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Le blog de Monsieur Dyrek
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7 mai 2014

5 rédactions "Ulysse sur l'île Loinditak" d'après Homère, classes de Monsieur Dyrek en 2014

 

      Rédactions de  sixièmes sur le thème des aventures d'Ulysse d'après l'Odyssée d'Homère, écrites au collège Sainte-Elisabeth dans les classes de M. Dyrek avec un récit suivi de vers  :

 

      Ulysse sur l’île Loinditak

            Nous arrivâmes près de l’île Loinditak. Cette île était peuplée par les tribus animales Silonpiés et Onkatbras. Lorsque nous accostâmes avec cinquante navires et vingt mille hommes, nous fûmes attaqués par les Onkatbras. Nous les fîmes reculer dans la forêt.

Quel accueil ! murmura Eurymaque. Le combat n’a pas duré, remarqua un soldat.

            Je fis placer cent hommes pour garder les trières. Dans la forêt le chemin était très étroit. Nous devions marcher à la queue leu leu. Puis les Silonpiés nous attaquèrent. Nous étions cernés. 

-Prenez ça, sales lâches ! ne cessait de répéter Eurymaque. Nous nous repliâmes aux nefs. Nous perdîmes soixante soldats et trois cavaliers. Quand au petit matin parut l’aurore aux doigts de rose, j’envoyai vingt hommes explorer l’île. Moi, Ulysse aux pieds agiles, je concoctai un plan :

     Pendant que les vingt hoplites exploreront l’île, quatre cents hommes, commandés par Télémachio, les suivront. Puis, lorsque les indigènes attaqueront, les quatre cents les encercleront et nous les battrons !

            Mais Zeus qui tonne lança sa foudre et le ciel s’obscurcit. Poséidon déchaîna l’océan et nous vîmes cinq navires sombrer dans l’eau. Quand les quatre cents hoplites arrivèrent sur un mont, ils virent les vingt soldats morts. La sombre mort ne les a point épargnés, conclurent les soldats. Les dieux sont vraiment cruels, murmura Télémachio.

            J’envoyai quatre mille soldats et cinq cents cavaliers porter secours aux quatre cents durant la nuit. Quand, au petit matin, parut l’aurore aux doigts de rose, quatre mille trois cents soldats vinrent m’annoncer que cent hoplites combattaient cinq cent mille Silonpiés et Onkatbras. La cavalerie fut décimée. Du haut de l’Olympe, la sage Athéna ralentit les indigènes. Nous nous pressâmes de monter aux navires. Mais quatre navires coulèrent. Les hommes ramèrent et la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups.

Alexandre C., 6e 2

*

L'île

 

     Quand au petit matin parut l'aurore aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons arrivèrent sur une  île, ils virent tout de suite un panneau: "Loinditak, attention à..." et le reste du panneau avait été effacé.

-Au moins, on sait qu'on est loin d'Ithaque, dit Ulysse.

     Au moment de jeter l'ancre, de grandes vagues surgirent et la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups. Mais Ulysse et ses compagnons réussirent à accoster et à sortir du bateau mais avec difficulté.

     A peine étaient-ils arrivés, qu'ils virent une grande maison, puis, une autre, encore, une autre, et tout un village avec un panneau: "la".

-Bizarre, cela doit être le village "la", dit Ulysse, intrigué.

     Soudain, Ulysse entendit la déesse aux belles boucles, qui était Circé, qui lui dit : Attention, le spectacle va être très drôle ! ! ! Attaquez ! Soudain, des géants qui disaient "Silonpieds, Silonpieds" sortirent des maisons et capturèrent certains des compagnons d'Ulysse.

     Tristes, Ulysse et le reste de ses compagnons repartirent et virent un panneau avec "Tribus, pour l'arrêter aller voir..."

--- Attention, encore un village au nom bizarre ! dit Ulysse, pas très rassuré. Mais il n'y avait aucune maison. Ils repartirent.

     Pendant ce temps, les otages étaient enfermés, en vue d'être mangés. Ulysse ne cessait de penser à eux, mais aussi à sa fidèle Pénélope. Ils virent un panneau "les Onkatbras". Ulysse pensa qu''il ne fallait pas y aller, mais il se rappela les panneaux et les assembla : Loinditak, attention à la tribu, pour l'arrêter, allez voir les Onkatbras.

- Mais oui ! s'écria-t-il. Ils informèrent les Onkatbras de la situation. Les Okatbras leur expliquèrent que la seule façon de battre les Silonpieds, était de trancher leurs pieds. Ils y allèrent, réussirent à délivrer leurs amis. Mais les Silonpieds les poursuivirent...

     Quand au petit matin parut l'aurore aux doigts de rose, ils partirent précipitamment grâce à Ulysse aux pieds agiles mais aussi grâce aux Silonpieds. Ulysse n'était pas triste de quitter cette île et repartit avec tous ses compagnons sains et saufs. Il inventa un poème :

Quelle joie de partir,

De cette île maudite,

Où de grandes peurs furent venues,

Mais aussi,

De grands amis,

Les Onkatbras qui,

N'avaient pas 4 bras !

                                       

Alice. C 6e 3 en 2014.

 

*

     Ulysse et ses marins voguaient depuis plusieurs jours. Un des marins crut rêver lorsque son chef annonça la terre. Mais ils étaient loin d’imaginer les choses qu’ils allaient vivre sur cette île. Enfin, ils sont arrivés sur cette île, ils espéraient qu’elle était déserte.

     Au contraire, à peine étaient ils arrivés, qu’ils tombèrent sur une tribu d’hommes très bizarres. C’étaient les Silonpiés, une tribu de personnes aux pieds de deux mètres. Les hommes d’Ulysse furent terrifiés. Ulysse, lui, fut triste car on le surnommait Ulysse aux pieds agiles.

«- Bonjour votre île était un plaisir à visiter, complimenta Ulysse. 

- Merci, brave homme, répondit le chef, mais nous ne … » Et là, une chose terrible arriva.

     Les ennemis des Silonpiés arrivèrent, les Onkatbras. Et là, Ulysse et son équipe coururent comme des fous. Ulysse fut, dans la guerre, assommé, puis pris en otage par les Onkatbras.  Quand, au petit matin, parut l’aurore aux doigts de rose, Ulysse s’éveilla. Il eut très peur en voyant Onkatbras. Ulysse leur demanda quelle était l’origine du conflit. Les Onkatbras lui répondirent que les Silonpiés les avaient insultés et donc, ils avaient riposté.

     Ulysse convoquait alors les deux tribus : «- Mes amis, mes amis. Votre querelle n’a pas de fin, c’est dangereux pour l’ile. Vous devriez faire une alliance contre la différence.

- Donc, tu nous as demandé de nous unir contre toi ?

- Oui…

- Alors, à l’attaque !!!

- Ahhhhhh. »

     Et c’est en pensant à la sage Athéna et à la fidèle Pénélope qu’Ulysse courut à son bateau et quitta Loinditak.

Et la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups.

En reprenant la mer

Ulysse résolut une guerre

Ses marins firent la moue,

En pensant à leur chef,

Parti derechef

Ils pensaient tous,

«- On aurait pu rester jusqu’au bout ».

 

     Clémentine D. 6e2

 

*

 

     Ulysse et des compagnons arrivèrent dans une île en guerre - les Silonpiés contre les Onkatbras. Cette île s'appelle Loindithak. Ulysse était furieux de tomber sur une île de guerre ou tout était ravagé ! Ulysse marcha un peu et tomba sur une déesse aux belles boucles très charmante ; Ulysse lui demanda si elle pouvait héberger Ulysse et ses compagnons chez elle et elle accepta.

     Quand au petit matin parut l'aurore aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons étaient cloués sur leurs lits, car leurs pieds et leurs mains étaient cloués avec des fers. La déesse qu'Ulysse avait rencontrée très tard dans la nuit arrivait et Ulysse demandait alors : "Pourquoi sommes nous cloués au lit ? ". La déesse répondit alors : Vous êtes cloués dorénavant à moi, si vous ne voulez pas, vous devrez donc combattre avec les Onkatbras. Ulyssse réfléchit et demanda : Quelle est la cause de cette guerre ? La déesse répondit : Les Onkatbras veulent diriger l'île, mais les Silompiés se révoltaient.

     Deux jours plus tard, Ulysse et ses compagnons combattaient avec les Onkatbras. Ils n'avaient pas d'armes, car ils étaient trop pauvres. Le soir, ils dormaient dans une cabane avec quatre lits, alors qu'ils étaient trente. Ils devaient s'engouffrer dans un lit à plusieurs. La déesse aux belles boucles arrivait lorsque parut l'aurore aux doigts de rose. Et elle dit : je vais devoir vous abandonner, je m'appelle Circé et je n'étais pas très gentille avec vous. Ulysse prenait la parole et dit : Non, ce n'est pas grave nous aimerions lutter contre les Silonpiés. La déesse reprit la parole et dit dans ce cas, restez !

       Quelques jours plus tard, Ulysse fit alors une étrange découverte, c'était les Silonpiés qui parlaient entre eux, ils disaient que la cause de cette guerre n'était point que les Onkatbras dominent l'île, mais que Circé puisse contrôler l'île. Quand la journée s'achevait, Ulysse rencontrait tout à ses compagnons et le lendemain tout était clair, Ulysse allait rejoindre le dam des Silonpiés. Circé arrivait alors dans leur camp et elle demanda : Pourquoi êtes-vous partis ? Et elle repartit. Un soir, Ulysse entendit alors que Circé allait prendre en  main les deux camps. Ulysse était furieux.

      Une heure plus après, Ulysse et ses compagnons étaient sur un bateau pour aller à Ithaque et la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups que Zeus envoyait. Ulysse tonnant réussit à lutter contre Zeus. Ulysse s'exprimait alors avec un poème. Le voyage dura deux jours lorsqu'ils arrivèrent à Ithaque ; ils étaient ravis et ils reprenaient une vie meilleure.

 

Nous quittâmes cette île,

Pleine de malheurs et de guerre.

Nous la quittions aussi car

Il y avait beaucoup de mensonges.

Dorénavant; nous allions chez nous,

Où nous oubliâmes tout.

La guerre n'était plus qu'un lointain souvenir,

Et nous serions bien avec nos familles !

 

Ornella R. 6e3

 

*

 

      Quand au petit matin parut l'aurore aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons se réveillèrent, puis descendirent de leur navire pour partir explorer l'île Loinditak. Ils prirent leur petit déjeuner grâce aux nombreux fruits qu'il y avait sur cette île.

        Une fois bien nourris, ils repartirent découvrir les secrets de cet endroit. Ils étaient émerveillés par toute cette beauté et prenaient un grand plaisir à tout explorer. Au bout d'un certain moment, Ulysse réunit ses compagnons er leur expliqua qu'il avait découvert qu'ils étaient suivis. Alors ils firent comme si de rien n'était et arrivés à une rivière où ils virent une barque, ils se précipitèrent dedans et une fois qu'ils y furent tous bien installés la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups. Mais rapidement ils se firent rattraper par les Silonpieds qui étaient habitants de cette île.

     Ulysse ordonna à ses hommes de ramer plus rapidement, mais les Silonpieds étaient trop rapides. Ils les rattrapèrent rapidement et les emmenèrent dans leur village. Ulysse ne sachant que faire resta en attendant la nuit pour réfléchir à un plan. Alors il s'endormit en rêvant d'une façon de s'échapper de ce village. Au petit matin quand parut l'aurore aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons se réveillèrent dans un autre village chez les Onkatbras. Alors une personne vint voyant qu'ils étaient réveillés et leur expliqua que  les Silonpieds voulaient leur mort et que les Onkatbras venaient de les sortir du village ennemi. Puis cette personne leur expliqua pourquoi ces deux villages étaient fâchés.

        Alors Ulysse partit avec les Onkatbras et ses compagnons pour aller continuer à explorer l'île, mais ils rencontrèrent les Silonpieds qui étaient partis à la recherche d'Ulysse. Il y eut un long moment de silence. Les Silonpieds et les Onkatbrs se regardaient d'un regard glacial, puis les Silonpieds se tournèrent vers Ulysse et ses hommes qui se mirent à courir en direction de leur bateau mais les Silonpieds commencèrent a les rattraper puis les Onkatbras leur barrèrent le chemin. Ils se battirent et réussirent à partir pour attraper Ulysse et ses compagnons.

         Mais Ulysse et ses hommes étaient déjà montés sur leur navire, puis la rame frappa le flot qui blanchit sous les coups. Alors Ulysse se mit à prononcer un poème qu'il avait inventé pendant cette rencontre :

Vous, courageux Onkatpieds

Et vous, imbattables Silonpieds

Etes en guerres depuis tout ce temps 

Et ne vous parlez plus depuis tous ces ans

Mais ne vous craignez point

Car vos villages s'entendent bien

Maintenant que je suis parti

Vous n'allez plus être maudits

          Quand il eut fini de dire ces phrase, le bateau s'éloignait de Loinditak. Depuis ces deux villages sont restés réunis.

 

Nevena A 6e3

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