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Le blog de Monsieur Dyrek
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  • Des poèmes d'élèves individuels ou collectifs, des rédactions, de la correspondance avec des auteurs, les concours Printemps des Poètes. les concours Les 10 mots, productions d'élèves de Sainte-Elisabeth
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13 avril 2014

Prix Spécial Internautes PrintempsPoètes5e 2014 collège Sainte-Elisabeth 36 poèmes sélectionnés !

 

OÙ EN EST LE CONCOURS

                       DE POESIE 5e 2014 ?

  

     Présélection de 36 poèmes, 12 dans chaque classe : Laurent Dyrek

     Choix d’un podium de 3 élèves par classe : Bernard Chasse

     Palmarès annoncé le dernier jour de classe des 5e en juin 2014.

 

    Un Prix spécial sera attribué grâce aux internautes, avec envois de commentaires élogieux et argumentés sur un ou plusieurs poèmes de ce bon cru 2014. Les poèmes attendent vos commentaires positifs sur vos textes préférés !

 

     Vous trouverez ici de la poésie collégienne, bien inspirée à la fois par l’univers et le vocabulaire de Bernard Chasse et l’évocation du Bateau-ville.

 

5e1.

 

     Maintenant me voici / Je suis ici avec mes amis / Dans cette salle de classe /  Où je chante où je danse / En mettant de l’ambiance

     Le ciel est bleu dans leurs yeux / Les étoiles brillent dans les cieux / Un ange avec une frange passe / Dans une barque et la paix / Nous embarque

     Un funambule qui faisait des bulles / Habillé de rose il pose sa rose / Le printemps est là il chante tout bas / La muraille de son cœur fut mise en œuvre

     Le cristal et les cymbales / Vont au bal, les vagues au large / Vont en voyage ils prennent leur / Bagage. C’est la fin de cette / Poésie et je suis toujours ici.

 

     Clara B. 5e1.

 

*

 

     Un beau matin, alors que je m’en allais / A la mer ; je me retrouvai devant elle / Et je me dis : qu’elle est belle ! / Je voulais partir dans la paix.

     Je pris donc une barque en route vers la mer / J’étais tout seul, sans mon père ni ma mère / Me voilà parti pour une éternité / Au loin, je vis des montagnes dorées.

     Fatigué, je m’endormis. Lorsque je me réveillai / Je me trouvai devant un magnifique palais / Il y a de l’or partout, c’était la fête / Je les rejoignis pour vider ma tête.

     Maintenant me voici, je suis matelot / Quarante ans plus tard, je pars à l’eau, / J’ai une grande arche, où je chante où je danse / Me voici parti à vie, dans l’océan qui a rythmé mon enfance.

 

     Alexandre B. 5e1.

 

*

 

     Un jour, un ange vient nous chercher / Dans notre belle montagne, où il fait bon vivre / Pour habiter dans les égouts de Paris, / Le fameux Métro-ville.

     On arrive en barque dans cette étrange chose. / Et là, je me suis dit que c’était la fin. / On ne voyait plus le ciel bleu-rosé et ses milliers de constellations. / Et surtout, je n’avais plus ma liberté !

     Des matelots nous conduisent dans un palais, / Ils nous y amènent en farandole. / Pendant la nuit, on était secoué par les rails-eaux. / Je me suis encore dit que c’était la fin.

     Ce matin,on va dans une taverne et ici ! / Maintenant me voici comme je suis / Où je chante où je danse / Dans un monde éternel.

 

     Chloé D.C. 5e1.

 

*

 

     J’ouvre les portes, / Maintenant me voici dans mon monde / Tous mes malheurs ressortent. / Tous nous formons une ronde / Où je chante où je danse / Je suis au paradis. / C’est une chance / Inouïe / Là-bas la paix et la liberté / Sont les mots-clés

     Le soir, nous observons / L’éternelle / Constellation / Seule elle / Peut nous faire rêver / De l’impossible.

 

     Astrid D.R. 5e1.

 

*

 

     Sur un Bateau-ville, dans un océan, / Les couleurs du ciel bleu ciel, / Devant les murailles de la ville / Font penser à de l’or.

     Les étoiles de la paix, / Qui se dressent au-dessus des escaliers, / Du palais enchanté.

     Maintenant me voici dans les délicieux cristaux / A côté de la porte de l’enchantement. / Je rêve à la liberté : aux montagnes. / Où je chante où je danse

     Je fais le tour du Palais, en écoutant. / De la lyre. / Je me rappelle mon voyage au / Bord de mon Bateau-ville

 

     Blanche D. 5e1.

 

*

 

     Je montai sur une barque bleue, / Regardant dans les cieux. / Je fixai une magnifique étoile, / Et je vis au loin, le Bateau-ville, déployant ses voiles

     Maintenant me voici au port / Une personne me salua et se présenta, / Il m’ouvrit la porte / Et je rentrai très fier de moi

     Le bateau partit, / Et moi je visitais la France / Une autre personne me sert la main, / Je n’y comprenais rien !

     Arrivant à destination, / Je remarquais les constellations / Et à côté, la magnifique étoile qui me suivait.

     Je compris alors que j’étais l’aventurier, / En l’ayant oublié. / Dans le nouveau pays découvert où je chante où je danse / L’étoile avait disparu.

 

     Marie J. 5e1.

 

*

 

     Tu habites dans le ciel / Et moi j’habite sur Terre, où je chante où je danse / Tu voles dans le ciel bleu / Et moi je marche dans la terre. / Tu es un petit ange / Et moi je ne suis qu’une Terrienne. / Nous ne vivons peut-être pas dans le même monde / Mais nous sommes quand même amis / Et rien ne pourra nous séparer.

      Je prendrai demain, à la première heure / Un vaisseau, que l’on appelle l’Avion-ville, / Il m’emmènera là où tu es, dans le ciel. / Quand j’arriverai devant toi, je te dirai / Maintenant me voici mon amie / J’aurai des ailes comme les tiennes / Et des pouvoirs comme les tiens / Nous volerons ensemble dans le ciel bleu, / Nous prendrons soin l’une de l’autre. / Et personne ne découvrira notre secret, / Personne ne saura que nous sommes sœurs.

 

     Carolanne L. 5e1

 

*

     J’étais sur le Bateau-ville / Où je chante où je danse / Une personne arriva, quoique des plus ivres / Il dit : Maintenant me voici 

     Habillé de cristal et de vert / Je reconnus que c’était mon père / Il était aux montagnes / A boire près d’une mer.

     Je rentrai à la plage / Regardai les étoiles / Elles brillaient comme le cristal / J’étais seul sans bruit / Et je m’endormis.

 

     Maxence M. 5e1.

 

*

 

     Une jeune fille, prénommée Annie / Vivant en Océanie, décida / Découvrir le nouveau métro de la ville / Maintenant me voici dit-elle, / Dans cette usine à enrichir les personnes / Avec leur stand à tickets et le tourniquet

     Annie prit la première station / Prénommée l’Ilatit et arriva dans / Le wagon où elle trouve une splendide île / Elle se trouvait en Inde / Les Indiens chantaient et dansaient / Autour de plusieurs tipis aménagés / Il y avait un bouquet avec plusieurs mets

     Elle prit la deuxième station et / Trouva un wagon où se trouvait / Le Hollywood Boulevard / Où je chante où je danse avec les stars.

     Annie extasiée s’en alla dans sa maison / Mais se dit dans son esprit / Qu’elle ne s’était jamais autant amusée de sa vie.

 

     Hanna M. 5e1.

 

*

 

     Un jour, je me suis envolée, / Les ballons m’ont emportée. / Je suis partie vers le ciel étoilé, / Rêvant de découvrir de nouvelles planètes cachées.

     Maintenant me voici / Dans le ciel infini. / Là j’ai regardé le sol à mes pieds, / J’avais l’impression de dominer, / Puis mes ballons ont crevé, / Je suis tombée / Et je t’ai retrouvé.

     A ce moment, lorsque je t’ai regardé, / Où je chante où je danse / Tes yeux pétillaient / Ils étaient plus beaux qu’un feu d’artifice qui éclatait. / Tes cheveux étaient aussi ondulés / Que les plus belles marées / Puis tu m’as souri / Et tous mes mots sont partis.

 

     Marion M. 5e1.

 

*

 

 

     Maintenant me voici sur mon Bateau-ville / J’entends les marins jouer de la lyre, / Je sens l’océan en or / Et vois le rivage au loin.

    Où je chante où je danse sur le Bateau-ville / Ses grosses vagues s’écrasent sur ce bateau, c’est une tempête / Rien n’est épargné / Le marché est inondé !

     Les gens crient, pleurent sur ce Bateau-ville / Moi hagard je souris / Je déambule dans les couloirs inondés / De ce gros vaisseau.

     La tempête fait rage sur le Bateau-ville / J’entends l’alarme sonner , / Je m’envole ! Suis-je un ange ? / Mais m’écraser dans la mer me prouva le contraire.

 

     Paul-Luan P. 5e1.

 

*

 

     Maintenant me voici  / Entre mes amis, / Sur cette place au centre du Bateau-ville, / Où pendant la journée, / Entre les fleurs aux mille couleurs, / Nous laissons notre esprit vagabonder.

      La nuit tombe, / Nous nous précipitons vers la mer, / Nous nous allongeons dans l’herbe, / Et nous observons ce soir, / L’océan et ses vagues, / Eclairés par le Soleil au crépuscule / Aussi rouge qu’un rubis.

     Nous observons aussi les constellations, / C’était beau mais nous étions ivres de joie, / A l’idée de retrouver la terre et ses monts.

     C’était le Bateau-ville, / Où je chante où je danse. / C’était le Bateau-ville, / Qui avançait silencieux et gracieux dans la mer / Sage en direction du rivage.

 

     Théo S. 5e1.

 

*


5e2

 

     Me voici sur la place centrale, / Marchands, coiffeurs, artisans, / Toutes ces personnes vendent leurs services / Aux habitants du bateau-ville.

     Maintenant me voici sur la place, / Tout le monde me propose ses services. / Moi, je cherche un banquier, / Qui m’accordera ses services, / Ce bonhomme est parti en vacances, / A la dernière escale, à la barque.

     Maintenant direction le cirque, / Là où je chante où je danse / Un funambule m’approche, / Accompagné de son ouistiti. / Fin de représentation, je repars chez moi, / Couloir des Enfants du Paradis, / Belle adresse, non ? / Le bateau s’endort, au large de l’océan. / Moi aussi en entendant / L’écume des jours…

 

     Grégoire B. 5e2

 

*

 

     Je me trouvais dans un pré, / Face à moi un ange qui me dit : / « Cours » et aussitôt il disparut. / Tandis que je me retourne, trois personnages sont là. / Alors saisis par la peur, je cours sans m’arrêter.

     Et maintenant me voici sur une barque / Au milieu de l’eau, de nulle part / Le temps passe il est long je m’ennuie. / Je deviens fou, au moment où je chante où je danse. / La terre ! elle est là je la vois.

     Mais je ne suis plus là. / Je suis entouré par des nuages / Est-ce le paradis ? Suis-je mort ? / Puis à ce moment je me réveille

 

     Mathias B. 5e2

 

*

 

     Maintenant me voici, / Sur ce beau bateau-ville, / En direction du Canada, / Passant par le monde des glaces.

     Ma chambre fut la 123, / Par le hublot, on aperçoit / Une jolie barque bleue, / Maintenue au bateau avec de gros câbles.

     Sur ce palais flottant, / Il y avait un magnifique hall, / Où je chante / Où je danse avec la bonne humeur.

     Quand je dormais,  / Les vagues me berçaient, / Et sur le pont, / On entendait les matelots ivres.

     Ce merveilleux périple, / Restera gravé dans mon cœur / Pour toujours.

 

     Pierre C. 5e2

 

*

 

     Je me promenais un matin d’été, / Quand j’aperçus au loin un bateau-ville / Qui arrivait tranquille au bord de la rive. / On me proposa de monter, / J’acceptai volontiers. / Maintenant me voici, dis-je d’un air conquis.

     Les habitants joyeux / Dansaient dans une folle farandole / Et criaient avec une envie folle / Où je chante, où je danse, je suis heureuse

     Quand le soleil se cacha / Je me retirai, / En pensant à cette journée mystérieuse, / A cette journée simplement merveilleuse.

     Je me promenais un soir d’été, / Sous un ciel bleu étoilé, / Avec une ivre liberté, / Et une envie d’aimer…

 

     Constance C. 5e2

 

*

 

     Je suis dans un bateau-ville / Entouré d’une petite île / Qui tournées vers la Lune / Qui semble être une jolie plume. / Où  je chante où je danse la vie / Comme un oiseau dans son nid.

     Tous les anges m’appellent dans les cieux / Ils se trouvent au-dessus de mes yeux. / Le bleu or se pose sur le rivage. / Je le regarde de la plage. / Le soir m’appelle / Pour regarder le ciel.

     Les matelots me disent bonne nuit / Maintenant me voici. / Et la « mère » s’agite / Comme un affreux périple. / Je suis dans ma maison au chaud / Au bord de mon bateau.

 

     Pauline de F. 5e2

 

*

 

     Les habitants d’un bateau-ville / Sont des pêcheurs, des voyageurs. / Se déplaçant de mer en mer / A la recherche du bonheur, D’un coin tranquille ou bien d’une île.

     Ils voguent sous le ciel étoilé / Dans leur belle arche de Noé, / Ils ne couraient aucun danger / Les vagues ne faisaient que cogner / Sur les murailles de leur vaisseau.

     Sur le bateau, un homme chantait / Maintenant me voici j’arrive. / Il était ivre de liberté.

     Ce navire où je chante, où je danse / Pour un marin c’est un cadeau / Pour un pirate c’est un tombeau.

 

     Simon D. 5e2

 

*

  

     Sur la mer en or, / Une chaloupe navigue / C’est un Bateau-ville qui à l’aurore / Quitte la frénésie de la ville

     Du pont j’aperçois / Ce pays qui est le mien / Je vois la grande place / Où je chante où je danse / S’en aller au loin

     Le doux son de la lyre / Me rappelle d’où je viens / Maintenant me voici ! / Et je m’élance sur la piste.

     Dansant et chantant / J’essaye d’oublier / Ce pays qui s’éloigne / Et ces souvenirs passés

 

     Héloïse G. 5e2.

 

*

 

     Maintenant me voici présent dans le majestueux / Bateau-ville, rayonnant comme un ange bleu, / Qui flotte du soir au matin, / Portant cette grande cité avec ses douces mains. / Je monte à bord empli d’un sentiment nouveau.

     A bord, quel délice, on croirait un palais d’or / Et quand le soir venu je vais dehors, / Je vois un ciel qui semble fait de cristal, / Je songe : quelle liberté de voir de si belles étoiles. / C’est quand je vois ce spectacle où je chante où je danse

     En contemplant cet océan et cette immensité, / Je reste pensif et aussi impressionné / Par tant de beauté, aussi douce qu’un chant de lyre / Qui me rend heureux et m’ordonne de ne pas partir / Pour regarder ce paysage à l’infini

 

     Rémi G. 5e2

 

*

 

     Moi, qui habite dans une fusée-ville, / Pleine de joie, de bonne humeur, de mes plaisirs d’antan / D’enfants, heureux, jouant aux billes, / De mamans, en cuisine, en discutant.

     Toi, qui parcours le ciel en vue de trouver / Ton étoile adorée / Une constellation, que l’on appelle le scorpion / Qui me rappelle le temps où j’étais un bébé mignon / Un bébé, éveillé, allongé / Dans les bras de ma mère qui m’avait tant aimée.

     Maintenant me voici, avec lui, mon scorpion / Cette magnifique constellation, / C’est ma raison d’être, qui où me transporter / Où je chante, où je danse dans cette mer étoilée.

 

Milena H. 5e2

 

*

 

     Maintenant me voici / Un hiver qui me sourit.

     Je revois ce Bateau-ville, Qui revient tout du Nil.

     Un bateau aux palais d’or, / Un bateau aux maisons d’or.

     Un bateau aux portes de cristal, / Et hop je me glisse dans la cale.

     Où je chante où je danse, / J’ai eu une sacrée chance.

     C’est une véritable œuvre d’art, / Il faut le dire quel hasard.

     Brillant pour l’éternité, / Ce bateau est la liberté.

 

     Benjamin R. 5e2

 

*

 

     Il y a longtemps j’étais parti. / J’avais tout quitté, mon pays, ma vie… / Me laissant dériver sur la mer. / J’avais laissé place à un glacial hiver.

    Plus de fleurs, plus de couleurs. / Tout était terne et sans odeur. / Tout était recouvert d’un manteau blanc, / Blanc comme le temps, le temps qui passe / Et qui dans la nuit s’efface.

     Devant ces longs mois mais j’avais erré, / Quand pourrai-je retrouver ma patrie bien-aimée ? / Durant ces longs mois j’étais parti. / Pourquoi, qui me le dit ?

    Mais maintenant me voici, / Où je chante, où je danse, / Moi, printemps, je vous le dis, / Y aura-t-il de plus belles vacances ?

 

    Victoire S. 5e2.

 

*

 

     Si j’étais le Printemps, j’illuminerais le ciel pour l’éternité. / Les océans et les mers brilleraient comme des cristaux à la lumière, / Et j’en serais drôlement fière.

     Si j’étais le printemps, le soir ne serait plus aussi noir, / J’éparpillerais de nombreuses étoiles dans la nuit / Mais seule la Lune aurait la couleur de l’or

     Dans les jardins là où je chante, où je danse, / Je jouerais avec les enfants / Et fabriquerais des couronnes de fleurs aux couleurs du printemps / Mais maintenant me voici en train de rêver seule dans mon lit.

 

    Juliette S. 5e2

 


5e3

 

 

     Maintenant me voici, printemps éphémère, commencement des beaux jours / la vie rayonne à présent, les bourdons sur les fleurs, / Bercé par l’eau fondue par la coque du bateau / Le soleil a accompagné le printemps / Et un vent doux souffle sur les maisons.

     Ce n’est que le matin et déjà les villageois / Fêtent l’arrivée du printemps / Sur le balcon où je chante, où je danse / Des oiseaux aux couleurs de l’aurore se sont posés. / C’est sans doute la joie qui les a attirés.

     Les matelots larguent les amarres sur une plage / De sable fin, où la mer est bleu turquoise. / Rien ne pourra arrêter la fête. / Et lorsque le bonheur règne, / La nuit enchanteresse les berce    

 

     Augustin B. 5e3.

 

*

 

     Sur un Bateau-ville il y avait : / Une dizaine de barques bleues. / Il y avait une chaloupe en ciel. / Il y avait une arche de constellation. / En cristal, des escaliers d’étoiles. / Maintenant me voici ivre où / L’on voguait vers une étrange liberté.

     Sur un Bateau-ville, où je chante, où je danse / La paix des matelots, les périples des rivages / Une muraille de roses sur l’océan nouveau. / D’or le hasard des anges / Nous donne l’éternité. / Dans les vagues un Vaisseau éventail / Une farandole de délices.

 

     Noé C. 5e3. 

 

*

 

     Ce bateau, avec ses maisons / Ses rues, ses immeubles où tout dort / Et ses marins à foison / Qui vogue sur un océan d’or / Au gré de la brise et des flots / Et aussi des matelots / Me berce jour et nuit / De son joyeux roulis

     Mais maintenant me voici  / Sur ce funeste pont / où je chante, où je danse et où je ris / Là où je saute, crie et tourne en rond / Sous une pluie étoilée / D’une courte nuit d’été / Et là je te dis / Sans commettre de délit / Que je t’aime / Ô mon Bateau-ville / Que je t’aime / Ô ma ville

 

     Gaspard D. 5e3.

 

*

 

     Me voilà comme toujours / Sur ce bateau / Où je regarde les matelots / Puis me retourne vers la mer / Cet endroit est plein de mystères, / Et je glisse sur les planches, / où je chante, où je danse.

      Maintenant me voici  au bord de la rampe. / Ce jour la paix règne sur l’océan. / Et je me demande s’il y a autre part, / Que ce bateau, / Où depuis toujours je vis. / Que cet océan bleu et ce ciel étoilé ? / Y a-t-il liberté, délices et couleurs ?

     Et je sens le vent passer dans mes cheveux, / Ce vent si doux et chaud / Me montre la beauté de cette nature.

 

     Clara G. 5e3.

 

*

 

     Maintenant me voici  / Je chante aussi bien / Que le son mélodieux de la lyre / Chaque note fait danser les étoiles / Jusqu’à faire étinceler la Lune

     Mais je danse / Je danse comme l’océan / Je tourne aussi bien / Que l’ouragan le plus terrifiant / Je suis semblable à une rose voltigeant dans les airs

     Malheureusement il me faut choisir / La danse ou le chant / C’est comme si / La danse était mon bras droit / Et le chant mon bras gauche.

     Où je chante, / Où je danse / Je ne sais pas / Je ne sais plus / Je suis perdue

 

     Ombeline H. 5e3.

 

*

 

    Un Bateau-ville voguant sur la mer / Où je chante, où je danse / Le ciel étoilé me sert de somnifère / Et je m’endors comme si j’étais dans une boule de verre.

     Le soir, je regarde les constellations dans le ciel. / Le soleil se couchant / Fait scintiller l’océan, / Le soleil cette boule d’or / Est tellement attirant / Que je passe par-dessus bord.

      Maintenant me voici  / Je tombe dans une barque / Le Bateau-ville s’éloigne / Et disparaît dans le crépuscule.

     Je m’approche du rivage, / Une belle plage de sable fin, / Parsemée de cocotiers, / Et je me dis : cette île et moi, c’est pour l’éternité, / Adieu Bateau-ville !

 

     Océane H. 5e3.

 

*

 

     Sur l’océan un navire vogue / Je le vois au bout de cette sphère / Il vogue au loin / De-ci de-là / Sans savoir où va son destin. / Il court sur les mers à la recherche de l’axe invisible du monde. / J’entends la lyre que jouent les matelots du haut de leur mat / Ils chantent une vieille rengaine de matelots et dansent. / Le voilà qui tangue

      Je m’approche de la barque où je chante, où je danse / Et parviens à voir de multiples maisons / Maintenant me voici  devant la chaloupe / Contemplant la constellation soir après soir / Pensant au mystérieux Bateau-ville.

 

     Ségolène L. 5e3.

 

*

 

     Maintenant me voici  sur le Bateau-ville / Caché sous la bâche je quitte la chaloupe quand… / Je tombe sur un pont  où je chante, où je danse et… / Où suis-je ? le sol se meut je ne crois pas ce que je vois / Une ville telle une ellipse fait le tour de mon corps / En haut, le ciel, les constellations et à l’horizon… / L’ éternité du ciel or et mauve, une farandole de couleurs / Explosion du soir, le vent s’engouffre dans les vagues et… / Me projettent sur une montagne en mer, je monte l’escalier, j’atteins l’éternité / L’océan est partout, la paix dans ce palais mais tant de mystère que…

     Je m’assois plein d’émotions, tout est nouveau et calme / Je contemple un bateau dont je suis le matelot / Une sphère dont les merveilles me projettent de l’eau / Ivre de liberté l’embarcation est si belle que… / Je ne peux que m’assoupir en regardant le ciel / Cette arche m’émerveille.

 

     Augustin M. 5e3.

 

*

 

     Je vis sous l’eau, l’océan est mon château, la mer est mon ciel, son bleu est éternel / Ses remuements incessants sont devenus mon berceau, / Dans mon palais sous-marin, rien n’est nouveau, / Derrière ces murailles, où je chante, où je danse, / Parfois ma solitude me bouleverse, / Car ma ville est certes entourée d’eau, / Mais mon cœur attend l’amour, / Il attend qu’on lui fasse la cour, / Certes l’océan est beau, mais l’ai-je déjà senti sur mon visage ? / Ai-je posé mon doigt sur du corail ? la beauté marine m’émut, / Mais ai-je déjà approché un dauphin ? / Ai-je remarqué qu’il remonte à la surface ?

     J’ouvris les portes de mon palais, je dis maintenant me voici  / L’eau s’y engouffra, ravagea tout et m’emporta… / Loin de mon monde, peut-être à la surface, qui sait ? / J’ai quitté la ville pour ne pas y revenir, / Je ne suis pas sortie de l’océan, car en haut personne ne m’attend, / J’y suis encore dans cet océan, et j’y resterai jusqu’à la fin des temps…

 

     Amandine M. 5e3.

 

*

 

     Et voilà, maintenant me voici  / Enfin arrivée sur le Bateau-ville, / Je suis en train de réaliser mon rêve, / Et pourtant, je ne ressens rien de plus / Que lorsque je me suis réveillée ce matin, / Dans ma ville, sombre, victime du mauvais temps, / Me voici sur un grand bateau qui navigue, / Sur une belle mer aussi claire que du cristal, / où je chante, où je danse, m’amuse mais non

     Je regarde les personnes âgées jouer à des jeux, dormir, / Ou râler auprès de matelots pour des détails sans importance, / Je suis partie pour une année, faire le tour du monde, / Cela fait moins d’une heure que je suis là, / Sous le ciel bleu et le soleil étincelant de couleurs, / Et j’ai déjà l’impression que cela fait une éternité, / Que je suis là.

 

     Marine S. 5e3.

 

*

 

     Dans la ville où tout est possible / Un avion-ville existe. / Il nous emmène dans le ciel.  / Quand il arrive, il nous crie maintenant me voici  / C’est moi l’ange du paradis où je chante, où je danse / Nous chantons nous dansons / Au gré du vent et de la brise / Les nuages nous changent / Les plus beaux paysages. / Les maisons sont collées les unes contre les autres. / La nuit les gens se rassemblent / Pour observer la nappe noire / Recouverte d’étoiles / Mais quand on voit la terre ferme / On sait que c’est la fin d’une belle aventure.

 

     Hélène S. 5e3.

 

*

 

     Je suis dans un bateau / Où je chante, où je danse / Avec les matelots. / Maintenant me voici  / Dans une barque mauve / Sous le ciel étoilé.

     Les vagues m’emmènent / Longtemps dans l’océan / Pour me déposer sur / Une plage de sable fin.

     Lorsque le jour se lève, / Une couronne de roses / Près de moi est posée / Je l’enfile sans trop savoir / Qui donc me l’a laissée.

     En me retournant je vois, / Un immense palais de cristal / Devant lequel une jeune fille / Joue de la lyre, / Alors, je m’approche…

 

     Abigaël V. 5e3.

    

 

 

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Commentaires
J
Que de beaux poèmes, difficile de choisir : Clara B pour ses jolis mots, Alexadnra B qui invite au voyage, Marie J pour son rythme et sa structuration, Marion M car ses mots me touchent, Pierre C même su la fin me laisse sur ma faim, Paulin de F pour sa légèreté des mots, Benjamin R pour son originalité, Juliette S pour son côté positif qui donne la pêche et Amandine S pour son amour de l'océan<br /> <br /> Jules, 6ème 2
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J
Que de talent, que de merveilleux poèmes.<br /> <br /> J'ai adore le premier, celui de Clara B - 5eme1 que j'ai trouvé aérien et humoristique en même temps.<br /> <br /> Bravo les artistes
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A
De merveilleux poèmes, délicieusement oniriques. Mention spéciale à celui de "Clara B. 5ème1" dont le rythme et la musicalité enchantent: "habillé de rose il pose sa rose" ou encore "le cristal et les cymbales vont au bal, les vagues au large"....
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N
Un très beau poème de Clara.B 5.1
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B
bravo Clara B 5è 1 !! super poème. tu as du talent, continue comme ça.
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