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Le blog de Monsieur Dyrek
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  • Des poèmes d'élèves individuels ou collectifs, des rédactions, de la correspondance avec des auteurs, les concours Printemps des Poètes. les concours Les 10 mots, productions d'élèves de Sainte-Elisabeth
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19 mai 2016

Les 10 mots 2016 avec les 6e2 Dialogues vigousses avec M. Francoph

Les 6e ont participé au concours national des 10 mots ! Voici leurs productions...


AVEC LES 10 MOTS 2016, voici les…

 

DIALOGUES VIGOUSSES

AVEC M. FRANCOPH

 

Textes de dialogues fictifs

en 3 paragraphes

entre des élèves de 6e 2

et M. Francoph

*

Michèle et/ou Michel Francoph,

aventuriers et/ou écrivains et/ou…

*

sous la conduite de M. Dyrek,

leur Professeur de français

de Sainte-Elisabeth à Paris


      Je me baladais dans la rue, quand j’entendis des caquètements venant d’une cour intérieure dont la porte était ouverte. J’entrais et j’allais demander ce que faisait la personne lorsque je me pris une oie en pleine tête !!! Un homme la posa par terre. Il était grand, mince, avait les yeux aussi marron que ses cheveux, était recouvert de graine et avait l’air d’avoir bu dix litres de ristrette le matin. Pour s’excuser, il me fit entrer chez lui. J’ouvris des yeux ronds, quand je vis les tonnes et les tonnes de papier et d’encre qui l’entouraient. Il disait s’appeler Michel Francoph et être écrivain. Il me demanda si j’aimais l’aventure ; je répondis que oui. Il me proposa de le suivre dans une aventure, car, parait-il, il n’écrit que des histoires vraies.

-       Euh, oui, fut ma seule réponse.

-       Formidable !!! Nous partons demain !

Le lendemain, j’allais chez lui et nous partîmes dans son tap-tap (enfin, c’était plutôt un boum-boum vu tout le bruit qu’il faisait).

Je lui demandai pourquoi il avait une oie chez lui.

-       Mais pour les plumes bien sûr ! Comment voulez-vous écrire sans plumes et ne pensez pas à ces plumes-stylos avec encrier intégré !!!

      En chemin, je me demandais comment ce monsieur fada avait réussi à me convaincre aussi facilement de venir avec lui.

     À la nuit tombée, nous nous arrêtâmes chez un dépanneur pour acheter un bidon d’essence. Le hangar sombre était simplement éclairé d’une petite lumerotte. Ensuite, nous allâmes chez un autre dépanneur et achetâmes quelques lumerottes. Car, depuis notre départ, nous n’avions rien mangé. Nous dormîmes dans la voiture et, contrairement à ce que je pensais, nous dormîmes très bien. Le lendemain matin, nous nous contentâmes d’un simple petit pain en guise de déjeuner. Puis, je ne vis pas le paysage passer car je m’étais rendormie et je fus très surprise en découvrant la maison devant laquelle nous nous arrêtâmes : c’était celle de Michel Francoph !!! Je me dis qu’il était, bien sûr, un peu fada mais qu’il était quand même très sympa et ferait un bon ami.

     Il vint juste après pour m’ouvrir la portière de la voiture avec un parapluie. Je n’avais pas remarqué qu’il drachait. En entrant, je lui demandai :

-       Quelle est l’aventure que vous écrivez à présent ?

Alors, Michel se retourna en souriant, me toisa et dit :

-       L’aventure de notre Amitié, pardi !!!

     Garance L.P. 6e2

*

 

     Tintintintin pidoumpidoum ... « Mesdames et Messieurs bonsoir, il est 21h pour le journal de Téléprem’s, tout de suite un reportage sur Michel Francoph, ce célèbre savant qui a inventé le chewing-gum électrique... Malgré la drache, ils se sont déplacés. Un reportage signé Marie Papotte et Jean Peste.

-Anvers, en Belgique. Nous avons fixé rendez-vous au célèbre et « fada » comme dirait sa famille, j’ai nommé Michel Francoph ! Bonjour Michel Francoph.

-Bonjour, mon vigousse public ! Ahahah !

-Bien que vous soyez en train de parler à un poteau, nous sommes ravis de vous découvrir enfin Monsieur Francoph. Vous avez donc inventé le très célèbre  chewing-gum électrique...

-Pâte à mâcher, je ne saurai tolérer que l’on néglige ce mot... Vous savez, l’aérodynamique  des rollers est très productrice de substances nucléaires et il faut les mettre dans sa bouche avec du Paprika pour conjurer le sort de ces engins de déplacement.

-Ah... Merci de ce précieux conseil, mais  nous voudrions vous poser quelques questions, serait-ce possible ?

-Mais bien sûr, mon petit chafouin de journaliste. Ahahah !

-Ahah oui c’est extrêmement drôle, Monsieur. Et donc revenons à nos questions...

-Ah non, non, non, mon ami, je ne répondrai pas, mes chers champagnés ! Je vais repartir, ma recherche sur le vomi de licornes m’attend.

-Mais Monsieur, vous nous aviez accordé de vous poser quelques questions...

-Maman ! J’ai eu un 15 en maths ! J’aurais dû rigoler !

-Euh... Monsieur, allez vous bien ?

-Pepito va au supermarché...

     Tintintintin pidoumpidoum... Désolés pour cette interruption soudaine, mais nous venons d’apprendre que Justin Biberon  est mort hier d’un infarctus à 12 ans. Pendant que Michel Francoph retourne chez lui à bord de son tap-tap personnel, il récite ces paroles :

-Il achète deux pains au chocolats et une boîte de gâteaux de la marque Perito ! Ahahah !

-Merci ! C’était le journal de 21h sur Téléprem’s.

                        Bérengère N. 6e2

 

*

J’aimerais vous raconter ma rencontre avec un aventurier appelé Michel Francoph. C’était lors d’un voyage en tap-tap en Amazonie. Heureusement pour moi, qui étais tombé sous le charme de ce très bel homme aux yeux bleus, pétillants et plein d’empathie et au parfum poivré qui embaumait tout le mini car  - Bon, revenons à nos moutons -, il drachait ! La pluie ruisselait sur les vitres et je frissonnais à cause de l’humidité. Il s’approcha de moi et  me parla ainsi :

 « Quel temps de fada, n’est-ce pas ? Prenez mon manteau, vous avez l’air d’avoir froid, me dit-il d’une voix vigousse.

J’acceptai timidement son manteau et l’interrogeai :

- Puis-je vous demander la raison de votre présence ici ?

Il me répondit gentiment toujours avec sa voix pleine de vie :

     - Mes précédents voyages m’ont montré la voie : celle de l’Amazonie. En effet j’ai déjà parcouru les continents africain et asiatique. Et vous, est-ce la première fois que vous vous éloignez aussi loin de chez vous ? 

   - Non, ma dernière aventure était en Australie, mais l’on m’a brisé le cœur. Cela explique que je sois ici afin de me ressourcer… Avec tous vos voyages, vous avez dû rencontrer beaucoup de gens ?

-Oui, je connais des personnes haut placées ; je suis ce qu’on appelle un champagné. »

Il me regarda compatissant et entreprit de me faire rire. Plus il me parlait et plus je me perdais dans ses paroles.

Après avoir longuement échangé, nous tombâmes naturellement fous amoureux l’un de l’autre. Nous nous étions avancés près d’une falaise. Il sortit son appareil photo et nous décidâmes de prendre un portrait de nous deux devant cet extraordinaire paysage. Au bruit du clic, il tomba de la falaise. Moi, comme preuve d’amour, je me jetai à sa suite. Pendant la chute, nous nous tenions la main comme deux amoureux fous. Nous atterrîmes  dans l’Amazone et nous étions heureux d’être vivants.

     Camille F. 6e

*

 

Dialogue avec Mme Michèle Francoph

      Tout cela se passait en Amazonie près du fleuve Madeira sur une route qui le longeait. J’étais venue ici pour observer la faune et la flore. J’avais répondu à une annonce sur internet postée par une certaine Michèle Francoph, animalière, qui recherchait quelqu’un de curieux, sachant s’adapter à des situations difficiles, et aimant l’aventure. C’était exactement ce que je recherchais pour mon premier stage d’été loin de la France. Nous attendions sur cette route perdue depuis déjà deux longues heures, alors qu’il drachait plus que d’habitude en cette saison, lorsqu’un tap-tap passa par là. Nous étions toutes les deux ravies de le voir enfin arriver ! Michèle Francoph avait été une élève brillante, aimée de tous et très vigousse. Même si je ne savais pas encore ce que nous faisions là, j’avais totalement confiance en elle.

Quelle est notre prochaine destination ?, lui demandai-je timidement.

Ici ! me répondit- elle, après deux heures de trajet dans une chaleur étouffante.

J’ouvrais grand les yeux devant cet endroit qui me paraissait lumerotte.

Ici ! c’est une blague ! lui répondis-je, mon ristrette complètement refroidi à la main.

Oui, dans ce marécage infesté de crocodiles, dit-elle d’une voix joyeuse. Nous en attraperons un ou deux. Il nous faut surtout les plus agressifs.

D’accord, je viens avec toi ! répondis-je, sans être vraiment sûre de ce que je faisais.

Bien sûr que tu viens ! tu veux réussir ton stage, alors en avant !

Je ne pensais pas que nous allions atterrir dans un endroit aussi sordide entourées d’animaux totalement fadas

Tu verras, tu vas adorer ! et surtout tu t’en souviendras toute ta vie, je te le promets.

     Tout se passa bien, comme Michèle l’avait prédit. C’était une formidable animalière qui s’occupait et recueillait surtout des animaux fadas et agressifs. Ce métier me plaisait beaucoup. J’eus en effet mon stage sans problème et surtout elle me proposa de travailler avec elle. L’aventure, dont j’avais rêvé en France, se réalisait pour moi au bout du monde et j’espère qu’elle continuera encore longtemps.

     Eugénie C. 6e2

 

*

 

Dialogue avec Michel FRANCOPH

Un jour, alors que je me baladais dans une petite rue d’Haïti, quelqu’un me stoppa. Il me demanda de le suivre, nous prîmes un tap-tap et nous arrivâmes devant un grand immeuble. Il m’expliqua  qu’il voulait écrire un livre, mais en ma compagnie. Il se nommait Michel  Francoph,  il semblait avoir une tête chafouine. Il était bien évidemment écrivain. Michel m’emmena dans un café alors qu’il drachait. Il m’aida à trouver un thème pour le livre. Nous finîmes par trouver que celui de Napoléon nous allait bien parce que celui-ci était vigousse.

« Comment commençons-nous ?, demandai-je.

- Il faut trouver des informations, me répondit-il

- C’est bon, je te les dicte : Napoléon est né le 15 août 1769. Il a été sacré empereur en décembre 1802. Il est décédé en 1821 sur l’île Sainte-Hélène.

 – Très bien, merci, commençons. »

 Nous commençâmes à écrire, quand tout à coup Michel s’exclama :

 « Comment s’appelle le titre ? 

- Les combattants de Napoléon ? proposai-je. 

– C’est d’accord, on prend ce titre » 

Nous allions chez des dépanneurs pour finir rapidement le livre. Chez le dépanneur où nous allions, il y avait des lumerottes.  Michel les adorait. Quand nous finîmes le livre, nous le publiâmes, et il eut beaucoup de succès. Michel Francoph écrivit plusieurs livres avec moi, dont 3000 lieues sous les mers, Le Tour de l’espace en 3 jours. Il écrivit aussi des livres très connus peu de temps après. Bref, j’étais très heureux qu’il put me rencontrer dans cette rue d’Haïti. Mais Michel Francoph n’habitait pas à Haïti ; il résidait au Canada, où il y avait beaucoup de poudrerie. On se retrouvait tous les deux ans, dans la rue où il m’avait rencontré pour boire un ristrette.

      Gwezhenneg V 6e 2  Le 18/02/16

 

*

     Un jour où il drachait, je pris le tap-tap pour ne pas trop me mouiller. Je m'assis à coté d un homme grand, fort, blond aux yeux bleus comme moi. Il me rappelait vaguement quelqu'un ...Ah ! Je me souviens ! Un serveur où j'allais le mercredi manger à la fin du primaire et le début du collège. A mi-chemin, il ouvrit son portefeuille et en sortit une photo. Il se mit à pleurer. Alors je lui ai demandé pourquoi, il me montra alors la photo. A deux arrêts, je lui redemandai la photo, car j'avais eu un déclic. Il me la tendit, je lui demandai qui c’était, mais il pleurait toujours alors c'était difficile de comprendre ce qu'il me disait. Je compris finalement  après l'avoir fait répéter trois fois que c'était son fils, que sa femme avait abandonné à l'âge d'un mois dans son dos, je lui répondis alors que moi aussi j'ai été abandonné à cet âge par ma mère pour le rassurer.

-"Vous êtes sincère ?"

-"Oui d'ailleurs je rentre à l'orphelinat !"

-"Oh ! mais quelle coïncidence incroyable ! surtout que vous êtes blond aux yeux bleus tout comme moi. Mais connaissez vous le nom de votre père ?"

- "F.R.A.N.C.O.P.H"

-"Mais tu es vraiment mon fils !! Je t'invite à prendre un verre"

-"Je vais me faire disputer!"

-"Ne t'inquiète pas pour ça je leur expliquerai que je t’adopte !"

"Alors c'est d'accord !"

      Nous descendîmes sous une poudrerie et sur le chemin il me raconta qu'il me cherchait partout, et qu'il avait fais une grosse partie des orphelinats de France et d'Espagne. Je lui demandai pourquoi l'Espagne. Il me répondit que son ex-femme était d'origine espagnole et donc qu'elle aurait pu me mettre dans un orphelinat en Espagne.

     Enfin arrivés au café, nous nous sommes assis à une place lumerotte, à coté d'un chafouin qui discutait avec un fada à première vue. Ces deux heures passées au café ont été les plus courtes de ma vie. Il m'a raconté ses voyages, son travail (il était bien serveur à coté de l'école !), où il habitait, ce qu'il adorait manger, boire, faire, regarder... En rentrant à l'orphelinat, comme il me l'avait promis, il fit les démarches pour m'adopter et nous rattrapâmes le temps perdu...   

     Matthieu B. 6e2

 

*

Dialogue entre Michel Francoph et moi

     Bonjour je suis Oscar. J’ai 11 ans. Je suis dans un Tap-Tap, car dehors il drache, en plus de la poudrerie. En sortant du Tap-Tap, je suis obligé de passer par des rues pleines de chafouins et de fadas. Je prendrais bien un ristrette chaud. Je passe vite fait chez un dépanneur. En rentrant chez moi, j’allume une lumerotte et je vais me coucher dans mon lit pour essayer de dormir. Je n’arrête pas de penser à demain car je vais rencontrer Michel Francoph qui est un personnage vigousse et champagné.

     Le lendemain, j’ai rendez vous sur un bateau où Michel Francoph y donne une conférence de presse. C’est un grand réalisateur, écrivain et aventurier. Après cette conférence, il donne des interviews privées, je vais lui parler. (Le dialogue commence :)

 

-       Bonjour, Monsieur, me dit-il.

-       Bonjour, pouvez-vous me dire d’où vient votre inspiration pour vos films dramatiques ?

-       Vous voyez mon garçon, tous les jours il se passe des événements graves. Je peux en faire une histoire bouleversante qui nous permet de nous remettre en question.

-       Whaouuu, m’exclamai-je.

-       Combien de temps vous faut-il pour écrire un roman comme « le discours commun » ?

-       Il me faut… Je ne sais pas, en fait, j’ai plus ou moins de temps pour écrire mes livres.

-       Qu’allez-vous faire, réaliser ou écrire prochainement ?

-       Et bien peut être que je pourrais écrire un livre sur notre rencontre !

 

     Je reprends un Tap Tap et repense à cette entrevue. 10 ans après… Je regarde à la librairie, je vois un livre de Michel Francoph et regarde le titre : « Ma rencontre avec… ». Je lis la 4e page de couverture et me rappelle la dernière phrase de Michel Francoph, qu’il m’a dite avant de partir. Je l’achète. Je suis ému qu’il ait écrit un livre sur notre rencontre.

                       Oscar C., 6e 2.

 

*

 

     Alors que je me promenais sur un sentier au loin, je la reconnus tout de suite c’était la fameuse Michelle Francoph. Elle était avec sa fille qui avait un air chafouin. Michelle Francoph était la fondatrice de la plus grande association de sauvegarde d’une espèce animale, la SDL (Sauvegarde Des Loups). «Hé ! toi, la jeune fille, j’aimerais te demander quelque chose ! » dit Michelle Francoph.

     « Voudrais-tu faire partie de mon association ? Je vois du talent. »

Je n’y crois pas … elle me demande de travailler pour elle. C’était ma « lumerotte », ma chance d’avoir un travail. «Oui, bien évidemment ».

-Ok, viens je t’emmène dans mon centre d’observation.

-Attendez ! Avant tout, pourrais-je avoir un autographe ?

-Après ! Il faut rentrer, vu les nuages, ça va dracher.

-On peut appeler un Tap-Tap.

-Non, je vais appeler mon mari.

- Quel champagné faites-vous !

     Quelques années après, je devins un membre estimable et estimé de cette équipe. Vigousse et célèbre, je transformai la SDL en la première organisation mondiale de défense des loups.

     Camille B. 6e2

 

*

 

     J'ai rencontré Michel Francoph un jour où il drachait. J'étais dans la rue et malgré son chapeau de pluie et son grand manteau je l'ai reconnu.

-Monsieur Francoph? le célèbre enquêteur, lui demandai-je.

-Oui, oui chuchota-il, mais pas trop fort, je vous en prie, je ne tiens pas à avoir la rue entière à mes trousses. Vite, me dit-il, le Tap-Tap arrive et je ne tiens pas à le rater!

Alors il commença à courir avec moi derrière lui. Nous n'étions plus qu'à quelques mètres du petit car rapide que nous entendions  des cris derrière nous: "Monsieur Francoph ! monsieur Francoph ! Qui était le coupable de l'affaire des bijoux de la famille d'Eszchimdzer ?" En me retournant je vis une foule de personnes tenant micros et caméras. "Vite montez, vite, vite !" me dit-il.

-Nous avons eu de la chance, me dit-il, ces gens me courent après toute la journée, je n'en peux plus, ils sont fadas!

-Vous, vous avez raison Monsieur. Je ne savais que répondre.

-Et bien mademoiselle, vous avez bien de la chance aujourd'hui nous sommes seuls dans ce bus, je vais vous raconter l'affaire que s'arrachent les journalistes pour rien. Car je ne dévoilerai pour rien au monde le nom du coupable.

-Très bien je vous écoute monsieur.

-C'était un vol de bijoux d'une très grande valeur, madame d'Eszchimdzer, m'avait appelé pour mener l'enquête. Je ne trouvai pas la clé, je ne dormais presque plus. Chaque fois que je pensais avoir trouvé le coupable, il avait un alibi solide. Puis un beau jour madame d'Eszchimdzer fit allusion à mon neveu, elle le soupçonnait. Alors je me rendis chez lui au plus vite, et à mon plus grand désespoir, on retrouva les bijoux chez lui. A peine une semaine plus tard, il était derrière les barreaux. Il ne voulut jamais m'expliquer la cause de ce vol, et madame d'Eszchimdzer ne voulut jamais dire pourquoi elle l'avait soupçonnée. 

      Il regarda par la fenêtre quand le conducteur se retourna vers nous et cria: "Arrêt de la Fontaine". Alors il se leva, me sourit et tourna les talons.

     Cette rencontre changea ma vie, car neuf mois plus tard un nouveau livre sortit en librairie... Le mien où je m'inspirais de l'affaire que m'avait racontée Michel Francoph. Et un jour où je déambulai dans une librairie je vis Michel Francoph un ristrette à la main en train d'acheter mon livre. La caissière vigousse n'arrêtait pas de rire, car elle avait reconnu Michel Francoph et une nouvelle fois il me regarda, sourit, et passa la porte de la librairie.

     Coline C. 6e2

 

*

 

Dialogue de Michel Francoph

            Bonjour ! Aujourd’hui, j’embarque sur un bateau à destination de l’Egypte car je suis un explorateur très attiré par les pyramides. Ce qui justifie mon voyage, c’est qu’un jour, un journaliste prétentieux et renommé se mit à raconter que ceux qui visitent les pyramides sont toujours frappés par des sortes de malédictions. J’ai voulu en avoir le cœur net. Quand nous sommes arrivés en Egypte, je me suis rendu compte que ce journaliste à la mine chafouine faisait partie de l’expédition mais je décidai de ne pas lui adresser la parole durant le trajet en tap-tap car je ne voulais pas entendre ses sornettes. Cela faisait partie de mon plan !

            Soudain, le journaliste s’adressa à moi en ces termes :

«  On ne peut pas dire qu’il drache beaucoup ici !

Mouais, il pleut une fois tous les mille ans à peu près !

 Viendriez-vous boire un ristrette avec moi ?

 Pourquoi pas ? (cette proposition arrangeait mes plans).

Vous savez, les malédictions sur les pyramides d’Egypte, certaines personnes y croient, d’autres pas du tout… Il est vrai que ça comporte des risques… D’ailleurs, moi qui vous parle, j’ai été coincé une fois dans l’une d’elles et heureusement que je n’étais pas seul, mes hommes m’ont sorti de là, non sans mal… J’ai eu une belle frousse, je l’avoue… Il faut être vigousse et champagné pour ce genre d’aventure !

J’imagine que ça n’a pas dû être très drôle ! (je riais sous cape).

Mon nom est Francoph, Michel Francoph !

Enchanté, moi c’est Mersas… Je suis aussi fada que vous pour ce qui est d’explorer des contrées inconnues ! (je le sentais qui mordait à l’hameçon).

Alors, nous allons nous entendre : faisons route ensemble si vous le voulez bien ! ».

            J’acceptai la proposition de Michel Francoph, car j’avais toujours mon idée en tête. Nous sommes arrivés sans encombre à la pyramide de Sarems, une des plus mystérieuses d’Egypte et d’un accès très rude. C’est là que j’exécutai mon plan. Nous n’étions que tous les deux, j’étais sûr de parvenir à mes fins. Ce pédant de Michel Francoph n’a rien compris à l’histoire et, à l’heure qu’il est, il doit finir de pourrir au fin fond de cette pyramide où je l’ai enfermé à jamais, ainsi cela confirme ses théories fumeuses sur le mystère des pyramides, foi de Mersas !

     Arthur C. 6e2

 

*

 

     Un jour, Michel Francoph un aventurier extraordinaire revient d’une enquête que personne n’avait pu résoudre : il devait rechercher une pierre précieuse rouge et bleu, la pierre la plus rare au monde et  le code à quatre chiffres pour que le trésor réapparaisse une seconde fois. Il devait tuer la reine de l’Egypte et ses gardes très forts. Quand il est revenu de mission, il est allé chez un ami pour un anniversaire. Je l’ai vu et nous avons bu un verre et on a commencé à discuter un peu.           - Bonjour je m’appelle Michel et je suis aventurier :

- Bonjour, je m’appelle Baptiste et je rêve d’être aventurier, je suis fan de vous.

- Pour être aventurier, il faut être courageux.

- Je suis courageux car je suis déjà allé en pleine Amazonie avec mon père.

- Veux-tu partir avec moi en mission commando pour que je puisse te former ?

- Pourquoi pas je ne l’ai jamais fait.

- Ça te dirait de repartir en Amazonie ?

- Ça ne me dérange pas, car je connais et j’ai aimé.

- Bon, le devoir m’appelle, à plus tard.

- Au revoir, à bientôt.

     Après leur rencontre, Baptiste devint un jeune aventurier. Pour sa première mission il est parti au Canada avec d’autres missionnaires. Il n’avait pas de chance, car il dracha sur eux. Ils devaient trouver un prisonnier qui était une personne fada. Au petit déjeuner ils devaient boire un ristrette. Une nuit une tempête de neige tomba sur eux. Par chance, une poudrerie se déclencha. Beaucoup des camarades de Baptiste trouvaient qu’il était Champagné. Ils ont retrouvé le prisonnier et ils sont rentrés chez eux.

     Baptiste G.

 

*

 

     Je t’assure Louise, cet après-midi j’ai vu un Tap-Tap volant à toute vitesse au-dessus de Paris.  Mais Michel, franchement, tu sais bien que ce n’est pas possible … je sais qu’en ce moment tu n’as pas de sujet à me proposer pour le journal et que tu es sur la sellette. En plus, je te connais, avec ton air chafouin, tu as sûrement inventé cette histoire de Tap-Tap volant. Mais c’est la stricte vérité et si tu me mets à la porte je ne risquerai pas grand-chose, je suis quelqu’un de champagné.  Hin, Hin, Hin… comme si je ne le savais pas. Mais imagine les gens qui liront le journal : « Michel Francoph voit un Tap-Tap volant : La magie existe-t-elle vraiment ? ». On te prendrait pour un fada.

Moque-toi de moi si ça t’amuse, mais je vais éclaircir cette affaire.

Alors, pensais-je, le Tap-Tap est passé, ici, hier vers 16h00. Il est 15h50 je n’ai plus que 10 minutes à attendre. Je m’assis sur une chaise de la terrasse d’un café et j’attendis. 16h00 rien, 17h00 toujours rien et puis … 17h25 des dizaines de Tap-Tap volants envahirent le ciel. Juste le temps de saisir mon appareil photo qu’ils avaient déjà disparu.

Quand je revins le lendemain, j’étais prêt à prendre en photo au moins d’un Tap-Tap volant. L’appareil était accroché autour de mon cou, le doigt sur le déclencheur, j’attendais impatiemment une nouvelle volée de Tap-Tap. Et là, l’attente recommença. 18h00 rien. 18h30 rien. 19h00 toujours rien ! 19h30, je perdais espoir et je pris ma moto et là surprise ! Des dizaines de Tap-Tap parcouraient le ciel. Alors, sans hésitation, je mis ma moto en marche et je les suivis. Je dus me prendre une bonne amende, car j’étais largement au dessus de toute limite de vitesse.

Soudain, je les vis descendre et atterrir devant une porte. Je m’approchais doucement, lorsque … Ah !!!!!! Je crus faire une crise cardiaque.

Qu ….qu…. qui êtes vous ? questionnai-je.

Désolée,  je ne voulais pas vous faire peur.  Je m’appelle Unepetitefleurquipousseaubordduruisseaulimpide, je suis enchantée de te rencontrer et toi comment t’appelles-tu ?

Je m’appelle Michel Francoph.

Qui es-tu ?  Un troll ? Un Loup-Garou ? Un lapin ?

Non, je suis un humain. Et, toi qui es-tu ?

Je suis un dragon sous forme d’homme.

C’est une blague ? demandai-je. Parce que vraiment, c’est nul comme histoire.

C’est quoi, une blague ? me répondit-il d’un air très sérieux.

Je reculais, comme devant un animal sauvage.

Pourquoi recules-tu ? me demanda-t’il. Il y a un animal féroce derrière moi ?

Puis soudain, la « Unepetitefleurquipousseaubordduruisseaulimpide » se mit à hoqueter, à gonfler. Non, ce n’était pas possible ! En face de moi, il y avait un … un … un … dragon. Je restai un instant paralysé par la terreur, puis je saisis l’appareil photo qui pendait autour de mon cou et clac ! Là, si Louise ne me croyait pas, c’est qu’elle était malade ! J’enfourchai ma moto et détalai comme un lapin. Le lendemain matin, sur la première page du journal : une photo d’un dragon et en gros titre : «  La magie existe » par Michel Francoph.

    Louise S – 6e 2

 

*

 

     J’étais accusée du meurtre, on me mit donc en garde à vue, avec un monsieur.

Bonjour, n’aie pas peur, je suis accusée d’un meurtre, mais je peux te promettre que je n’ai pas tué qui que ce soit, je suis Laura et toi qui es-tu ? Comment t’es tu retrouvé ici ? lui demandai-je.

     Bonjour, je… je m’appelle…Michel Francoph, cela peut paraître étrange mais je serais ravi de te raconter comment je me suis retrouvé en cellule ! Voudrais-tu que je te raconte cette histoire ? dit-il d’un ton champagné.

Avec plaisir, puis-je m’assoir à côté de vous ? l’interrogeai-je vigousse. Bien sûr, alors, je commence mon histoire :

     A l’époque j’étais coiffeur, le meilleur métier du monde, je voyais les hommes et femmes tristes en arrivant avec leurs mèches qui tombaient sur leurs yeux ; mais quand ils repartaient, je leur avais redonné le sourire. Je ne faisais pas cela pour l’argent, mais j’aimais soigner les cheveux et donner le sourire aux gens. Jusqu’au jour où un monsieur, qui sans vouloir le vexer me paraissait un peu fada, arriva. Il n’avait rien de méchant. En revanche, sa femme était chafouine et maniaque, elle voulait tout à la perfection. Pour la détendre, je décidai de lui offrir un ristrette, mais non, elle le refusa, car elle ne buvait que des cafés de luxe. Je réussis tout de même à la satisfaire en coiffant son mari.

     Trois mois plus tard, j’appris que j’avais gagné le deuxième prix du meilleur salon de coiffure ; cette nouvelle réchauffa mon cœur. Malheureusement, lorsqu’une nouvelle fois, je tondis le bas des cheveux du fada, sans le vouloir, mon assistante éteignit la lumière avec son épaule. Le temps qu’on la rallume j’avais tondu tous les cheveux du fada. Sa femme terrorisée prit le fada par le bras et partit en claquant la porte du salon, sans payer, mais cela ne m’a pas étonné. Elle savait que je les détestais elle et son mari, donc je ne regrettais pas de la perdre en tant que cliente. Trois jours plus tard, sans avoir vu ce couple depuis, j’appris que le fada fut assassiné, sa femme décida de m’accuser, et voilà que je me retrouve  ici.

Quelle histoire impressionnante ! Je suis sûr que vous n’êtes pas le coupable ! conclus-je.

Si je peux me le permettre, j’espère que vous n’avez jamais cru que j’étais le coupable, dit Michel en devenant tout rouge.

Heu… un tout petit peu !

      La police avait terminé mon enquête et celle de Michel en même temps, donc on sortit ensemble.

      Laura M. 6e2

*

 

   Bientôt, dans le 30e arrondissement de Ripas, ville haut-perchée (au sens propre), au milieu de la région Aéropolitaine, se trouveront deux développeurs de jeux : Matthieu Gros et Claude Lellouche (Ces noms n'ayant aucun rapport avec un ou plusieurs membres de la classe). Un jour, ils rencontreront un stagiaire...

   -Rajoute des effets "Cell-Shading" pour les cinématiques des "réceptacles-vie", dit Matthieu à Claude.

-Bonjour ! , dit une voix inconnue.

-Hm ? , réagirent les deux développeurs en chef.

-Je suis le nouveau stagiaire pour les "boîtes de dialogues", Michel Francoph !, expliqua un homme de taille moyenne.

-Bonjour, dit Matthieu, Vous tombez à pic ! Nous hésitions pour les peaufinages du combat final...

-OK ! Selon moi, il faut : que ça drache de fou, avec quelques éclairs en guise de lumerottes... Pour le méchant, il doit : avoir un air chafouin, être vigousse et avoir un air SUPER fada avec des bons rires (Et éventuellement champagné), annonça Michel.
-Magnifique !, s'exclama Claude. Le projet "RTTP" est terminé !
-Enfin ! , soupira Matthieu, soulagé. Plus qu'à commercialiser tout ça !

     Après commercialisation, le jeu fera un magnifique total de ventes (Et les magazines n'en diront que du bien : "Meilleur jeu de l'année ! 🎮🎮🎮🎮🎮(Gamagazine)" ou encore : "Que du bonheur ! ⭐⭐⭐⭐⭐ (LoulHebdo)"), surtout avec l'édition collector : console customisable aux couleurs du jeu, jeu pré-téléchargé et magnifique figurine de collection, le tout pour la modique somme de 25€ ! Quant à Michel, il continuera son stage jusqu'à devenir extrêmement doué en son métier. Et cela finira ainsi...

     Maxime G. 6e2

 

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Dialogue avec Michel Francoph

Un lundi matin, alors que je devais aller travailler,  je me suis levée tard. J’étais donc en retard. Pour aller au travail, je dois passer par un dépanneur puis je dois prendre un tap-tap. Le problème avec ce genre de petits bus, c’est qu’ils passent toutes les demi-heures. Et chanceuse comme je suis-je le vis passer devant moi. Je me suis mise à courir pour le rattraper et un homme environ âgé de 50 ans se mit à courir également. Heureusement que l’on courait assez vite ! Nous avions réussi à rattraper le fameux tap-tap. Nous nous étions assis à côté et avons commencé à parler :

«   - Bonjour mademoiselle, je m’appelle Michel Francoph, je suis écrivain, me    dit-il

-       Euh…Bonjour monsieur Francoph, mon nom est Aerin.

-       Aimez-vous lire ?

-       Vous pouvez me tutoyer.

-       Oh très bien heureusement, je déteste vouvoyer les gens, mais alors toi aussi tu le fais

-       Marché conclu ! lui ai-je répondu.

-       Alors aimes-tu lire ?

-       Oui j’adore ça ! Je suis même professeure de littérature. J’adore mes élèves, ils sont vraiment gentils, à l’écoute… J’aime enseigner, de manière à ce que ces adolescents ne me voient pas seulement comme leur professeure, mais comme une personne qui essaie de leur transmettre une passion. Je ne veux pas punir ou quoi que ce soit. Le but n’est pas de leur faire peur mais plutôt de leur faire comprendre des choses sur la vie et bien sûr la littérature !

-       Tu as une vision des choses…C’est incroyable tu as vraiment l’esprit et la façon de penser d’un écrivain. Je pense qu’une jeune fille comme toi devrais écrire des livres, en plus de ton travail, car tu as l’air d’y être très attachée !

-       Certainement pas ! Je peux écrire quelques pages comme dans une rédaction mais je n’aurais jamais assez d’inspiration pour en écrire plusieurs centaines, lui répondit-je.

-       Tu devrais essayer, vraiment ! Tu sais, pour mon premier livre, l’inspiration n’est pas venue d’un coup, mais petit à petit. Et j’avais le soutien de beaucoup de gens, ma famille, mes amis…Je me souviens que le livre parlait d’un chafouin et d’un vigousse. A la fin de l’écriture, il est vrai que j’étais fatigué. Même que parfois je devenais un peu fada.

-       Je vais essayer…Oh mon Dieu, c’est mon arrêt, il faut que je descende ! Mes élèves m’attendent, et je suis déjà très en retard.

-       Je vous contacterai ! s’exclama-t-il, pendant que je m’éloignais.

     Au final, il m’a contactée et il m’a aidée à écrire mon livre. Je suis très contente et j’ai adoré l’écrire. Oui, ça a été long, très long…Mais mon livre a fini par sortir et a eu du succès. En plus de tout ça, malgré la différence d’âge, Michel et moi sommes devenus très proches. Je le considère même comme un membre de ma famille. Pour conclure, j’ai trouvé ma passion. Celle-ci est d’écrire des livres. Bien sûr je suis toujours professeure et j’adore toujours autant. Ma vie a changé grâce à un homme : Michel Francoph.

     Aerin M. 6e2

 

*   

                         

          Je partais au Congo dans un tap-tap avec un jeune monsieur d’une quarantaine d’années, il s’appelle Michel FRANCOPH. C’était un homme vigousse et aussi fada enfin, il n’était pas très bien dans sa tête ! Michel était très bavard, il me parlait tout le temps. Il me racontait ses aventures où il dut traverser moult tunnels avec des lumerottes ou encore des montagnes de poudreries.  Il pensait que traverser des pays où il drachait était historique !!!

         Michel me proposa : « Tu veux un ristrette ? »

-Non merci, je lui répondis.

-Tu veux qu’on demande pour s’arrêter devant un dépanneur ?, s’exclama-t-il sûr de lui.

-Pourquoi le tap-tap  n’est pas en panne ?

-Mais non ! Un dépanneur est un petit commerce au Canada…

-Ah ! d’accord ! Hésitai-je en le regardant d’un air suspicieux. Euh… je comprends  mieux. Mais non je ne veux toujours pas m’arrêter chez un dé-pa-nneur .

- Ok !   Veux-tu que je te raconte une de mes aventures ?

Les autres passagers qui avaient entendu la conversation répondirent en chœur « oh ouiii ! »

De mon côté c’était le désespoir…

     Après une demi-heure de récit, l’aventure n’était toujours pas terminée et je fulminais dans mon coin ! Et tout à coup, une idée me vint. Je me mis à crier : « Je veux aller chez un dépanneur ! »

     Cassandre SJ 6e2

 

*


    Un matin, en allant dans le bureau du PDG pour mon entretien d'embauche, je vis une personne qui m'indique le chemin du bureau. En entrant dans le bureau il y avait une lampe lumerotte qui éclairait la salle. J'aperçus une lettre qui s'adressait à moi, Je l'ouvris, puis je la lus. Dans cette lettre le PDG me disait de rentrer dans le tap-tap. Étant dans le parking et avec lequel je devais me rendre dans  un hôtel. Dans cet hôtel, je devais rencontrer un homme chafouin et une fois l'avoir vu il donnerait toutes les autres explications. Je lus les instructions dites dans le message. Une fois arrivé à l'hôtel, l'homme chafouin  vint me voir, il me dit d'aller au dixième étage de l'hôtel, de prendre l'hélicoptère et d'aller au centre commercial pour sauver l'hiver. Je fis encore les instructions dites par l'homme chafouin. En décollant avec l'hélicoptère, je ressentis tout le contraire d'une poudrerie, Il faisait chaud, sec et il n'y avait aucun vent, en arrivant au centre commercial je vis trois cafés, deux restaurants et plein de boutiques et d'autres dépanneurs.

     Intrigué par tout ce qui s'était passé je m'assis et je pris une ristrette pendant que je buvais il y eut un homme dénommé Michel Francoph qui vint s'asseoir à ma table. Il me dit : «C'est moi qui ai inventé la francophonie française. »

Je répondis : « Je suis étonné, pouvez-vous m'en raconter plus. » Après un long discours entre nous deux, nous partîmes pour tenter de sauver l'hiver. Nous rentrâmes dans un sous-sol et nous fûmes surpris par ce que nous vîmes. Nous aperçûmes un homme qui détenait un énorme radiateur pour tenter de supprimer l'hiver. Nous cassâmes en vitesse sa machine et nous partîmes d’un pas vigousse.

      Nous avions compris que cet homme était un peu fada. En sortant du centre commercial, il plut, drachait puis il y eut une poudrerie. Nous étions heureux car nous avions rétabli l’hiver. A la fin, j'eus mon entretien d'embauche et j’eus le travail que je désirais.

    Djam B. 6e2

 

*

 

     Il était une fois un ruffian qui se rendait à l’aéroport en tap-tap pour découvrir les espèces de singes au Brésil. Une fois arrivé à l’aéroport, il fut déçu puisqu’il s’aperçut qu’il drachait dehors. Alors il revient chez lui, puis il alla faire des courses pour son déjeuner dans un dépanneur ou brillait une lumerotte. Et à ce moment-là, il me rencontra. Michel Francoph était devant moi !

     Après cette rencontre, nous nous sommes mis à échanger autour d’un ristrette.

-       Bonjour Michel Francoph ! Je suis un de vos plus grands admirateurs.

-       Merci ! J’apprécie vos compliments. Je partais au Brésil. Mais, comme vous le voyez, il drache, l’avion ne peut donc pas décoller.

-       Pourquoi allez-vous étudier les singes ?

-       Parce que le singe est un de mes animaux préférés. Mais malheureusement, les Indiens utilisent leur peau pour faire des habits. Ils sont en voie de disparition.

-       Aimez vous la lecture ?

-       Oui, après mon travail, j’écris quelques lignes sur mes découvertes.

      Après notre discussion, nous avons eu la même idée ! Une idée extraordinaire : écrire un livre ensemble. Après plusieurs recherches, nous décidons de faire un livre sur les singes du Brésil. Pour cela, nous sommes partis tous les deux au Brésil et après notre merveilleux voyage entre amis, nous avions suffisamment d’idées pour un récit rempli d’aventures. C’était le début d’une très grande carrière entre un ruffian et moi.

     Valentin M. 6e2

 

      Je marchais tranquillement dans la rue quand un photographe connu me heurta en faisant tomber son « scoop » du siècle. Et je lui dis avec un ton très agacé :

-      Faites attention !

-      Désolé, il faut que je me dépêche ! J’ai le « scoop » du siècle !

-      Papa ! Fada, champagné, vigousse va !

-      Ne me parle pas comme ça, jeune fille, il faut que je rattrape mon tap-tap.

-      Arrête avec ton langage chelou là !

-      J’en ai assez té-toi !

-      Eh ben non, tu sais quoi, une amie m’a proposé de vivre chez elle et je compte bien y aller, si je dois te croiser partout où je vais.

-      Jeune fille, tu es sous mon autorité, donc tu n’iras pas vivre chez ta copine !

-      Maman m’a dit oui, TROP TARD ! Insupportable père.

     Et c’est ainsi que Maëla alla vivre chez son amie malgré les désaccords de son père qui devenait rouge chaque fois qu’on lui désobéissait et tout blanc dès qu’on lui manquait de respect.

     Maëla Z.

 

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