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Le blog de Monsieur Dyrek
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20 décembre 2012

Dialogues aux jardins IDD4e les dialogues des élèves écrits et interprétés

 

 

DIALOGUES AUX JARDINS

AUTOMNE 2012

ITINÉRAIRE DE DÉCOUVERTE

EN 4E COLLÈGE SAINTE-ELISABETH

 

*

 

Dialogue entre "Le Bosquet de l'arc de triomphe" et Adriana.

 

Adriana : Ah, mais quel magnifique jardin ! Cette statue de la France triomphante est éblouissante.

Statue : Enfin de la compagnie !

Adriana : Mais qui me parle ? je n'entends pas des voix ?  c'est peut-être la statue?

Statue: Oui oui, c'est bien moi qui te parle.

Adriana :  Mais, vous devez vous ennuyer vous, ici ? Depuis combien de temps êtes-vous là ?

Statue : Depuis 1683 !! Je trônais ici bien avant que tu ne sois née ! 

Adriana : Et pourtant, vous brillez toujours autant, je constate que le temps n'a pas d'action sur vous. Vous au moins vous n'avez pas à supporter les tracas du quotidien, vous avez la belle vie ! Vous dormez,  je pense la plupart du temps, vous rêvassez à loisirs, vous observez le monde qui s'agite autour de vous tout en contemplant le ciel, les arbres, les oiseaux et le temps qui passe.  Alors que moi, je dois supporter à longueur de journées mes frères et soeurs et les soucis de la vie parisienne.

Statue : Oui, enfin ce n'est pas mieux que les touristes qui me jettent leurs canettes ! 

Adriana : Oui c'est sûr, vu de cet angle-là.  Bon, je vais continuer mon petit tour dans votre jardin,

 

Statue : Non, non, ne partez pas, ne me laissez pas seule s'il vous plaît ! la solitude me pèse tellement.

Adriana : N'ayez crainte, maintenant que je vous ai rencontrée, je vous promets de venir bavarder avec vous, belle journée.

 

                   Adriana B. 4e3 en 2012

 

*

 

Un pont Japonais et un Homme.

 

Homme : Ah, mon cher pont, comment vas-tu?

Pont jap. : Comme d’habitude, je dirais. Et vous?

Homme : Si tu savais, la vie de nos jours est bien difficile.

Pont jap. : L’homme n’est pas fait pour travailler, la preuve ça le fatigue.

Homme : Mais sans travailler, nous ne sommes rien. Seulement des êtres insignifiants à errer, cherchant éperdument la sortie.

Pont jap. : Ne te plains pas, moi je me fais piétiner à longueur de journée.

Homme : Tu es là pour ça, mais tu es solide.

Pont jap. : Bien sûr! Sinon il n’y aurait aucune logique dans ma vie.

Homme : Eh, bien te parler m’a fait le plus grand bien. Au revoir.

Pont jap. : A la prochaine.

 

Catarina C. en 4e en 2012.

 

 

*

 

Le Papillon et le Poisson

 

Le papillon : - Quel joli jardin ! Oh bonjour monsieur poisson !

Le poisson : - Bonjour monsieur papillon ! Quel bon vent vous amène ?

Le papillon : - Je me promène, voyez-vous. J'aime la beauté de ce jardin, avec ses bosquets, ses bassins.

Le poisson : - Il fait bon y vivre même si les touristes sont parfois très bruyants.

Le papillon : - Oui, je comprends ! Mais, tout cela n'est pas fait pour moi... Je suis un voyageur qui parcourt le monde...

Le poisson : - Quelle chance ! Moi, je ne peux pas partir... Je suis né ici et j'y mourrai aussi.

Le papillon : - Quant à moi, j'irai par les chemins, les montagnes, les vallées et je reviendrai !

Le poisson : - Quand vous serez de retour, je serai là, je vous attendrai.

Le papillon : - Je vous raconterai tout et ainsi vous vivrez mes multiples voyages.

Le poisson : - Allez ! Portez-vous bien et revenez bientôt !

Le papillon : - Au revoir monsieur !

 

Charlotte D. en 4e

 

*

 

Le petit garçon et le petit oiseau, au Jardin du Luxembourg,

 

C'était un après-midi d'automne, un petit visiteur arrive au jardin du Luxembourg. Il voit un petit oiseau !

 

Le petit garçon : "Bonjour, petit oiseau ! Comment vas-tu ?

Le petit oiseau : - Très bien, mais les feuilles des arbres tombent et je ne peux plus m'y cacher. Je suis obligé de me cacher près des statues !

Le petit garçon : - Je pourrai te construire une petite cabane, si tu veux ?

Le petit oiseau : - Oh oui, merci !!

Le petit garçon : - En attendant tu iras te loger dans le Sénat.

Le petit oiseau : - Quelle bonne idée. Si tu veux je te présenterai à mes amis !

Le petit garçon : - D'accord, et moi je te présenterai les miens !

Le petit oiseau : - Et on ira jouer tous ensemble.

Le petit garçon : - On ira jouer dans la forêt !

Le petit oiseau : - Mais as-tu de la famille ?

Le petit garçon: - Oui, j'ai une petite sœur et mes parents ! Et Toi ?

Le petit oiseau : - Je n'ai pas de famille, ma mère m'a abandonné quand j'étais petit !

Le petit garçon : - Maintenant, ce sera moi ta famille !

Le petit oiseau : - Merci, personne n'a jamais été aussi gentil avec moi !

Le petit garçon : - Il faut que j'y aille, mes parents m'attendent !! Au revoir, et à bientôt ! "

 

Camille G. en 4e

 

*

 

-Marie de Médicis : ma sculpture doit être parfaite pour que je puisse l'exposer dans le jardin !

-Le sculpteur : Oui, ma Reine. Mais il faut....

-Marie de Médicis : Je dois aller dans mon palais, on attend mon accord pour faire faire de nouvelle chaises pour mon jardin.

-Le sculpteur : Comment dois-je faire alors ?

-Marie de Médicis : Faites-moi une magnifique statue et ce sera parfait !!

-Le sculpteur : Oui mais ........

- Marie de Médicis : Je vous souhaite un bon travail ! Au revoir !!

-Le sculpteur : Merci, au revoir. Comment vais-je pouvoir faire une magnifique statue, je suis un peintre !

 

Camille G. en 4e1

 

*

 

Mes deux personnages sont :

-Carpkoi, le Poisson  -Visiteur

 

V  - Bonjour monsieur le poisson ! Je cherche le symbole de la méditation.

C-  Désolé, je ne parle pas aux gens qui ne me donnent pas d'alimentation !

V-  Si j’exauçais votre souhait, vous m'informeriez ?

C-  Peut être, car je suis de bonne humeur cette journée.

V-  C'est d'accord. Tenez cette petite cerise.

C-  Merci beaucoup pour cette belle gourmandise.

V-  De rien, pouvez-vous maintenant m'indiquer le chemin ?

C-  Bien sûr.  Allez tout droit et vous trouverez ce que vous cherchez.

V-  Merci beaucoup, je vous dois une fière chandelle, avec ma sincère amitié.

C-  A bientôt. Je ne vous oublierai jamais.

 

Valentine L. 4e

 

*

 

Dans le "jardin Japonais de l'UNESCO"

Mes deux personnages: _une fleur _ le cylindre de la méditation ( CDM )

 

CDM: Bonjour, toi petit être de couleur. Qui es-tu et comment t’appelles-tu ?

Fleur: Je m'appelle Flor, et je suis une fleur!

CDM: dis moi pourquoi es-tu si triste petite fleur ?

Fleur: Je suis triste, car Madame Le Printemps ne m'a toujours pas donné mes couleurs.

CDM: mais ne t'inquiète pas, tu es belle comme un coeur...

Fleur: Merci Monsieur Le Cylindre De La Méditation, mais comment faites-vous pour être aussi patient ?

CDM: Je médite... Mais surtout je regarde le ciel qui lui n'est point stable en sentiments et qui bouge tout le temps.

Fleur: Merci Monsieur Le Cylindre De La Méditation, désormais je serai plus patiente et grâce à vous encore plus mignonne.

CDM: Mais de rien, j'aime aider les êtres qui en sont gagnants.

Fleur: Retenez tout cela car cette leçon, ne s'applique pas qu'à moi. 

 

                                        Jade M.  4°2

 

*

 

La Feuille d'automne et la Coccinelle

 

La Feuille d’automne : "Oh Cocci, comme tu as de la chance!

La Coccinelle : - De quoi parles-tu ?

La Feuille d’automne : - De tes ailes, de ta liberté

De ta vie remplie d'aventures !!!!

Moi je suis condamnée à naître

Ici et à y mourir

La Coccinelle : - Mais ne dis pas ça !

Toi aussi tu as une superbe vue

Sur toutes ces merveilles de la nature

La Feuille d’automne : - Peut-être mais de toutes façons

Ma vie touche à sa fin et j'en suis consciente"

Et la feuille tomba raide morte de son vieil arbre !

 

Hend N. 4e

 

*

 

Glycine et Monet

 

Monet: Bonjour, chère glycine. Comment vas-tu ?

Glycine: Mal.

Monet: Pourquoi ?

Glycine: Le soleil est trop fort pour moi.

Monet: Oui, mais cela me permet de te peindre avec des touches de couleurs lumineuses.

Glycine: Pourquoi m'avoir de nouveau élancé dans les superstructures du pont japonais reconstruit ?

Monet : Car au bord de l'eau tu es si voluptueuse de couleurs et d'odeurs si fines, Parce que j'aime représenter tes grappes qui forment tes fleurs.

Glycine: Merci beaucoup de ton amour, de la nature des fleurs, des arbres toujours très éclairés.

Monet : A bientôt glycine. 

                                            Eva P 4e3 en 2012

 

*

 

 

 

Dialogue :

Personnages : un oiseau migrateur et un jardinier

 

La rencontre

 

Le jardinier : « Bonjour à toi, bel oiseau. Quel vent t’amène par ici ? »

L’oiseau : « Je suis un oiseau migrateur, je fais une courte pause, car mon voyage va être très long. Comme mon nom l’indique je voyage beaucoup. »

Le jardinier : « Oh ! Je vois ! Veux-tu que je te fasse découvrir les jardins de Versailles ? »

L’oiseau : « Ça serait avec plaisir. »

Le jardinier : « Suis-moi ! Comment te prénommes-tu ?»

L’oiseau : « Pioupiou. Et toi ?? »

Le jardinier : « André le Notre. Si tu veux, je vais t’expliquer la physionomie du jardin. »

L’oiseau : « Oh ! J’ai l’honneur de t’avoir comme guide ! D’accord, avec plaisir ! »

Le jardinier : « Ici, tout est fait symétriquement. »

L’oiseau : « Oui, je vois ça. C’est magnifique ! »

Le jardinier : « Merci ! J’ai tout créé moi-même ! »

L’oiseau : « Waouh ! Quel poids repose sur tes épaules !

Le jardinier : « Oui, oui, effectivement. As-tu de la famille ? »

L’oiseau : « Oui. »

Le jardinier : « Tu devrais les amener ici pour qu’ils contemplent mon œuvre. »

L’oiseau : « Pourquoi pas. Je dois m’en aller maintenant, sinon je ne pourrais pas les rattraper. A bientôt, j’espère ! »

Le jardinier : « Au revoir ! »

 

Chloé P. 4°3

*

 

Monet el les nénuphars

 

Monet : Vous n'avez vous pas vu ma toile ? à cause de mon âge,je ne me souviens pas ou je l'ai mise.

Nénuphars : Je ne vois pas où vous auriez pu vous installer autre part qu'ici. puisque nous sommes le plus bel endroit de votre jardin

Monet: je vois que vous êtes drôlement humble, mais cela ne me dit pas où est ma toile.

Nénuphars : Je suis désolé je ne sais pas ou vous l'avez mise mais cette nuit, je ne sais si c'était un rêve, mais j'ai vu voler votre toile, mais peut-être que c'est une pie qui vous l'a volée.

 

Marguerite P. 4e

 

*

 

Le Lilas et la Magnolia

 

Le Lilas : "Bonjour, comment vas-tu ?

Le Magnolia : - Pas très bien.

Le Lilas :- Pourquoi ?

Le Magnolia :- Ma tige est cassée 

et elle ne va pas tarder à tomber. 

Le Lilas :- Tu n'as qu'à te servir d'une branche

pour la soutenir et comme cela tu ne tomberas pas.

Le Magnolia :- J'aimerais bien mais je n'ai pas de bras.  "

 

                                          Mattéo P. 4°3

 

*

 

    Un après-midi d'été, un petit garçon se promenait dans le jardin du Luxembourg et croisa la statue de Ludwig Van Beethoven.

 

Le garçon : "Cher monsieur Beethoven, je vous admire beaucoup, je joue du piano comme vous, mais je n'ai pas votre niveau...

La statue : Merci de me flatter ainsi ! Cela fait bien longtemps que l'on m'a oublié... Tu sais, tu es encore jeune, tu as encore beaucoup à apprendre, le piano est difficile, mais tu y arriveras !

Le garçon : Oui, mais quand y arriverai-je ?

La statue : Sois patient.

Le garçon : Pourriez-vous me donner quelques conseils ?

La statue : Oui, prends le temps et ne brûle pas les étapes.

Le garçon : Oh... Comment puis-je savoir si je ne les brûle pas ?

La statue : Tu poses beaucoup de questions mon petit !

Le garçon : Je sais, on me le dit souvent. Il commence à se faire tard, je devrais rentrer.

La statue : Je suis ravi de t'avoir rencontré, bonne chance pour la suite de ton apprentissage !

Le garçon : Merci de vos conseils ! Au revoir monsieur !

 

 Océane S. 4e1

*

 

Dialogue dans le parc de la Villette entre

un homme obèse et un mur de ronce.

 

Homme obèse : "Aïe! Ouille! Maudit soit ce mur de ronce!"

Mur de ronce : "Oh! Eh! Restez poli. Et au juste pourquoi m'êtes-vous rentré dedans?"

Homme obèse : "Ben tiens! Quelle question! Je fus juste attiré par l'odeur de ce divin sandwich saucisson, emmental, crudités dans le snack derrière vous. Et puis zut! Hors de mon chemin!"

Mur de ronce : "Non je ne bougerai pas".

Homme obèse : "Et pourquoi ça je vous prie?"

Mur de ronce : "A en juger par votre corpulence vous n'en avez pas besoin. C'est pour votre bien."

Homme obèse : "Je n'ai besoin de conseils de personne et si ce sandwich ne vient pas à moi alors je viendrai à lui. Tiens une tronçonneuse."

Mur de ronce : "Malheureux vous n'allez pas faire ça! Non..."

Homme obèse : "Bon débarras! Vite le sandwich! Non il n'y en a plus!"

 

Bien mal acquis ne profite jamais.

 

                   Matthieu S. 4e3

 

*

 

Le Jardin et le Château de Versailles

 

Château : Je suis le plus beau château du monde ! Je suis Versailles !

Jardin : Ne seriez-vous pas trop prétentieux, mon cher ami !

Château : Point du tout, vous oubliez qui je suis ?

Jardin : Pas du tout, mais sans moi, vous ne seriez rien !

Château : Vous vous égarez mon cher, vous oubliez sans doute que Louis XIV fut mon hôte.

Jardin : Je n'ai rien à vous envier. Tous les plus grands de la cour du roi Soleil ont foulé mon herbe et se sont promenés le long de mes allées.

Château : Oui certes, mais d'un coup de vent, vous n'êtes plus rien alors que moi je demeure à jamais !

Jardin: Oui mais que serait Versailles sans ses jardins ?

 

Thibaut T. 4e 3

 

*

 

Le pont et l'eau

 

L'eau: J’en ai assez de ces nymphéas !

Le pont : Moi je les trouve belles comme tout 

L'eau: Peut-être elles, mais moi ! Maintenant j'en suis toute recouverte.

Le pont: Regardez, quand les touristes passent sur mon pont, ils se penchent toujours pour vous admirer et sans vos nymphéas vous ne serez pas ce que vous êtes maintenant, alors de quoi vous plaigniez-vous ?

L’eau: Vous n'avez pas tort, mais parlons-en des touristes, tiens en voilà un justement ! il va, comme tous les autres, jeter ses déchets, son bout de pain, ses fonds de poches. Je suis tout sale à force ! 

Le pont: Moi, il me marche sur le dos toute la journée et pourtant je ne me plains pas. Pourtant je le pourrais tout aussi bien que vous, alors je vous prie de faire comme moi : Admirez et aimez la vie comme elle est, arrêtez de vous plaindre et vivez l'instant présent, vous verrez : vous vous sentirez mieux !

 

Alix V. 4e1 

 

*

 

Voici le dialogue que j'ai imaginé entre la statue d'une reine de France et un peintre dans le jardin du Luxembourg :

 

La Reine : "Pourquoi voulez-vous me peindre?"

 

Le peintre : "Parce que vous êtes connue.

                     Peindre est ma grande passion.

                     Votre beauté m'a ébloui.

                     Sur ma toile, je veux vous croquer."

 

La Reine : "Toujours je suis importunée;

                  Des commentaires, sans cesse j'entends

                  Ma tranquillité est troublée

                  Et mon image est déformée."

 

Le peintre : "Point d'inquiétude chère reine.

                     A l'ouvrage je vais me mettre.

                     Ne bougez plus et souriez

                     Pour que mon oeuvre soit réussie."

 

Bonne semaine,

 

Ombeline V. - 4e 1

 

*

 

Poème sur un Passant et de l’Eau

 

Passant : Ah qu'elle est belle cette eau !

L'eau : Eh oh ! Ne me pollue pas, je suis un être vivant comme toi.

Passant : Mais tu n es rien, pourquoi?

L'eau : Je suis quelque chose car tu m'utilises, tu me gaspilles, toi tu es maladroit.

Passant : Non cela est faux, je me débrouille très bien sans toi.

L'eau : Non, tu vas voir, car sans moi tu ne serais pas là.

Passant: Prouve-le-moi!

L'eau : Tu te laves avec moi et je trouve tout cela mal odorant. Tu me bois ou quelquefois tu me craches et même me pollues comme tu viens de le faire.

Passant : Oh oui... c'est vrai, je suis désolé, je te promets de ne plus recommencer et de t'aider à ne plus être polluée !

L'eau : Merci beaucoup, grâce à toi je me porterai mieux et tu pourras toi et les générations futures m'admirer.

 

Gaétane W. en 4°1

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