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Le blog de Monsieur Dyrek
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30 novembre 2015

Les clés du Père Noël composés par les 6e2 en novembre à Paris pour des cartes illustrées (Marché de Noël)

 

CarteslesclesNoeli

 

CartesNoel15b

 

 

LES CLES DU PERE NOEL

 

     Récits de 6e2 composés à Paris en novembre 2015 pour préparer Noël, certains textes seront lus par des sixièmes à des enfants de notre école avant les vacances de Noël… Ces histoires figureront aussi sur des cartes illustrées à se procurer au Marché de Noël ! comme les poèmes de 12 vers écrits par les 6e3…


« Les clés du Père Noël »
     C’est la veille de Noël, je suis en vacances et suis allé chercher une baguette chez le boulanger. Quand j’arrive devant chez moi, j’ouvre la porte, entre et retire le courrier de la boite à lettres. Je vois qu’il y a un paquet pour moi. Je regarde l’adresse de celui qui me l’a envoyé et je lis : Maison du Père Noël, Pôle Nord. Je rentre dans ma chambre et ouvre le colis. J’y découvre des clés et un papier dans une enveloppe que je lis : « Bonjour, c’est le Père Noël. Viens garder ma maison le soir de Noël. ».
     Je n’en crois pas mes yeux ! C’est bien le Père Noël qui m’envoie ceci… On est la veille de Noël et il me demande d’aller garder sa maison. Je montre cela à mes parents. Ils me disent : « c’est une blague de quelqu’un ». Je leur demande de prendre un billet d’avion… Ils disent oui !!! Je pars jusqu’au Danemark et arrivé là-bas, je loue un bateau jusqu’au Pôle Nord. Je marche en direction de la maison lorsque je la vois : c’est bien celle du Père Noël…
     Il fait nuit dehors, je rentre dans la maison et, assis sur sa chaise, je vois le Père Noël. Il me dit : « Mon garçon, merci d’être venu. Je vais bientôt partir faire ma tournée. » C’est d’accord lui répondis-je, au revoir. Il partit avec son traîneau et quelques lutins, et moi, je restais dans la maison en attendant qu’il revienne. Les lutins me firent découvrir la maison. Quand il rentra, je pus rentrer chez moi… pour ouvrir les cadeaux.
     Gwezhenneg V. 6e2 Paris, le 12 novembre 2015

 

**

 

     En allant à l’aéroport pour prendre le vol « pôle nord » d’Air France, j’ai vu des clés par terre. Un trousseau avec quatre clés et un ruban où il était marqué : «  les clés du Père Noël ».

Lundi matin, je reçois un appel du P.O.P ; c’est l’association pour laquelle je travaille. Le P.O .P c’est l’association pour la Protection des Ours Polaires, elle protège les animaux de la banquise à cause du réchauffement climatique. Mais elle protège surtout les ours polaires comme son nom l’indique. La P.O.P m’appelait pour me dire que j’allais partir au pôle nord pour une mission sauvetage de deux ours polaires coinces sur un morceau de banquise.

J’ai donc fait ma valise et je suis partie.

J’étais dans un avion que la P.O.P avait en quelque sorte réserve pour ses employés.

     Le voyage fut long et je regardais le paysage quand j’aperçus une usine. Le lendemain matin nous nous rendons à l’endroit en question. Il y avait un ourson polaire et sa mère. Elle était coincée car elle ne pouvait pas partir sans son ourson. Après le sauvetage, je dû faire le tour de la zone pour vérifier qu’il n’y avait pas d’anomalies. Au loin, je voyais l’usine que j’avais aperçue depuis l’avion. Je m’y rendis en moto neige. C’était une grande maison avec une grosse inscription : fabrique. Elle était fermée à clef avec un panneau : » Le Père Noël est parti ». Je fouillai donc dans ma poche et pris la clef que j’avais trouvée à l’aéroport. La porte s’ouvrit, et, devant moi, se présentait une fabrique avec plein de lutins.

     Ils me regardèrent d’un air bizarre et se remirent au travail. Il y avait un couloir avec une porte marquée : « RÊNES », une autre marquée : « TRAINEAU » puis une autre porte : « LISTES ». Elles étaient ouvertes et dans la première, il y avait dix boxes avec des rênes et dans l’autre au moins vingt traineaux, la dernière était remplie de bureaux cachés par des millions de listes. Je posais les clés dessus et partis avant que le Père Noël revienne, mais il était à la porte. Je décidais donc de me cacher quand il passa juste devant moi. Rampant comme un serpent, je partis vers la sortie, courus, puis grimpai sur ma motoneige jusqu'à la base.

Roxane P. 6e2

 

**

 

Il me dit quelque chose,

         Alors que je me promène sans but dans les rues enneigées, mon regard s arrête sur une personne qui me dit quelque chose. Mais impossible de me souvenir à qui me fait penser cet étrange personnage. Il a une grande barbe blanche, un ventre un peu rebondi, il porte un drôle de manteau rouge et un sac à dos assez rustique. On aurait dit une hotte. Pendant que je le regarde, il perd ses clés. Je souhaite les lui rendre, mais lorsque je me relève, il a disparu.

         Je commence à m'inquiéter en me disant que ce monsieur ne pourra pas rentrer chez lui, n' ayant pu lui rendre ses clés. Quelles portes peuvent être ouvertes avec ces étranges clés ? Je ne sais. En rentrant à la maison, je les essaye dans ma serrure.

Mais rien ne se passe. Je vais chez le serrurier qui me dit ne pas avoir vu des clés pareilles.

Que faire, je suis à court d’idées. Il est tard et je décide de me coucher. Le lendemain matin, je pars travailler en voiture. Je me dis que je pourrais les essayer dans le contact. On ne sait jamais.           

         Et là je ne vois plus rien. Le temps me paraît très long. Lorsque je les ouvre, je ne vois que du blanc, beaucoup de blanc. On dirait le Pôle Nord. Je suis sur la banquise et au loin se dessine une maison. Je décide de m'approcher, elle semble étrangement calme. Au dehors dans un enclos, des rennes dorment. Je glisse la clé dans la serrure et miraculeusement la porte s'ouvre. Je découvre une véritable petite entreprise de... jouets. Au fond de la pièce, un homme avec une grande barbe blanche, habillé de rouge s'affaire entouré de nombreux petits lutins. Lorsqu’il se retourne, je comprends que c'est le Père Noël !!!

      Oscar Charles, 6e2.

 

**

 

CartesNoël1

CartesNoël2

 

         Il était une fois, ou plutôt la suite de la première fois, une petite fille du nom de Solène qui, le matin du vendredi 18 décembre, allait à l’école : elle était très rêveuse et croyait au Père Noël, au Lapin de Pâques et à d’autres choses de ce genre. On aimerait être son amie, mais elle était incapable de se concentrer sur autre chose que ses rêvasseries. Donc, Solène allait à l’école et sur le chemin vit des rennes gambader. Alors elle regarda le comportement des gens aux alentours. Encore plus étonnant : les gens paraissaient ne pas voir les rennes. Voilà que la vieille voisine du dessous passa lentement à travers un renne ! Solène le suivit et découvrit un traineau en mille morceaux. Quelque chose brillait dedans : des clés ! Solène était sûre qu’elles appartenaient au Père Noël…

         En rentrant chez elle Solène, n’avait plus qu’une idée en tête. Rendre les clés au Père Noël et en même temps pouvoir lui parler. Sa mère n’était toujours pas rentrée et Solène commença à s’inquiéter. Mais comme elle voulait jouer, elle décida de jouer à fermer toutes les portes à clé et, en ouvrant les portes, à se faire peur. Ses cinq frères acceptèrent. Ils firent deux parties. Dans la première, l’ainé fît le chat, dans la deuxième, ce fut Solène et elle entendit du bruit venant de l’armoire et dit « Je ne sais pas qui est là, mais je t’ai trouvé », elle ouvrit la porte et, sans le savoir, utilisa les clés du Père Noël et découvrit un portail menant au Père Noël…

         Solène découvrit une sorte d’igloo géant en forme de cadeau de Noël. De loin, elle crut voir des petits triangles rouges portant des carrés multicolores, mais elle découvrit ensuite que c’était des lutins portant des cadeaux. Elle vit le Père Noël qui lui dit que ce n’était pas le moment pour les touristes. Solène lui montra les clefs. Il poussa un « hourra ! » et dit à ses lutins : « Cette petite fille m’a redonné mes clefs, Noël est sauvé ! »  Il lui expliqua que les clefs servaient à rentrer dans les maisons sans cheminée et lui proposa de rentrer sur son nouveau traineau. Je vous le dis, moi qui ai vécu cette aventure, il vaut mieux être bien couvert au Pôle Nord !

    Garance P.

 

**

 

    André marchait tranquillement dans la rue, s’assit sur un banc et lut le journal : «Noël arrive à grands pas !» Ce titre n’était pas très intéressant… Il se leva et continua son chemin, l’aube pointait et un ciel radieux s’offrait en spectacle. Il mit ses mains dans ses poches et y trouva des clés. Cela paraît normal, mais il remarqua vite qu’elles avaient une étiquette sur laquelle on pouvait lire : Père Noël. Il n’en revenait pas. On aurait dit ses clés, mais il y avait cette étiquette… Il rentra chez lui, la porte était ouverte car son épouse était à la maison. Ils se firent chauffer un thé. Lorsque la bouilloire siffla il remplit la théière, se servit une tasse et songea : «Pourquoi ces clés sont-elles apparues dans ma poche ? » Il regarda sur son ordinateur « Pays du Père Noël », et il découvrit que c’était le Groenland, mais aussi l’Australie, et même la France… Si le Père Noël ne trouve plus ses clés, Noël n’aura pas lieu ! Et c’est dans trois semaines! Il faut que je trouve une solution! se dit-il.

     Il se rua dans une agence de voyage où il prit un billet d’avion pour le Groenland, un autre pour l’Australie, un troisième pour la Nouvelle Calédonie, l’Ecosse, la Bolivie… Il passa deux jours au Groenland où il ne trouva pas le Père Noël, séjourna trois jours en Australie où le grand-père au bonnet rouge ne se trouvait pas non plus, il se rendit presque partout… A une semaine du jour de Noël, André rentra de Belgique épuisé, il n’avait toujours pas retrouvé le Père Noël. Il désespérait. Il mangea des pâtes au fromage de montagne pour se remonter le moral, prit une douche et alla se coucher. Il fit alors un rêve étrange: le Père Noël lui ressemblait énormément, et il était en train de déguster des crozets…

     Le lendemain matin, au réveil, il ouvrit son armoire et tomba nez à nez avec un costume rouge bordé de blanc. Il réfléchit pendant deux jours à cette curieuse énigme. Et c’est lorsqu’il aperçut son épouse en train de cirer une paire de bottes noires ainsi qu’un gros ceinturon, qu’il eut des doutes. Ma femme aurait-elle profité de mon absence pour m’être infidèle avec Monsieur Laugre, notre voisin? se demanda-t-il. En pleine crise d’angoisse, notre homme se précipita à la fenêtre afin de respirer un peu d’air frais. Il se mit à contempler son jardin enneigé et aperçut Gustave et Jean-Louis, ses fidèles rennes. Et c’est alors qu’il réalisa qu’il était le Père Noël ! Le 24 décembre arriva et tous les petits enfants purent voir André Noël sur son traîneau tiré par des rennes, ou bien découvrir au matin tous les jouets dont ils avaient rêvé.

Bérengère N. 6e

 

**                                                                                                         

 

     Il était une fois un Père Noël qui pouvait se rendre invisible. Un jour, il alla dans parc d’attraction. Au niveau de l’entrée il y avait des miroirs déformants. Il les essaya un par un. Arrivé au cinquième, il se regarda et il eut tellement peur de son reflet dans le miroir qu’il courut le plus vite qu’il put… si vite qu’il perdit ses clés sans s’en apercevoir !

   Un garçon nommé Max se rendit lui aussi aux miroirs déformants. Sur son chemin, il découvrit des clés avec l’inscription : « les clés du Père Noël ». Il n’en crut pas ses yeux, voir les clés du Père Noël était, pour Max, extraordinaire. Il ne le dit pas à ses parents. Sur le chemin du retour, après cette merveilleuse journée,  il se posa pleins de questions étonnantes : comment vais-je lui rendre ses clés ? Où habite-t-il ?

     Arrivé chez lui, Max décida de cacher les précieuses clés du Père Noël sous son lit. En se glissant sous son lit, il aperçut une trappe qu’il n’avait jamais vue auparavant. Il l’ouvrit et fut aspiré par un souffle magique qui l’entraina devant la maison du Père Noël. Il sonna à la porte et le Père Noël l’accueillit chaleureusement, heureux de retrouver son trousseau de clés ! Pour remercier Max,  le Père Noël emmena le jeune garçon faire une promenade en traineau dans un ciel étoilé !!!! 

      Valentin M. 6e2

 

**

 

La magie de Noël

     Je rentrais chez moi lorsque je trouvai une clé avec une étiquette. Je la lus : « Clé du Père Noël, pour me trouver, avancez ». « N’importe quoi ! »

J’avançai un peu plus loin et tombai sur une grande porte que j’ouvris avec curiosité. Derrière, il y avait un portail, je le traversai et tout d’un coup j’eus froid.

J’ouvris plus grand les yeux et vis une grande usine avec plein de petits hommes verts en scooter et un homme barbu. Je m’avançai et vis un traineau. « Non, ce n’est pas possible, il ne peut pas exister ! ».

     - « Monsieur le Père Noël, j’ai trouvé votre clé ! »

- « Au Dieu merci, tu es arrivée » dit l’homme barbu.

- « Mais comment saviez-vous que j’allais trouver votre clé ? »

- « Ah ! C’est un secret, je n’ai pas le droit de te le dire. Bon maintenant que j’ai retrouvé ma clé, je peux commencer ma tournée ! ».

- « Et moi ? Vous n’allez tout de même pas me laisser ici ? »

- « Bien sûr que non ! Monte à côté de moi, je t’emmène ! »

     Il décolla et je me réveillai dans mon lit. « Waouh ! Quel rêve ! »

- « Mon cœur, allez viens ouvrir tes cadeaux ! » cria ma maman.

- « Allez viens, le Père Noël est passé ! », dit mon papa. Cela est ce que j’appelle la magie de Noël.

     Camille B. 6e2

 

**

 

« Les clefs du Père Noël »

         Un jour, plus exactement le vingt-quatre décembre 2015, vers vingt heures, Antoine, un jeune collégien de douze ans, et son frère Vincent, un élève du primaire de  dix ans, sont chez eux. Antoine regarde par sa fenêtre, et, à un moment, voit une drôle de silhouette dans le ciel, mais pas celle d’un avion, non, c’est autre chose, et à cet instant précis une petite lueur s’en échappe et tombe sur la terrasse et l’objet brille énormément. Le collégien descend et va voir ce que c’est ; il s’approche lentement et voit des clefs, douze clefs en or brillant de mille feux avec une étiquette marquée « les clefs du Père Noël ». Antoine serre les clefs dans sa main gelée et fixe le ciel.

         Pendant la nuit, il se tourne et se retourne dans son lit, il ne fait que penser aux clefs. Etait-ce une blague, une histoire vraie ou un rêve ? Quand il fermait les yeux et qu’il essayait de penser à autre chose, les clefs apparaissaient en permanence, à la fin Antoine décida de les prendre et à ce moment-là elles s’illuminèrent et un tourbillon multicolore apparut. Antoine n’en crut pas ses yeux, et alla chercher Vincent. Leurs parents dormaient toujours, puis secouant fort son frère, finit par lui donner une claque et lui montra le portail majestueux qui s’était ouvert au milieu du tourbillon et lui aussi fut ébahi. Ils s’approchèrent lentement, touchèrent anxieusement et furent absorbés. Le tourbillon s’était refermé juste derrière eux. A l’intérieur, Vincent s’agrippait au bras de son frère qui tenait les clefs d’or.

            Au bout d’une dizaine de minutes les deux enfants s’échouent dans un endroit étrange. Au début ils ne voulaient pas y croire, ils se frottent les yeux, se pincent la main mais c’est bien réel, des montagnes de jouets, de bonbons, des centaines d’étagères avec des milliers de jouets bien rangés. Vincent se précipite sur les cadeaux et sur les bonbons tandis qu’Antoine cherche à savoir où ils sont. Il aperçoit une fenêtre d’où il peut voir des lutins habillés de toutes les couleurs se précipiter pour charger un traineau. Il va chercher son frère et essaie de trouver un moyen de sortir. Il voit deux portes : une qui mène dehors, l’autre sûrement dans un autre hangar. Il décide alors de prendre la deuxième porte, et au lieu d’un garage, il voit un escalier en colimaçon avec une pancarte indiquant « bureau du P. N. », sans doute cela voulait-il dire que c’était le bureau du Père Noël ! Ils montent, Vincent avait l’impression qu’ils n’en finissaient jamais. Arrivés à la salle, les enfants se rendirent compte qu’elle était fermée. Alors l’aîné pensa aux clefs, il regarda le trousseau, il y en avait une qui s’illuminait d’une couleur dorée. Il ouvrit et là le « P.N. » en train de réfléchir, les aperçut et reconnut les clefs. Il a alors un sourire énorme. Puis au bout d’une heure, quand Antoine eut fini de raconter son histoire, le Père Noël leur dit qu’il avait perdu ses clefs en survolant la ville et qu’il était ravi qu’ils les aient rapportées. Il leur dit « prenez ce que vous voulez, puis je vous dirai comment repartir dans votre monde ! » Quand ils rentrèrent le temps n’avait pas bougé d’une seconde mais ils étaient tellement fatigués qu’à peine arrivés, ils s’endormirent, le sourire aux lèvres, avec une bonne trentaine de cadeaux au pied du lit.

      Vincent I. 6e2

 

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      Je m’appelle Aurélie, j’ai 13 ans. J’habite aux Etats-Unis et plus précisément à Miami.  Je marche tranquillement dans la rue, quand je vois une rue que je n’avais jamais vue. Pourtant, je passe souvent ici. Je m’approche et je vois alors un homme barbu qui fait tomber ses clés. Je me précipite pour attraper ce qu’il vient de perdre et je dis : « Vous avez fait tomber vos… »,  mais lorsque je me relève, il a totalement disparu ! Etrange n’est-ce-pas ? Bon, je regarde le fameux trousseau qu’il a laissé et je n’en crois pas mes yeux. Dessus il y a marqué : « Père Noël ». Cet homme que j’ai vu ne peut pas être le Père Noël. Je dois en être sûre !

       Il faut que j’aille vérifier. Surtout que je suis très curieuse. Une fois, mon frère rentrait souvent tard et je voulais absolument savoir où il allait. Du coup le lendemain, je l’ai suivi et je me suis rendu compte qu’il allait simplement retrouver ses amis. Je me suis sentie ridicule ! Tout ça pour dire que je suis curieuse. Je décide alors de m’enfuir de chez moi pour faire un long voyage vers le Pôle Nord. Le voyage est très long. Vraiment très long… Mais j’arrive quand même devant chez le Père Noël. J’ouvre avec la clé et entre. C’est magnifique ! Des centaines de cadeaux sont empilés devant moi. Sur certains d’entre eux est écrit mon prénom et nom. Ce sont sûrement les miens !  Ce n’est pas grave si j’en déballe un. Le Père Noël surgit et dit : «  J’attendais plus de bonté de ta part ; tu m’as déçu, dehors ! » 

       Je me sens très mal d’avoir déballé un cadeau sans autorisation et rentre chez moi toute triste. Je refais le long voyage dans l’autre sens, mais je l’ai bien mérité. Je vous passe le retour à l’orphelinat, car vous ne voulez sûrement pas savoir à quel point je me suis fait grondée. Je prends mon courage à deux mains et décide d’écrire une lettre au Père Noël : « Mon cher Père Noël, je te tenais à vous demander des excuses pour m’être introduit chez vous sans permission et encore plus d’avoir ouvert mon cadeau avant Noël. Vous me connaissez et vous savez sûrement que je suis vraiment curieuse. Je ferai tout pour me faire pardonner quitte à ne pas recevoir de paquets ou même vous aider à faire la tournée des cadeaux.  Merci Aurélie ». Le lendemain, je reçois une lettre qui dit « Devant chez toi à 13h. » Donc à 13 heures j’y vais et le Père Noël m’attend. Il déclare : « Tu veux te faire pardonner, rejoins-moi au Pôle Nord » Je souris et accepte…

      Aerin M. 6e2 novembre 2015

**

     Un soir, en rentrant du travail, je trouve des clés dans la rue et je les ramasse. Sur ces clés je vois une étiquette sur laquelle il y a marqué : « Clés du traineau du Père Noël » à ce moment là je me dis que c'est une blague mais, en retournant l’étiquette, je lis : « Etoile polaire ».

          En arrivant chez moi, étant fatigué, je vais me coucher. Cette nuit là je rêve d'un passage caché derrière une cheminée, étrangement cette cheminée ressemble à la mienne. Le matin, je regarde ma cheminée, puis je la pousse et d'un coup elle s'enfonce et je découvre un passage secret.

          Peu après, je rentre dans ce passage avec les clés que j'avais trouvées. Une fois arrivé au bout de ce couloir, je vois une sorte de capsule spatiale avec marqué: « étoile polaire ». Je rentre dedans, puis elle décolle. Une heure plus tard, j'arrive sur l'étoile polaire. En arrivant je vois le Père Noël et il me dit : « Merci de me rendre mes clés » ; je les lui rends et je repars.

     Djam B. 6e2

 

**

 

L’enlèvement du Père Noël

         Je rentrais chez moi quand je trébuchai sur quelque chose de dur. Je me penchai de plus près pour voir ce qui avait causé ma chute. Je vis des clés avec une étiquette disant : CLÉS DU PÈRE NOËL. Je me dis que c’était sûrement une blague, mais il y avait aussi  sur la porte d’entrée un message. C’était un appel au secours de la part du Père Noël. Je commençai à douter que c’était une blague.

         Alors que je fouillais ma maison à la recherche d’autres indices, je trouvai une salle à manger en désordre : on était rentré chez moi pendant mon absence. Des morceaux de tissus rouges et blancs jonchaient le sol. On s’était battu ici. Je me demandai comment on avait pu rentrer chez moi alors que j’étais le seul à avoir les clés. Soudain, j’aperçus des traces de suie au sol, le ou les voleurs étaient donc passés par la cheminée. J’entendis des cris dans la rue à travers la fenêtre laissée ouverte. Un petit homme vert tentait de faire rentrer un homme habillé tout en rouge dans une voiture. C’était le Père Noël ! La voiture était sur le point de démarrer. Armé de mon couteau suisse qui ne me quitte jamais, je me jetai à terre et réussis à crever le pneu avant du véhicule. Le lutin ouvrit sa portière pour s’enfuir mais je réussis à le rattraper et libérai ainsi le Père Noël.

          Le Père Noël me remercia de l’avoir libéré et, pour me prouver sa gratitude, il me demanda de devenir le prochain Père Noël. J’acceptai, comblé de joie. Je me dis que j’avais de la chance de l’avoir rencontré et d’avoir trébuché sur ses clés.

     Arthur C., 6e 2

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                                                    Mon conte de Noël

     Un soir de Noël, en plein milieu de New York, un jeune garçon nommé Thomas sortit de chez lui pour jouer avec ses amis. Tout à coup, Thomas vit quelque chose qui ressemble à des clés tombées du ciel. Il se précipita vers elles et les ramassa. Sur ces clés était marqué «Père Noël». Il leva la tête et aperçut une ombre dans le ciel qui passait à toute allure.

     En rentant chez lui, Thomas se posait des questions. Il en parla même à sa mère mais elle ne le crut pas. Il alla dans sa chambre, s'enferma et observa ces clés. Il remarqua un numéro de téléphone. Thomas prit le téléphone et appela le numéro. C'était la voix d'un vieil homme.

- «Bonjour monsieur, vous êtes bien  le Père Noël ?», dit Thomas.

- «Oui, c'est bien moi.» répondit le vieil homme.

- «Quelle est votre adresse ?», continua Thomas.

- «129 rue de Noël.», répliqua le père noël.

Thomas raccrocha précipitamment.

      Le lendemain, Thomas prit son courage à deux mains et partit chez le Père Noël. Il sonna à la porte et un vieil homme avec une barbe blanche lui ouvrit. «Bonjour Père Noël, je suis Thomas le petit garçon qui  vous a appelé au téléphone». Le Père Noël le fit entrer. Thomas aperçut une porte fermée à clé, puis dit au vieil l'homme qu'il avait trouvé des clés. Le Père Noël lui prit les clés et ouvrit la porte. Thomas était impressionné, car il y avait une centaine de lutins dans cet atelier. Le Père Noël le regarda et lui dit «JOYEUX NOËL!!!».

     Sohan T 6e, le 2 novembre 2015.

**

Les clés du Père Noël

 

     Un jeune homme se balade dans la rue. Il vient de se faire renvoyer de son travail sans aucune raison apparente. Il arrive sur le seuil de sa maison, il s’apprête à ouvrir sa porte d’entrée, lorsqu’il sent juste sous son pied quelque chose … quelque chose d’étrange. Il lève le pied et voit des clés, des clés d’une beauté et d’une complexité étonnante. Il les ramasse, les met dans  sa poche pour les étudier plus tard. Mais, quelle n’est pas sa surprise de  se rendre compte, au même instant que la porte de chez lui est ouverte. J’entre précipitamment dans le hall d’entrée, je vais dans le salon et là, je découvre assis dans mon canapé un homme habillé de rouge avec un bonnet de nuit, regardant la télévision en mangeant mon diner.


Quand l’homme me voit, il s’écrie :

-       « Te voilà enfin ! Je t’attends depuis des heures ! »

Je lui réponds :

-       « Mais qui êtes-vous ? Comment êtes vous entré ? »

Il me répond :

-       «  C’est pourtant simple, Alexandre ! Tu ne crois sans doute plus en moi ! Je m’appelle Gérard, pour les intimes Gégé, pour Maman Bibi et pour tous dorénavant Père Noël »

Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire, le Père Noël !

Ce type se moque de moi, il croit vraiment que je vais le croire !

Et je lui réponds sur le ton de la rigolade :

-       «Et moi je suis Louis XIV. »

-       « Il y a un air de ressemblance en effet, mais que je crains que tu ne te trompes, car tous les historiens affirment, avec certitude, qu’il n’est plus de ce monde »

Là, je ne ris plus et je lui dis :

-       « Monsieur, voulez vous s’il vous plait sortir de chez moi, car vous m’avez déjà, importuné depuis trop longtemps maintenant. Sinon, … »

-       « Sinon, quoi ?»

-       « Sinon, j’appelle la police ! »

-       « Si tu veux, mais d’abord, écoute ce que j’ai à te dire, mais ne m’interromps pas. D’accord ? »

Après un long moment d’hésitation, je lui réponds :

-       « Bon d’accord. Mais pas longtemps. »

 

-       « Je vais te raconter toute l’histoire »

-       « Quelle histoire ? » 

-       «  Lorsque que j’étais petit, j’ai trouvé ce trousseau dans un cadeau de Noël. Au début, comme je ne savais pas ce que c’était, je l’ai laissé dans un placard. Un jour que je devais avoir 17 ans, j’ai perdu les clefs de ma  chambre. Alors, j’ai repensé à ce jeu de clés qui dormait dans l’armoire. Je pouvais essayer de forcer la porte ! »

« Quand j’ai mis une des clés dans la serrure. Elle est entrée sans problème. Je l’ai tournée délicatement dans le trou de la serrure et le mécanisme d’ouverture fonctionna. J’ai ouvert la porte et  j’ai trouvé une maison de bois, dans la nuit glaciale d’un hiver nordique, illuminée de mille guirlandes. Sur le seuil, m’attendait un bonhomme vêtu comme moi aujourd’hui. »

« Comme, je viens de te le dire il m’expliqua qu’il était le Père Noël. Je mis le pied dans son monde et aussitôt je me laissai emporter dans son monde merveilleux. J’ai encore le souvenir de ma formation. C’était féérique. Les lutins étaient d’une gentillesse exceptionnelle. Ils travaillaient avec ardeur à préparer des jouets. »

 

L’homme continua à me raconter son histoire. Plus l’heure avançait, plus je rentrai dans son monde, plus je voyais les personnages apparaitre autour de moi.  Je lui demandai alors :

-       «  Pourquoi m’avoir donné ces clés ? »

Il me répondit :

-       «  Je ne te les ai pas données, ce sont elles qui t’ont choisi »

-       « Mais, pourquoi ? »

-       « Personne ne le sait et personne ne le saura jamais, mais ce que je sais c’est que tu auras un avenir merveilleux ! »

-       «  Comment le savez-vous ? »

-       « Parce que je l’ai vécu et que maintenant elles sont à toi … C’est ton tour de vivre cette aventure »

Louise S. 6e 2

 

**

 

Mon conte de Noël : le nouveau Père Noël 

 

Je marche sur des clés sans m’en rendre compte ;

Je continue de marcher et  les clés restent collées à ma chaussure ;

Au bout d’un moment, je m’en rends compte et les enlève ;

Je les tiens dans ma main les regarde, puis vois qu’il y a marqué :

CLES DES CADEAUX DE NOEL ! Et vois une lettre, je la lis ;

M’aperçois qu’il y a marqué que je serai le nouveau Père Noël.

 

Je pense que c’est une blague et rentre chez moi ;

Quand j’ouvre la porte, je vois des Lutins qui m’attendaient ;

Je les regarde attentivement pensant toujours que c’est une blague ;

J’avance dans le salon et vois une machine à cadeaux ;

Là, je ne pense plus que c’est une blague, serait-ce vraiment moi le nouveau Père Noël ;

J’enfile ma barbe et mon costume puis me met dans la peau du Père Noël.

 

Se mettre dans la peau du Père Noël  est difficile ;

Je fais les cadeaux, les emballe, puis les mets dans le traineau ;

Noël  est dans une semaine, que vais-je faire cette semaine ;

Puis je repense à mon travail et y retourne très vite ;

Deux jours avant Noël  et le Père Noël  ne sait toujours pas quoi faire ;

C’est Noël, il livre les cadeaux, rentre chez lui et attend l’année prochaine.

     Maela.Z 6e2

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Je me baladais au Pôle Nord, alors que j’aperçus

Le Père Noël… je discutais un peu avec lui,

Et il me confiait qu’il avait perdu ses clés…

 

Le lendemain matin je me baladais sur la banquise,

Et j’aperçus des clés, j’ai réfléchi

Et je me suis dit que ça devait être au Père Noël

Donc bien sûr je suis allée toquer à la porte des lutins :

 

Toc, Toc, Toc ! « Ouvre la porte », « C’est pourquoi ? » disent les lutins.

Je répondis « Est-ce possible de voir le Père Noël ?

Il me répondit « Bien sûr », je lui donnai les clés

Il me fît un très gros cadeau qui était de livrer tous les cadeaux aux enfants sages seulement tous les  deux et en traineau !

 

C’était impressionnant et Magique !

      Camille L. 6e2

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  C‘est l’histoire d’Elisa,

     En rentrant chez elle, elle regarde sa boite aux lettres, elle prend son courrier et là, elle voit une lettre toute rouge avec des clés, elle l’ouvre et voit écrit : « Bonjour, je suis le père Noël. J’ai une épreuve pour toi : Si tu crois vraiment en ma magie et en moi, serais-tu capable d’aller jusqu’au pôle Nord pour me rendre mes clés ? Si tu parviens à aller au pôle nord tu auras une récompense. Bonne chance »

     Elisa se dit que c’est surement une blague, elle rentre chez elle. Réfléchis et hésite à prendre un billet d’avion pour le pôle nord. Une amie l’appelle lui demande si elle veut partir quelque part à Noël. Elisa pense que c’est une bonne idée et que ça tombe bien. Elisa propose à son amie de partir au pôle Nord. Son amie accepte et part le lendemain pour le pôle nord. On va rencontrer le père Noël !!!!

     Après 12 heures de vol, elles arrivent enfin au pôle nord. Elles partent ensuite faire du ski. Le moniteur voit une maison rouge avec un « HAPPY CHRISTMAS !!! » en grand sur le devant de la porte. Il toque, personne. Il appelle donc Elisa et son amie pour leur montrer ça. Tout à coup, un homme vêtu de rouge et de blanc avec une grande barbe apparait ! C’est le père noël ! Il invite Elisa, le moniteur et son amie à passer noël chez lui avec tous ses lutins. C’est comme ça que se termine ce fabuleux noël.

     Sophie R. 6e2 en novembre 2015

 

**

    Je marchais dans la rue, lorsque je sentis quelque chose de dur tomber sur ma tête. Je frottai ma tête à l'endroit où l'objet était tombé. Je me baissai par terre, c'était un trousseau de clés. Je le pris dans mes mains, c'était une petite clé d'argent avec un bout de papier. Je regardai en l'air, rien ni personne, je me mis alors à lire l'étiquette: " Si vous trouvez ce trousseau, merci de me le restituer ou sinon... Noël va s'arrêter ! Le Père Noël. Russie" Dans un premier temps, je me demandais si c'était une blague. Mais en regardant au loin dans le ciel, je vis le traineau du Père Noël. J'étais restée là quelques minutes à évaluer la situation. Maintenant je ne voyais plus le traineau du Père Noël, soudain j'eus une idée.

      J'étais rentrée chez moi en courant. Une fois arrivée, j'avais immédiatement appelé deux amis, Frédérique, ma meilleure amie et mon meilleur ami, Thomas. Je les réunis chez moi en urgence pour tout leur raconter. Au début, ils crurent aussi à une plaisanterie mais en leur montrant les clés, le sourire sur leurs visages s'était totalement effacé. Mais que veux-tu faire ? m'avaient-ils dit. Regardez ! Il y a écrit Russie, il habite sûrement là-bas. J'ai trois billets pour demain, départ midi pile, on arrivera à l'aéroport de Moscou vers dix-huit heures.

Le lendemain nous nous étions tous les trois retrouvés à l'entrée de l'aéroport. Pour une fois tout le monde était à l'heure, même en avance. Nous avions passé tous les contrôles et une fois assise à ma place dans l'avion, je commençais à me demander si nous avions raison de faire cela mais, en relisant le mot accroché au trousseau de clés, je repris confiance et j'avais même hâte d'arriver à Moscou. Après environ cinq heures de vol, nous étions enfin arrivés à Moscou. Dans le hall de l'aéroport, j'étais très attentive au moindre détail. Si bien que je vis une trappe dans l'ombre que personne à part moi ne voyait. Je fis signe à Thomas et Frédérique de venir. Nous nous y engouffrâmes discrètement avant d'arriver sur un paysage blanc.

      Nous n'eûmes même pas le temps de dire un mot qu'un courant d'air (enfin bien plus violent qu'un courant d'air) nous fit tomber dans la neige. Frédérique et Thomas se mirent à courir vers la forêt, au loin je vis une petite maison, alors je les suivis. Devant la maison, une dizaine de lutins pleuraient des valises à la main. "Mais que se passe-t-il?" avait demandé Thomas. C'est la fin, le Père Noël est parti et Noël va s'arrêter. Nous entrâmes dans la maison. Tous les cadeaux étaient prêts empaquetés dans le traineau, mais il manquait le Père Noël. Je m'assis sur le traineau et pris les rênes. Ils me regardèrent et dirent en chœur :

-Mais que fais-tu?

- Ce n'est pas si difficile de piloter un traineau, si ?

Ils rirent et vinrent s'assoir avec moi. Nous partîmes faire la distribution. Il ne restait qu'une maison et nous vîmes le Père Noël en pleurs à côté d'une poubelle. Père Noël, venez ! Il sauta sur le traineau et c'est même lui qui déposa, au pied du sapin, le dernier cadeau.

     Coline C. 6e2  en novembre 2015

 

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