qui paralyse d’effroi et vous glace le sang

Pendant que le fabuliste narre ce conte à l’enfant

Celui-ci entend un rire bien sinistre

Il se demande d’où vient ce bruit

Il monte les escaliers qui montent dans la nuit

Il ouvrit la porte du grenier et vit une image floue

Elle s’approche rapidement de lui, l’enfant comprit,

Mais trop tard, qu’il s’agit de la mère Malkin

Le fabuliste remarque alors que le gamin

A disparu, soudain un cri perçant retentit

Le conteur grimpa à toute allure les escaliers

Mais, trop tard, le garçon a disparu, horrifié

Il comprit tardivement que la mère Malkin

A enlevé le benjamin !

On peut entendre, dans le lointain

Le fantôme de l’enfant pousser des cris inhumains.

 

Ne laissez jamais vos enfants s’aventurer

Seuls dans le grenier

Car il révèle des dangers inattendus.

 

     Emily D.5e3 en septembre 2017.

 

*

 

    L’Enfant, la Fortune et le Feu

 

Un jour un enfant vit le feu

Le feu au premier abord

N'avait que des points forts

Il sentait bon comme le bois 

Crépitait lorsque l'on alimentait

Il produisait de la lumière 

Et nous réchauffait, il était rassurant

 

L'enfant, ne sachant pas qui il était, lui dit :

-Pouvez vous grandir ?

-Je le peux

-Pouvez vous réchauffer toute la forêt ?

-Je le peux, dit-il avec un sourire

-Comment faire ? 

-Souffle légèrement sur moi et tu verras.

A ces mots, la Fortune arrive raisonnant le feu

Et instruisant l'enfant mais l'enfant n'écouta pas 

La Fortune n'insista pas 

Et l'enfant mourut brulé

 

L'apparence est troublante

Mais le feu est dangereux

On peut le regarder sans s’en approcher 

Prenez garde.

 

     Angèle D 5e3

 

*

 

     L’Enfant, le Funambule et le Fabuliste

 

Un Enfant, comme tous les dimanches,

Alla au cirque, pour aller voir son ami le Funambule.

Il arriva, s’assit au premier rang.

Le spectacle allait commencer :

« Bonjour à toutes et à tous,

Je vais vous présenter un ami », dit le Funambule.

Et quelqu’un arriva sur scène :

« Bonjour, je suis un Fabuliste

Et je vais conter des histoires drôles

Pour déconcentrer notre Funambule.

Mais avant cela, je vais choisir quelqu’un

Dans le public pour m’accompagner. »

Il chercha et choisit l’Enfant.

L’Enfant se leva et le funambule s’esclaffa.

« Ah dis donc ce sera dur de ne pas rire avec toi !! »

« Je sais ! Mais je ne veux pas que tu tombes », répondit l’Enfant.

Alors le spectacle commença.

Le Funambule s’exécuta sans se laisser distraire.

A la fin du spectacle, le Funambule,

L’Enfant et le Fabuliste s’embrassèrent

Et eurent un énorme fou rire.

Certaines fois le hasard fait bien les choses

Et peut créer des amitiés.

 

     Jade M. 5e3.

 

*

 

      L'Enfant et les Friandises

 

Un enfant marchant alla acheter des friandises                                                     

Puis rentra chez lui avec un sachet à la main                                                          

Sa mère conseilla de ne pas tout manger, en vain                                                                                         L'enfant n'écouta pas et tout mangea.

Le lendemain, une des dents de celui-ci                                                                              Le torturait, il en conclut ainsi                                                                      

Qu'il avait une carie...                                                                                                       L'enfant ne comprenant nullement la raison

Alla voir sa mère, dans le salon                                                                   

Qui elle comprit et rit                                                                                                 

     "Si hier tu m'avais écouté                                                                                               

     Ta dent ne serait pas cariée"

A ces mots, l'enfant comprit                                                                                                            Et promit à présent d'écouter                                                                            

Ce que plus grand que lui dit.

     La morale est qu'il faut toujours                                                                                   Ecouter la voix de la sagesse                                                                                          Car cela n'est pas paresse

Ça peut servir pour la vie de tous les jours

 

     Elsa E. T. 5e3.                                  

 

*

 

     L’Enfant et les Fauves

 

Un enfant,

Qui détestait ses parents,

Qui les trouvait méchants,

Décida de fuguer,

Il habitait près d’une forêt,

Il était passionné par les fauves,

Il sortit de chez lui,

Arriva dans une immense forêt,

Il faisait noir, il avait peur,

Il était bien trop loin,

Pour qu’il rentre chez lui.

Il s’allongea et s’endormit.

A l’aube, il s’éveilla, il sursauta,

Il y avait devant lui des fauves !

Il courut, les fauves couraient après lui,

Etant essoufflé, il s’arrêta,

Les fauves, l’entourèrent,

S’assirent avec lui,

Il y avait un lion avec sa crinière rose

Un léopard avec des taches bleues,

Trois petits lionceaux,

L’un était vert, l’autre était jaune

Et une petite rose toute mignonne.

     Ils se présentèrent :

Je suis le roi de la savane qui est juste derrière la forêt, dit le lion.

Je suis la femme du lion, dit le léopard rose

Et moi, je suis la fille du roi et de la reine de la savane

Et voici mes frères, et toi, qui es-tu ? demandèrent les lionceaux.

Moi, je suis un homme, je viens du camp qui est là-bas

Mais ne me mangez pas !

Nous sommes tous gentils ici, viens avec nous dans la savane.

     D’accord

Et voilà comment l’enfant devint ami avec toute la savane.

 

     Il ne faut pas croire que les fauves sont méchants

 

     Léa LC 5e3.

 

*

   

     L’enfant qui veut être Funambule

 

C’est l’histoire d’un jeune enfant,

Qui rêve depuis longtemps

De flotter dans les airs

Sur un fil de fer.

Ses parents, ses amis

Lui conseillaient de rester réfléchi

Il laissa donc son rêve de côté,

Mais il fut bien attristé.

Plus tard il devient photographe

Et lors d’un safari il rencontre une girafe.

Il se lie d’amitié avec elle et lui dit :

Peux-tu tendre ton oreille,

Afin que je te demande un conseil.

Oui, s’exclama-t-elle avec envie.

Je rêve depuis mon enfance d’être un Funambule.

Par mon long cou je vois les choses du ciel,

Je peux donc t’aider à sortir de ta bulle

Pour réaliser ton rêve essentiel !

Il ne faut jamais perdre espoir

Car certaines rencontres laissent entrevoir

Des chemins nouveaux pour l’avenir !

 

     Julie P. 5e3.

 

*

 

     L’Enfant et le Farfadet

 

Un enfant se promenait dans la forêt

Quand il aperçut un farfadet

Il fut tout étonné

« Quelle est cette créature mystérieuse ! »

S’écria l’enfant.

-Je suis un farfadet, répondit celui-ci amusé.

-Viens je vais te montrer notre demeure,

Dit le farfadet.

-Ma mère ne voudra pas s’attrista le garçon.

-Laisse tomber ta mère, conseilla le farfadet,

Elle t’emprisonne, prends de la liberté

-Allez, viens avec moi, proposa le farfadet.

-D’accord, répondit le garçon sur un ton monotone.

Ils coururent à travers la forêt sans jamais se perdre,

Faisant des tours et des détours

Enfin ils arrivèrent devant la maison.

-Minuscule, s’écria le garçon.

-Allez on rentre, s’impatiente farfadet, il fait froid.

-Je rentre par où moi, s’interrogea le garçon.

-Avec moi, lui répondit le farfadet.

-Mais je ne pourrai jamais rentrer.

-Bien sûr que si, essaie.

L’enfant roula, s’entortilla, et finit par rentrer.

-C’est immense, comment avez vous fait ça ?

-C’est un sort qui permet de diminuer tous les objets.

Ils jouèrent tout l’après-midi.

Plus tard le garçon partit,

Il rentra chez lui fort heureux de sa rencontre.

 

                  Laisser de la liberté à son enfant

                  Peut lui faire du bien.

 

     Henri P. 5e3.

 

*

 

     Le Fabuliste, le Fantôme et l’Enfant

 

Un fabuliste conte une de ses histoires.

L’enfant à qui elle est contée blêmit et s’en va.

Le fabuliste en reste coi.

« Pourquoi t’enfuis-tu ? », demande-il à l’enfant.

« Une ombre blanche m’a terrifié ! » plaide l’intéressé.

À ces mots, il part à la recherche de l’ombre.

Il parcourt des villes et des villages,

Des mers et des océans,

Des forts et des châteaux,

Des pays et des comtés.

Parvenu en Ecosse, il pénètre dans un fort.

Celui-ci, abandonné, regorge de couloirs.

Au détour d’un de ceux-ci,

L’enfant pousse un cri d’effroi.

Devant lui se tient un fantôme des plus effrayants.

Une fois le choc passé, l’enfant est fasciné.

Pourquoi ? Nous ne le savons pas.

Car la semaine suivante, il disparut.

Cette histoire bonne à vous glacer le sang,

Et la preuve qu’une rencontre peut tout changer.

 

      Maïwenn R. 5e3, en septembre 2017.

 

*

 

     L’Enfant et la Forêt

 

C’est l’histoire d’un enfant

Qui adorait se balader dans la forêt

Il y allait souvent avec ses parents

Ils aimaient bien contempler cette belle forêt

Ils n’avaient pas assez d’argent

Pour s’acheter des aliments

Ils allaient en prendre de cet endroit

La belle forêt

Ils la connaissaient par cœur

Un jour, ils partirent se balader

Ses parents lui dirent : « Sois sage et attends nous ici,

Nous allons prendre du bois pour faire du feu »

Il décida de jouer en les attendant

Les minutes passaient

Et ils n’étaient toujours pas revenus

L’enfant partit les chercher,

Il disparut depuis ce jour

Nul ne savait comment il faisait pour se nourrir,

Pour ne pas mourir

Ses parents l’avaient cherché toute la nuit

Sans aucune trace de lui 

                                                

     Cécile S. 5e3                                    

 

*

 

   L’Enfant, le Franc et le Fagot.

 

Il était une fois un pauvre enfant mal nourri,

Il avait une dette envers un franc d’une grosse richesse,

Il devait lui rembourser une somme plus grande que de l’or,

Donc, il chercha dans une carrière de l’or,

Il creusa pendant des heures et des heures, mais ne trouva rien,

Quand tout à coup, il trouva un fagot,

Il y trouva une pierre brillante et surtout jaune,

Une sorte de pierre très précieuse,

Il la prit, s’aperçut que c’était de l’or,

Et dit : « Enfin, j’ai enfin réussi à trouver de l’or !»,

Il alla donc chez l’homme et lui donna la pierre,

L’homme lui dit : « Merci, mais ceci n’est pas de l’or.»,

L’enfant lui répondit : « C’est quoi alors ? »,

L’homme  dit « C’est une fluorite jaune, mais très grande,

Elle compensera donc ta dette »,

L’enfant reçut même un fagot de charbon,

Pour chauffer sa pauvre et petite demeure.

     Comme le dit un proverbe indien :

« Tout ce qui brille n’est point d’or !".

 

     Thomas T. 5e3.

 

*

 

     L’enfant et la Femme

 

Dans les rues de Paris,

Une femme et un enfant

Une femme assise sur un banc.

La femme dessinait,

Elle dessinait les passants, marchant

 

Puis vint à son tour une enfant,

Un enfant d’environ 11 ans.

Il s’assit à côté de celle-ci

L’enfant regarda son dessin et dit

- C’est très beau !

 

La femme ne répondit pas,

Et continua son œuvre.

L’enfant énervé

Partit chercher à manger

Quand celui-ci revint…

 

La femme avait disparu,

Laissant le dessin sur le banc

Avec écrit : « Désolée, je suis muette »

L’enfant le regarda attentivement

Et partit.

 

C’est pour cela qu’il ne faut

Pas juger les apparences des gens !

 

     Juliana T. 5e3

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