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Le blog de Monsieur Dyrek
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  • Des poèmes d'élèves individuels ou collectifs, des rédactions, de la correspondance avec des auteurs, les concours Printemps des Poètes. les concours Les 10 mots, productions d'élèves de Sainte-Elisabeth
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19 mai 2016

Les 10 mots 2016 avec les 6e3 Le visage vigousse du bonheur

 

AVEC LES 10 MOTS 2016, voici…

 

LE VISAGE VIGOUSSE

DU BONHEUR

 

Textes de dialogues fictifs

en 3 paragraphes

entre des élèves de 6e 3

et M. Francoph

*

Michèle et/ou Michel Francoph,

aventuriers et/ou écrivains et/ou…

*

sous la conduite de M. Dyrek,

leur Professeur de français

de Sainte-Elisabeth à Paris


  Le cancre

            …Avec des craies de toutes les couleurs
            Sur le tableau noir du malheur
            Il dessine le visage du bonheur

Jacques Prévert, in Paroles

 

*

 

Dialogue avec Michel Francoph

     Mardi 23 janvier, notre classe de 6e a rencontré des écrivains plus ou moins connus, avec notre professeur de français. L’un d’eux s’appelle Michel Francoph. Il reste beaucoup à l’écart du groupe, comme s’il était préoccupé par quelque chose. Michel Francoph a la mine d’un chafouin. Je m’avance vers lui et déclare :

-Bonjour Monsieur Francoph. Pourquoi ne venez-vous pas avec nous ?

-Oh tu sais, la vie ne passe pas toujours comme vous l’auriez voulu, me répond-il.

Au début, je ne comprends pas le rapport et lui demande :

-Vous écrivez quoi comme sorte de livre ?

-Des livres sur tout, sur la vie et l’aventure, me répond-il. Est-il fada ? Est-ce pour cela qu’il ne vient pas avec nous ? Je ne pense pas. Je le trouve très intéressant par rapport aux autres malgré son air peu vigousse.

- Pourriez-vous me faire un autographe sur mon livre s’il vous plait ? finis-je par dire.

- Bien sûr, me répond-il. Je reprends mon livre. Sa signature est une œuvre d’art, et il avait écrit « Lire nous permet de percer le mystère des choses de la vie. ». Mes yeux se mettent à briller.

-Merci beaucoup Monsieur Francoph. Et au-revoir !

     Notre professeur nous appelle. Il nous compte pour s’assurer que personne ne s’est égaré. Nous repartons pour l’école en utilisant un tap-tap, il drache. Mes amis me demandent où j’étais passée, mais je ne leur réponds pas. Nous finissons notre journée par le cours d’anglais. Je rentre chez moi et raconte à mes parents la rencontre avec les auteurs. Je garde pour moi mon échange avec Monsieur Francoph et cours dans ma chambre lire un de ses ouvrages.

     Fannie B-G 6e3

*

 

            Un matin, je suis allée faire les courses au magasin du coin. Ma mère m’avait demandé d’acheter du pain, des pommes et pour moi, un gros dictionnaire. J’ai donc tourné au rayon des dictionnaires, et là, devinez ce que j’ai vu. Un gros cadi rempli de dictionnaires et le poussant, Michel Francoph.

            Je me suis avancée vers lui et je lui ai dit :

Bonjour ! Bonjour m’a-t-il répondu en criant pour lutter contre le bruit que faisait un petit tap-tap essayant de démarrer dans la rue. J’ai lu beaucoup de vos livres.

Ah bon, me répondit Michel Francoph, est-ce que ça vous a plu ?

Oh oui, j’ai dit. J’ai adoré ! Euh… Je ne voudrais pas être trop curieuse, mais pourquoi tous ces dictionnaires ?

Ah oui, ça ? Sachez jeune fille que suis en train d’écrire un livre et, un livre sans mot, ce n’est pas un livre ! C’est pour cela que j’ai acheté ces dictionnaires. Chacun d’eux a une définition unique qui m’est très précieuse.

Là, j’avoue que j’étais bluffée ! Autant de dictionnaires pour un seul mot ! Il allait mettre un siècle à l’écrire son livre. Malgré cela, j’ai continué :

      -     Si on allait prendre un ristrette ?

Bonne idée, répondu Michel Francoph, mais il drache des cordes et il ne faudrait donc pas oublier le parapluie ! Je te rejoins dans une minute, je dois encore aller acheter une lumerotte.

C’est ainsi que lui et moi avons passé l’après-midi devant un ristrette. Le serveur était chafouin, tout le contraire de notre voisin qui lui, était complètement fada ! Après ça, je suis rentrée chez moi en passant devant le dépanneur, tout comme Michel Francoph ! Il était temps que je passe le seuil de la porte de ma maison, car le vent apportait la poudrerie. Que j’étais fatiguée. Une bonne nuit de sommeil s’imposait.

     Léna LB 6e3

 

*

       Michel Francoph avait rendez-vous avec Michel Tournier pour l'aider à intégrer des mots de la Francophonie dans son nouveau roman. Ils avaient rendez-vous le lendemain. Michel Francoph est un écrivain qui se consacre aux livres pour enfants sur les mots de la Francophonie.

       Michel Tournier se retrouva comme prévu en face d'un dépanneur dans un ristrette. Le vent apportait beaucoup de poudrerie ... Bip-bip 

-Allo Michel, c'est Michel !, s'exclama Michel Francoph.

-Oui, où êtes-vous ?, questionna Michel Tournier de manière vigousse.

-Je suis dans un tap-tap, j'arrive, dit Michel Francoph.

Un peu plus tard un journaliste les interrogea :

-Comment vous appelez-vous ?

-Michel, s'exclamèrent les deux hommes en choeur.

-Pas tous à la fois s'il vous plaît ! demanda le journaliste.

-Michel, répondit Michel F.

-Et vous ?

-Moi Michel, répondit Michel T.

-Un écrivain doit avoir un minimum de sérieux, s'énerva le journaliste.

-C'est seulement qu'on s'appelle tout les deux Michel monsieur enfin, s'exclamèrent-t-ils 

      Malgré cela, ils passèrent un bon après-midi et trouvèrent plein d'idées intéressantes. Quelques mois plus tard, Michel eut un succès !  

     Luna A 6e3

 

*

              Je rencontre Michel Francoph dans quelques secondes. Je stresse un peu, c’est mon chanteur guitariste préféré. Ecoutez, il arrive. Bonjour Monsieur Francoph. Salut mec. Alors, c’est ici l’interview ? Oui monsieur. On y va ? Allez. 

             Voulez-vous un café, un ristrette ? Ouais, s'il te plaît, mec. Merci. Alors la question qu'on attend tous, quelle est votre nouvelle voiture ? C'est un tap-tap. Mais non je rigole, c'est une Ferira rouge décapotable. D’accord. Votre dernier concert était sous le dracher en Bretagne je crois ? C'est ça. Quand sera votre prochain concert ? Mon prochain concert est dans un mois, j'aurai ma nouvelle guitare électrique qui produit des éclairs, ça va être fada ce concert. Très bien, je crois que c'est l’heure pouvez-vous me faire un autographe ? Bien sûr.

      À ce moment là, il est parti. Après je suis allé à son concert. Quand je suis arrivé il y avait une lumerotte qui éclairait la scène. Et là tout s’alluma et ce fut de la folie. Il y avait des éclairs partout, une super ambiance et là : panne de courant !!!!!!!!!!!!!!

     Edouard S. 6e3

 

*
      Un apprenti-journaliste se rend sur son lieu de travail. Sur le plateau, son patron lui explique qui il devra interviewer. Il devra interroger Michel Francoph, un célèbre auteur de romans pour adultes.
-Bonjour Michel, comment allez-vous?
-Excusez moi. J’étais chez le dépanneur. Je vais très bien merci.
-Alors, comment avez-vous trouvé l’inspiration pour écrire ces mots farfelus que vous mettez dans vos livres?
-Vous savez, je suis un grand voyageur, j’ai appris beaucoup de mots qui viennent d’autres pays. Comme tap-tap; lumerotte; poudrerie ou vigousse.
-Oh! Intéressant! Dites nous en plus!
-En faites, je suis allé au Québec, à Haïti, en Belgique et en Suisse. Mais je suis toujours en quête de nouveaux mots.
-Puis-je vous proposer un mot? Je vous suggère le mot fada. Fada veut dire un peu fou. Je pense que sa pourrait très bien entrer dans un livre…
-Fada …? Oui, peut être bien que ça pourrait entrer…Ah mais oui! Je l’appellerai Guillaume, en l’honneur de vous. Oh vite, vite, j’ai plein d’inspiration!!
Je suis désolé, mais je dois rentrer chez moi. A bientôt! C’était un plaisir!!
     Quelques mois plus tard, le livre de Michel Francoph est sorti en librairie. Il s’appelle “Le fada au far ouest”. Le personnage principal s’appelle Guillaume et l’histoire raconte qu’il s’en va au far ouest au milieu des cow-boys, qu’il enchaîne les bizarreries et qu’il se fait traiter de fou.  Noémie D. en 6e3 en février 2016

*

     J’étais un journaliste  sur un bateau avec le grand aventurier et ami Michel Francoph en hiver. Il y avait de la poudrerie et de la lumerotte. Nous devions aller à l’Assemblée Nationale mais il fallait prendre des moyens de transport, nous prîmes un tap-tap.

     La route devait durer une heure. Nous avons vu un fada qui jetait des bouteilles sur les arbres. Il drachait un peu au début du voyage. Nous avons commencé à parler. Mais avant je suis allé chercher un ristrette.

Michel Francoph  a dit : « Il  n’y a pas longtemps, je suis allé dans un dépanneur et j’ai mangé un fruit du Congo, il était succulent. »

Moi j’ai dit : «  le meilleur fruit du monde, c’est la mangue. »

-«  Je suis sûr qu’un jour la Terre sera remplie de pollution, de déchets, de lave. C’est ça que je veux empêcher et je l’empêcherai étapes par étapes ».

- « Moi ce que je n’aime pas, c’est voir les animaux se faire torturer alors qu’ils n’ont rien fait de mal ». 

- « Tu as raison, je vais prendre un ristrette et j’arrive tout de suite ».

Ensuite nous avons parlé de notre réunion.

 - « Au Congo les gens sont pauvres et ils n’ont pas de nourriture, donc c’est pour ça que je vais à l’Assemblée Nationale. »

- «  Moi je vais à l’Assemblé Nationale pour la défense des éléphants. »

      Ensuite nous y sommes allés et on a réussi à défendre les causes que nous voulions défendre. Je suis retourné chez moi en me disant que Michel Francoph était une personne vigousse, et je rencontrai à nouveau le fada; mais cette fois il dormait sur l’arbre.

     Quentin T 6e 3   

 

*


     Je sortais du cinéma puis je vis Michel Francoph ! Il a eu cinq Oscars du meilleur acteur et 6 Golden Globe et en plus, il jouait dans De l’autre côté de la route, le film que je venais de voir.
- Bonjour Monsieur Francoph, je pourrais avoir un autographe ?
Michel - Oui je vais vous le faire sur votre tee-shirt.
- Je vous connais par cœur, vous avez beaucoup voyagé. Et vous connaissez beaucoup de mots comme “Fada”.
Il était très vigousse.
Michel - Oui et j’en connais plein d’autres. Allons boire un ristrette dans ce café. On parlera de moi là-bas. Et je le suivis.
Michel - Vous savez, il va bientôt dracher, j’ai regardé la météo. Et on parla pendant 2 heures.
     Michel fit un de ces rêves un peu fadas, celui de sauver un dépanneur pauvre du Congo.

     Mathieu L. 6e3

 

*

 

         Cette histoire se passe dans une boutique, plus précisément un dépanneur. Sur une chaise était assis le jeune Michel Francoph, qui débutait sa carrière d’écrivain…

        Comme il commençait à peine, il était nerveux. C’est alors que Samuel Tourné, un autre écrivain très champagné et célèbre, à la mine chafouine, sortit d’un tap-tap. Il avait l’air, certes, chafouin, mais il n’était pas méchant pour autant. Il dit à Michel Francoph:

“-Vous écrivez un livre ?

-S…S-Sa…mu-mu…Samuel Francoph ?!

-Oui, c’est moi, en effet. Et si vous êtes dans le besoin, je peux vous aider.

-Oh oui, pour mon livre, s’il vous plait !” dit Michel.

 “-Très bien, mais au fait quel est votre nom  ?

-Michel Francoph.

-Enchanté. Donc, où se passe votre histoire ?

-A Paris, alors qu’il drache et où la pluie ne s’arrête pas…”

     Et le livre fut édité et intitulé Paris sous la pluie.   Corentin L. 6e 3

 

*

 

Etrange rencontre

         Bonjour, je m’appelle Cynthia et j’ai 11 ans. Je vis en Suisse avec ma mère dans une grande maison au bord d’un lac. Je ne connais pas mon père, il habite à Paris, maman  n’aime pas en parler et je ne sais pas pourquoi ! Ce matin, je suis allée chercher le courrier. En feuilletant les lettres, j’ai vu qu’il y en avait une adressée à mon nom. Je l’ai ouverte. L’écriture m’était inconnue. Il était écrit :

   Bonjour Cynthia, je te propose de venir me voir à Paris pendant un mois. Tu viendras me rejoindre dans une semaine. Je serais habillé tout en blanc pour que tu me reconnaisses. À très vite, Ton papa.

          Au début, maman ne voulait pas, elle me disait que c’était trop dangereux, que si il y avait un problème elle ne serait pas là… Mais elle finit par accepter. J’ai terminé de préparer ma valise, à la hâte. Je prenais le train pour la 1ère fois toute seule !

Maman m’accompagna à la gare et m’aida à m’installer à ma place. Le train s’éloigna, je dis au revoir à maman d’un grand signe de la main. Petit à petit mon cœur se mit à battre de plus en plus fort. J’allais rencontrer mon père pour la première fois.

Un grand home habillé dans long manteau et d’un grand chapeau entra dans le wagon et s’assit à côté de moi. Il s’installa et sortit de sa poche une pipe en bois.

Je me mis à tousser à cause de la fumer qui m’empêchait de respirer correctement. Celui-ci me regarda d’un air intrigué. Je me sentis gênée.

        -Bonjour, j’espère que je ne te dérange pas trop ?

Voyant que j’étais intimidée et que je ne lui répondais pas, il continua.

   - Je m’appelle Michel Francoph, et je suis aventurier.

 Au début, je pensais qu’il était fada, je ne savais pas s’il était vraiment aventurier ou si cela était une farce. Puis il sortit de son sac un étrange légume.

   - Je voyage beaucoup. Tu vois, c’est un légume que j’ai rapporté de Belgique. C’est un lumerotte.

Je l’ai creusé moi-même !

Il sortie d’autres brimborions de son sac.

   - Et ça, qu’est-ce que c’est ? Lui demandai-je, de plus en plus intéressée.

   - C’est une boussole, elle vient de Québec. Un jour, je suis allé visiter la ville de Québec. Malheureusement en sortant du tap-tap qui m’y avait emmené,  il drachait. En courant, mon sac sur la tête, je me suis alors réfugié dans le magasin le plus proche, un vrai bric-à-brac dans lequel se trouvaient plein de livres, d’objets de toutes sortes. C’est en fouillant, que peu de temps après, je suis tombé sur cette fameuse boussole.

    - Et là, vous êtes allé visiter la Suisse ? lui demandais-je.

    - Non, c’est là que j’habite, mais je voyage beaucoup. J’y suis juste passé, car cela faisait longtemps que je n’y étais pas revenu.  Tu sais, ces derniers mois j’ai visité le Congo, la Belgique, Haïti, l’Allemagne, Londres et plein d’autres pays.

    - Moi, aussi j’aime beaucoup voyager. Je ne voyage qu’avec ma mère. Et là, c’est la première fois que je suis seule.

J’ai donc continué à parler avec lui…

    - C’est là que je descends, au revoir, déclara-t-il.

    - Au revoir lui répondis-je.

 

Et il disparut. Il avait laissé une petite statuette en bois sur son siège, et un mot qui disait : J’ai passé un très bon voyage avec toi. J’espère que tu t’amuseras beaucoup à Paris. Je t’offre cette petite statuette en souvenir.  PS : je ne connais même pas ton nom.   M.F

     Peu de temps après, je descendis du train à mon tour. J’essayais de me rappeler la lettre de mon père : je serais habillé tout en blanc. Un peu plus loin, un homme habillé tout en blanc me faisait des signes. Pas de doute, c’était lui ! Je courus vers lui. Il me prit dans ses bras, puis ma valise, et nous allâmes dans un ristrette pour discuter. Comme j’étais heureuse ! J’en profitai pour lui parler de mon étrange voyage.       

     Un mois s’écoula avec mon père, un peu trop vite, mais je pus le connaître et faire plein de choses avec lui. C’était super! J’ai passé de bons moments et me suis bien amusée. Puis, je repris le train pour rentrer. Je m’assis sur le siège, mais triste cette fois-ci, car il n’y avait personne à côté de moi. Une heure s’écoula. Dans l’arrière du wagon, un homme avec un manteau et un chapeau me semblait familier… Mais, je le connais !

     -Michel Francoph ! lui criai-je…

L’homme se retourna…   Anaïs F. 6e3           

 

*

 

Accompagnée de quelques amis pour une randonnée en haute montagne à l’approche du printemps, nous avons fait une halte au refuge de Ste Elisabeth. En arrivant, nous avons été accueillis par un petit homme à l’air chafouin, M. Michel FRANCOPH, scientifique célèbre et champagné, qui étudie les conséquences du réchauffement climatique sur l’environnement.

     - « Bonjour Monsieur ! Ravie de vous rencontrer…

- Bonjour Mademoiselle, moi de même ! Entrez je vous en prie et installez-vous… Désolé mais avec cette lumerotte, nous ne voyons rien à l’intérieur de la pièce.

- Cela n’a pas d’importance.

- Nous serions quand même mieux en ville ! Imaginez : un tap-tap nous déposerait chez un dépanneur pour acheter quelques friandises avant de nous installer à la terrasse d’un café pour un bon ristrette.

- Mais cela est impossible ! Dehors, il drache sans cesse et la poudrerie s’accumule sous la force du vent.

- Mais quel fada vous êtes !! Vous le savez bien : le climat se réchauffe et il n’y aura bientôt plus d’hiver, et plus de randonnée en montagne possible, car plus de neige. Du soleil… de la chaleur… l’idéal pour profiter des terrasses !

- Surprenante discussion ! Vous avez certainement raison, vous êtes un expert. Mais que pourrions-nous faire pour préserver notre environnement ? »

Michel FRANCOPHE ne m’a pas répondu. Il n’était plus très vigousse en cette fin de journée. Nous avons alors décidé d’en rediscuter après une bonne nuit de sommeil. Chacun a pu, durant la nuit, réfléchir à ce qu’il pourrait trouver comme solution à ce problème qui concerne toute la planète…

Capucine C. classe de 6e 3

 

*

     C’était le 27 juillet 1461. J’ai rencontré Michel Francoph, un homme vigousse , dans un bar. J’avais soif car il faisait chaud et je voulais boire quelque chose. Nous avons commencé à parler et il me dit qu’il était un aventurier. Il avait l’air un peu fada et je crois qu’il avait trop bu. Il avait garé son tap-tap devant le bar. Il me proposa de m’emmener jusqu’à la mer.                                            

  Arrivés à la mer.

M .F :-Voudrais –tu partir à l’aventure en bateau avec moi ?

G : -Je…Oui pourquoi pas ! Nous devons prendre beaucoup de nourriture ?

M .F –Ben Oui ! Pour partir au moins un an, on ne sait pas où. Mais ne t’inquiète pas. Maintenant allons, lançons le bateau et allons dormir.

Narrateur : le lendemain matin il drachait.

G : Oh non ! le bateau va couler.

Narrateur : dit-il en buvant son ristrette, le bateau avançait très vite grâce aux vagues et aux vents, un jour, deux jours trois jours, jusqu’à dix mois    

M.F : Enfin arrivé, dit-il, je ne vois personne, je dois faire des calculs pour savoir où nous sommes  …

G :-J’espère que nous allons trouver de la nourriture chez le dépanneur,  car nous n’avons plus beaucoup de provisions.

     Grâce à Michel nous sommes très populaires, car nous avons découvert l’Agrairie (île que j’ai inventée, on s’était mis d’accord avec Michel pour le nom) qui est une petite île et nous sommes rentrés en France (en bateau). J’ai appris que l’aventure c’est bien parce qu’il y a des poissons à pêcher, j’ai inventé la canne à pêche et on a pu réparer la lumerotte  qui était sur le bateau.

     Gabriel F. 6e3

 

*

 

            Je me promenais dans une forêt à la recherche d’un trésor. Alors que je cherchais un endroit où m’abriter  parce qu’il drachait.  Je tombai  nez à nez avec un homme très vigousse. Celui-ci me dit : « Bonjour, que faites-vous là ?

Je  cherchais un endroit  pour me sécher, lui répondis-je.

Vous avez de la chance, mon tap-tap  n’est pas loin. Je peux vous emmener  chez moi  pour vous sécher et reprendre des forces,  dit-il.

Avec grand plaisir. Je me présente, je m’appelle Martin. Enchanté, comment vous appelez-vous ?, lui demandai-je.

Michel Francoph et je suis un aventurier.

Vous ? Un aventurier ? Mais, c’est passionnant !, m’exclamai-je… Et en quoi consistent ces aventures ?

      En bien peu de choses après tout. Je visite des pays déjà connus, mais peu fréquentés. Je rencontre leurs habitants et je les prends en photos que je publie ensuite dans des livres. Une fois rentré à Paris, j’anime des conférences et je réponds aux questions des étudiants, des géographes, des scientifiques. Et... des chercheurs d’or, aussi. Mais si ça vous intéresse, venez donc chez moi. Je vous invite à venir les voir.

     Je l’ai donc suivi jusque chez lui .Très aimable, il me fit goûter une lumerotte,  un légume inconnu. Puis nous avons bu un ristrette  pour nous réchauffer et nous sommes devenus de très bons amis.

     Martin R. 6e3

 

*

                C’était une belle journée d’été, contrairement à hier où il a draché toute la journée. J’eus envie d’aller à la plage de Pereire à Arcachon. C’était marée basse. Je vis à côté d’un dépanneur, à la terrasse d’un café, un attroupement autour d’un homme. Je m’approchai. Cet homme était en train de déguster un ristrette. Il discutait et signait des autographes. C’était Michel Francoph, mon auteur préféré ! Même si c’est un homme chafouin et un peu fada, il est très vigousse.

-          « Bonjour Michel Francoph », dis-je en m’approchant.

-          « Bonjour Mademoiselle », me répond-t-il.

-          « Je m’appelle Jade et je suis ravie de vous rencontrer. Vous êtes mon auteur préféré, j’ai lu toutes vos aventures. » lui dis-je.

Puis, soudain, une vague nous emporta et nous déposa sur un banc de sable. Nous nous retrouvâmes seuls.

-          « Où sommes-nous ? comment allons-nous retrouver la terre ferme ? connaissez-vous cet endroit ? » me demande Michel Francoph. 

-          « C’est une île déserte. Regardez, là-bas ! Cette montagne de sable, c’est la Dune du Pilat ! », répondis-je.

     J’ai passé plusieurs jours et plusieurs nuits avec Jade sur cette île déserte. Nous l’avons appelée « le Banc d’Arguin ». Heureusement, nous avons trouvé des lumerottes et des fruits sur les arbres pour nous nourrir. Nous avons fait un feu et nous nous sommes racontés nos aventures passées, jusqu’à ce qu’un pêcheur nous ramène à Arcachon. J’ai beaucoup apprécié Jade. Nous avons décidé d’écrire un livre ensemble sur notre aventure. Il s’appelle « Le Banc d’Arguin ». Depuis, nous ne nous quittons plus. Jade est devenue un champagné et un écrivain aussi connu que moi.

    Jade A. 6e3.

*

     Lors de mon séjour à Agadir au Maroc, un vendredi soir alors qu'il drachait, je fis la rencontre d'un drôle de personnage dans un dépanneur. Nous avions fait connaissance en nous cognant la tête, alors que nous voulions prendre en même temps le dernier paquet de chips.

    M. FRANCOPH : - « Tu es fada toi ! »

Inès : - « Pardon monsieur ! Je ne vous avais pas vu avec cette satanée lumerotte ! On n'y voit pas grand-chose ! Du coup je peux prendre le dernier paquet de chips ! »

M. FRANCOPH : - « Tu ne manques pas d'air, petite vigousse  chafouine ! »

Inès : - « C'est que j'en ai besoin de ces chips, je reçois un champagné pour l'apéro. Ooooh  s'il vous plaît ! »

M. FRANCOPH : - «  Jeune fille, crois-tu que ton invité vaut mieux que moi ? Je suis Michel FRANCOPH le célèbre aventurier-écrivain ! Et moi aussi je mérite de manger ces chips ! »

Inès : - « Le Michel FRANCOPH qui a traversé l'Alaska sous cette dense poudrerie ?! J'ai lu toutes vos aventures ! Permettez-moi de vous inviter à boire un ristrette ! »

M. FRANCOPH : - «  Je te remercie, mais j'ai mon tap-tap qui est mal garé et je dois partir. »

Inès : - « Alors ces chips, qui les prend ? »

M. FRANCOPH : - «  Je suis un aventurier au grand cœur, je te les laisse. Bon apéro ! » 

Inès : - « Je suis votre plus grande fan ! Merci Monsieur FRANCOPH ! »

     Après avoir payé nos achats, chacun est parti de son côté. Le soir même, au moment de l'apéro, moi qui n'ai jamais rien à dire, j'ai pu me vanter de ma rencontre avec Michel FRANCOPH. Plusieurs mois après, il a sorti son dernier livre intitulé Rencontre surprenante dans un dépanneur.

     Inès D. 6e3

 

*

 

     Michel  Francoph  est un homme écrivain qui a écrit des best-sellers les livres s’intitulent les aventures de Michel Strogoff. Ces livres retracent l’histoire de Michel Strogoff un aventurier qui partit dans des aventures totalement folles. Il était mon plus grand admirateur (Michel Francoph). Un jour je suis allé à sa rencontre sur un plateau télé.

     J’arrivai en Tap-Tap au plateau télé. A la fin de l’émission à la quelle Michel Francoph était invité, je suis allé a sa rencontre et je lui ai posé plein de questions, je lui ai dit :  -Comment avait vous trouver l’inspiration pour tous vos livres ?                                            -Devant son ristrette  il dit : ce que je trouve marrant l’écriture d’un livre c’est que l’inspiration vient quand on ne l’attend pas. Un jour il drachait sur Paris, j’ai vu une affichette de Jules Verne et là je me suis dit que mon personnages principal s’appellerait  Michel Strogoff -êtes vous Champagné ?-Moi je suis Champagné, mais seulement avec les écrivains, mais je connais le vendeur du Dépanneur  d’en face   -Etes vous Fada ? Moi ?? Peut-être un peu cela dépend de mon humeur.-Etes vous Vigousse ?                                                 -Oui beaucoup ; sans vouloir me faire des compliments. -Merci beaucoup, au revoir.

Au final même après avoir su beaucoup de choses, même parfois peu intéressantes, je trouve que Michel Strogoff est toujours le meilleur. Je quittai le plateau et j’étais revenu chez moi en Tap-Tap. Je retrouvai mon père devant un ristrette et ma mère était en train de lire un livre ? Je les rejoignis puis je leurs racontai mon dimanche

   Il était une fois une personne vigousse qui arriva et dit « Je suis Michel Francoph » et il partit dans son tap-tap. Personne ne le crut, tout le monde  semblait un peut fada.

    Tout le monde croyait  qu’il était  mort.  Il y a dix ans, il a sauvé trois personnes (dont moi) qui étaient devant  une mitraillette  tenue par un plus que fada. Et maintenant, il y a une statue de lui sur la place de la république  à Paris, c’est une très  belle statue même dans ces jours de poudrerie et dracher,  mais il y a lumerotte. Je  me demande si c’est vrai, vais-je aller chez lui.

   Me voilà chez lui, il n’ est pas là, mais sa maison n’ est pas comme avant que je le  voie dans le bar, mais  je ne  renonce pas pour autant et j’ ai bien fait, car je le vis à deux maison de là et  je lui  sautai dans les bras, mon sauveur  que j’ aime et il disparut.

     Matthieu S. 6e3

 

*

 

      Un jour, alors que j’étais dans la cuisine, un homme sonna à la porte. Ma mère ouvrit la porte. Il drachait. Ma mère s’occupa de lui et j’appris qu’il s’appelait Michel Francoph. Le soir rentra, il vit Michel et dit « Je trouve cet homme chafouin.

-Non ! répondis-je

-Naomi, ne te mêle pas de la conversation ! »

      Je trouvais ça injuste que mon père dise cela. Michel Francoph était un aventurier. Un matin, alors que mes parents n’étaient pas là, Michel m’expliqua qu’il avait voyagé à bord d’un tap-tap : « Tu sais, j’ai eu peur en entrant dans le dépanneur , j’ai trouvé le vendeur fada » . En entrant du collège, je surpris une conversation bien étrange. Michel était au téléphone : « Bon écoute, je vais faire tout pour que la petite me dévoile les plans de son père ». J’étais choquée, il m’avait champagné !

 

Le soir, mon père me trouva bien froide avec le chafouin. Le soir en allant me coucher, mon père me demanda : « Que se passe-t-il ?

-Non je suis juste triste.

-Pourquoi ?

-J’ai eu une mauvaise note. »

     Je  venais de mentir à mon père.  Je pense qu’il avait compris qu’il se passait autre chose, car il me dit : « Bon tu me dira la vérité demain. Dors bien. »

Puis il ferma la porte. J’étais seule avec  Michel… Une femme sonna à la porte. Je descendis et elle me dit :  « Bonsoir mon enfant , je m’appelle Anna. Est-ce que je peux entrer ?

-Qui êtes-vous ?

-C’est ma femme. », répondit  Michel.

« Vous pouvez entrer Anna »

      Michel  buvait un ristrette. A ce moment-là, elle me gifla et je hurlai si fort que je tombai dans les pommes. Je me réveillai dans une pièce à lumerotte.  Anna me disait : « Ecoute, petite…

-Je  suis pas petite

-Je suis pas petite !

- Beh , ma grande …

-Ni grande »

Et elle me gifla, cette fois je ne ressentis rien.

« Ecoute,…dévoile-moi les plans de ton père.

-Je ne les connais pas.

- Ne mens pas.

- Où suis-je ?

-Chez nous. » Et elle me fit une piqûre, il y avait écrit «sérum de vérité ». Elle me reposa les mêmes questions et disait la même chose. Tu dis donc la vérité ! Oh de la poudrerie »

     Naomie K. 6e3

 

*

 

Moi : Et maintenant, nous accueillons chaleureusement, sur notre plateau télévisé, Michel Francoph, le grand professeur de français, primé quatre fois au prix Nobel. 

Le public applaudit.

Michel : Bonjour à tous. Merci, merci. 

Moi : Asseyez-vous. Alors, dites-nous quelle sensation vous ressentez d’avoir été nommé pour la quatrième fois ?

Michel : Pour tout vous dire, c’est une fierté absolue d’avoir été renommé cette année. Après tout je suis le meilleur.

Moi : Que vous êtes modeste. Passons maintenant à autre chose. Vous avez écris un livre du nom de « le paradis des fruits ». Parlez-nous-en.

Michel : C’est un livre de cuisine ou l’on peut apprendre à cultiver des cucurbitacées, et un légume peu connu du nom de lumerotte.

Moi : Super, je suis sûr que tous les jeunes du quartier viendront acheter votre livre. Il paraît que vous êtes connu pour la prose. Pourriez-vous nous improviser un poème ? 

Michel : Si vous insistez.

Une fine poudrerie drache sur mes lumerottes.

Un jeune faquin, fadasse se met à rire.

Le maire champagné, passa par là 

Et salua quelques arbres.

Serait-ce un rêve ou la réalité ?

Moi et le public : Bravo, bravo ! ! !

Moi : Passons maintenant au jeu. «Le jeu des oeufs»; Il consiste à ne pas recevoir d’oeuf sur la tête. Je vais vous poser des questions, si la réponse et bonne il ne se passera rien, mais si elle est fausse vous recevez un oeuf. êtes-vous prêt ? 

Michel : Allons-y.

Moi : Attention Top ! Quel est le signe qui se trouve sur une bouteille de vin français et qui détermine sa nationalité ? 

Michel : Une Marianne.

Moi : Bonne réponse !

Michel : C’était simple. 

Moi : Si vous le dites. Top, combien de mots existent-ils dans la langue française.

Michel : 200 530.

Moi : Faux ! ! !

Un assistant lui écrasa un oeuf sur la tête.

Moi : La langue française est composée de 200 531 mots. Prochaine question : top, quel est le mot qui désigne une personne d’influence ?

Michel : Un champagné. D’ailleurs, il fait partie des dix mots de la francophonie.

Moi : Exact ! ! ! Passons au super concours. Même les plus « fortiches » n’ont pas réussi. Une seule question, même si elle est simple, peut être déstabilisante : Qu’est ce qui est vert, qui monte, mais qui ne peut pour l’instant redescendre ?

Michel : … Un petit pois… coincé dans un ascenseur. 

Moi :  Oui bravo ! Nous pouvons maintenant applaudir Michel Francoph, qui pourra revenir dans quelques semaines sur notre plateau télévisé. Tout de suite la pub après la météo. Bonne soirée à tous.

     Emilie C. 6e3

 

*

 

     Je m’appelle Julia et je suis présentatrice de télévision.

-« Nous allons maintenant faire la connaissance de Michel Francoph, cet écrivain qui a un énorme succès !, dis-je, en faisant signe à la foule d’applaudir. On vit au loin deux portes s’ouvrir et laisser paraître un grand homme d’une soixantaine d’années qui vint s’assoir à la grande table.

    -« Bonjour Michel », dis-je tellement excitée qu’il doit me croire fada.

-« Bonjour », dit Michel.

-« Nous aimerons connaître votre parcours pour comprendre ce qui vous a inspiré pour écrire ces si beaux livres ?

-« Eh bien tout a commencé un soir de pleine lune où seulement quelques lumerottes éclairaient le chemin. Je roulais en tap-tap à la recherche d’aventure et d’inspiration, lorsque je vis au loin une petite maison éclairée ; comme je n’avais aucun endroit où dormir je m’approchai donc et sonnai, mais malheureusement personne ne m’ouvrit. »

-« Mais vous nous aviez bien dit que la maison était éclairée ?», dis-je incrédule. 

-« Effectivement mais comme personne ne vint, je repartis et m’allongeai finalement près d’un arbre. J’eus peur qu’il commence à dracher mais finalement je dormis paisiblement et un merveilleux rêve arriva rempli de créatures fantastiques et d’être  imaginaires. Voilà donc ce qui me donna l’inspiration »

-« Magnifique ! », dis-je d’un ton vigousse.

Et la foule se mit à applaudir gaiement.

     Julia L. 6e3

 

*

 

Un jour, qui pour le moment était comme les autres, il drachait énormément et on ne voyait rien. Quand je sortis de chez moi, je tournai à l’angle de ma rue et je me cognai contre quelqu’un. Cette personne était un champagné. C’était le célèbre Michel Francoph. Il avait fait fortune en vendant ses livres. Nous prîmes un tap-tap pour aller bavarder dans un café.

Le café se trouvait dans une rue à ristrettes. Nous commandâmes deux expressos et commençâmes à parler. Je lui demandai comment il avait trouvé l’inspiration pour les scénarios de ses livres. Il me répondit : « Je voyage beaucoup, et j’écris mes livres pendant mes voyages ». Il ajouta : « Les mots spéciaux qu’il y a dans mes livres viennent de mes voyages dans les pays francophones ». Puis je lui demandai s’il allait bientôt écrire un nouveau livre. Il me dit qu’il lui manquait des morceaux de scénario, mais qu’il venait d’en trouver une partie. Quand nous sortîmes, il ne pleuvait plus mais c’était une vraie poudrerie.

            Un an plus tard le dernier livre de Michel Francoph sortit et dedans il y avait un passage qui me rappela quelque chose. Il y avait un des personnages principaux qui rencontraient une star au coin de sa rue. Je continuais à voir Michel Francoph qui m’expliquait le sens de certains mots comme vigousse, fada, chafouin et bien d’autres. Et à mon tour je partis faire le tour du monde.

     Gautier C. 6e3

 

*

 

     Michel  Francoph  est un homme écrivain qui a écrit des livres à succès qui s’intitulent les aventures de MICHEL STROGOFF. Ces livres retracent l’histoire de MICHEL STROGOFF un aventurier qui partit dans des aventures totalement folles. Un jour je suis allé à la rencontre de Francoph sur un plateau télé.

     J’arrivai en Tap-Tap au plateau télé. A la fin de l’émission à laquelle Michel Francoph était invité, je suis allé à sa rencontre et je lui ai posé plein de questions, je lui ai dit : -Comment avait vous trouvé l’inspiration pour tous vos livres ? -Devant son ristrette, il dit : ce que je trouve amusant dans l’écriture d’un livre c’est que l’inspiration vient quand on ne l’attend pas. Un jour il drachait sur Paris, j’ai vu une affichette de Jules Verne et là je me suis dit que mon personnages principal s’appellerait  MICHEL STROGOFF                                                                                        

-Etes vous Champagné ?                                                                                                                                                                  -Moi je suis Champagné, mais seulement avec les écrivains mais je connais le vendeur du Dépanneur  d’en face.                                                                                                                                                                                           –Etes-vous Fada ?                                                                                                                                                                          Moi ?? Peut être un peu, cela dépend de mon humeur.-Etes vous vigousse ?                                                                                                                                                                                                                                          -Oui beaucoup ; sans vouloir me faire des compliments.                                                                                                                -Merci beaucoup, au revoir.

     Au final même après avoir su beaucoup de choses même parfois peu intéressantes, je trouve que MICHEL FRANCOPH est toujours le meilleur. Je quittai le plateau et j’étais revenu chez moi en Tap-Tap. Je retrouvai mon père devant un ristrette et ma mère était en train de lire un livre ? je les rejoignis puis je leur racontai mon dimanche.

     Arthur B. 6e3

 

 

 

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